S. Whyte ne craint pas les projecteurs
Football vendredi, 11 nov. 2011. 17:21 vendredi, 13 déc. 2024. 12:38
MONTRÉAL - Au cours des dernières années, le botteur de précision des Alouettes s'est souvent retrouvé impliqué dans un jeu clé dans les derniers instants d'un match en séries. En fait, lors des deux derniers matchs pour l'obtention de la coupe Grey, Damon Duval - qui occupait alors le poste - s'est retrouvé en plein coeur des événements.
En 2009, après avoir failli devenir le bouc-émissaire en ratant un placement de 43 verges sur le dernier jeu du match, Duval a pu se reprendre quand les Roughriders de la Saskatchewan ont été punis pour avoir eu trop d'hommes sur le terrain. Il n'a pas raté sa chance sur 33 verges et a procuré une victoire de 28-27 aux Montréalais.
L'an dernier, Duval a raté un placement sur 40 verges et, n'eut été de l'interception de Billy Parker avec 55 secondes à jouer, Duval se serait retrouvé sous les feux de la rampe pour de biens mauvaises raisons.
Cette saison, c'est Sean Whyte qui s'acquitte de cette tâche. Et le botteur originaire de Surrey, en Colombie-Britannique, le fait plutôt bien : il a réussi 45 de ses 52 placements, a été parfait en 50 convertis et a accumulé 197 points au total afin d'être nommé joueur canadien par excellence de l'Association Est.
Même si la situation ne s'est jamais produite, il ne craint pas d'avoir le sort de son équipe au bout du pied à la fin d'un match aussi crucial.
« Je n'ai jamais été confronté à une telle situation, a dit le botteur. La seule fois où je me rappelle avoir été placé dans une situation suicide comme celle-là, c'est l'an dernier, quand mes entraîneurs en Colombie-Britannique ont commis une bourde au moment de remplir la formation pour un match contre les Eskimos et que mon nom y a été inséré par erreur.
« Je me suis retrouvé sur le terrain avec un placement de 48 verges à faire pour la victoire. J'étais très heureux quand j'ai vu le ballon franchir le poteau des buts! »
L'athlète de 26 ans apprécie - comme tous les botteurs - les conditions offertes au Stade olympique. La ventilation créant une légère brise, il a réussi un botté de 52 verges « vers le marbre ». Son plus long botté en carrière dans un stade couvert est de 57 verges. Il ne craindrait pas de tenter un botté sur cette distance dimanche.
« Certainement que je le tenterais, si c'est le dernier jeu d'un quart ou d'une demie. Je serais très à l'aise. »
En 2009, après avoir failli devenir le bouc-émissaire en ratant un placement de 43 verges sur le dernier jeu du match, Duval a pu se reprendre quand les Roughriders de la Saskatchewan ont été punis pour avoir eu trop d'hommes sur le terrain. Il n'a pas raté sa chance sur 33 verges et a procuré une victoire de 28-27 aux Montréalais.
L'an dernier, Duval a raté un placement sur 40 verges et, n'eut été de l'interception de Billy Parker avec 55 secondes à jouer, Duval se serait retrouvé sous les feux de la rampe pour de biens mauvaises raisons.
Cette saison, c'est Sean Whyte qui s'acquitte de cette tâche. Et le botteur originaire de Surrey, en Colombie-Britannique, le fait plutôt bien : il a réussi 45 de ses 52 placements, a été parfait en 50 convertis et a accumulé 197 points au total afin d'être nommé joueur canadien par excellence de l'Association Est.
Même si la situation ne s'est jamais produite, il ne craint pas d'avoir le sort de son équipe au bout du pied à la fin d'un match aussi crucial.
« Je n'ai jamais été confronté à une telle situation, a dit le botteur. La seule fois où je me rappelle avoir été placé dans une situation suicide comme celle-là, c'est l'an dernier, quand mes entraîneurs en Colombie-Britannique ont commis une bourde au moment de remplir la formation pour un match contre les Eskimos et que mon nom y a été inséré par erreur.
« Je me suis retrouvé sur le terrain avec un placement de 48 verges à faire pour la victoire. J'étais très heureux quand j'ai vu le ballon franchir le poteau des buts! »
L'athlète de 26 ans apprécie - comme tous les botteurs - les conditions offertes au Stade olympique. La ventilation créant une légère brise, il a réussi un botté de 52 verges « vers le marbre ». Son plus long botté en carrière dans un stade couvert est de 57 verges. Il ne craindrait pas de tenter un botté sur cette distance dimanche.
« Certainement que je le tenterais, si c'est le dernier jeu d'un quart ou d'une demie. Je serais très à l'aise. »