Trestman a hâte de reprendre le boulot
Football vendredi, 27 mai 2011. 19:02 vendredi, 13 déc. 2024. 16:01
MONTRÉAL - Le fait que Marc Trestman était de retour à Montréal vendredi pour amorcer sa quatrième saison à la tête des Alouettes était significatif pour l'entraîneur.
C'est la première fois depuis ses jours en tant qu'entraîneur bénévole, et un peu plus tard en tant qu'entraîneur des quarts à l'Université de Miami au début des années 1980, qu'il va passer quatre saisons avec la même équipe.
« Je n'y ai même pas pensé, a déclaré l'homme âgé de 55 ans. Le football t'amène là où il t'amène.
« Je suis content d'être de retour. Tout semble nouveau. Nous avons de nouveaux joueurs au sein de l'équipe. Nous avons un nouvel entraîneur (Carson Walch, adjoint à l'attaque et aux unités spéciales), un nouveau coordonnateur (Tim Tibesar, coordonnateur défensif) et la ligue a changé aussi. »
Le natif du Minnesota a guidé les Alouettes vers la finale de la Coupe Grey lors de chacune de ses trois saisons, remportant les grands honneurs lors des deux dernières campagnes. Il a la chance de tenter de faire des Alouettes la première formation de la LCF à remporter trois titres consécutifs depuis que les Eskimos d'Edmonton en ont remporté cinq de suite de 1978 à 1982.
Mais une fois que la finale est terminée, Trestman retourne chez lui à Raleigh, en Caroline du Nord, pour rejoindre sa femme et ses deux filles, qui demeurent là-bas à l'année longue.
Quand on lui a demandé ce qu'il faisait pendant la saison morte, Trestman a dit : « Je passe du temps avec ma famille et je me repose. Évidemment, je passe du temps aussi à développer des moyens afin d'améliorer l'équipe. C'est une bonne combinaison entre les deux choses. »
Au cours de l'hiver, il a travaillé avec quelques quarts en prévision du repêchage de la NFL et il est resté en contact avec les joueurs des Alouettes.
« Nous sommes en contact avec tous nos joueurs. C'est ce que je fais quand je suis dans ma voiture pendant la saison morte, a-t-il indiqué. J'appelle un joueur. Les autres entraîneurs font la même chose. Ils restent en contact avec les joueurs qu'ils dirigent.
« C'est important de savoir comment ils vont et comment vont leur vie, car cela aide à déterminer comment iront nos vies quand la saison va commencer. »
Son message quand l'équipe va se réunir à Sherbrooke la semaine prochaine pour le début du camp d'entraînement sera semblable à celui de l'an dernier - c'est-à-dire qu'une équipe championne ne peut pas répéter ses exploits, car elle n'est pas composée exactement des mêmes joueurs que l'année précédente. Il ne veut pas que les joueurs s'imaginent qu'ils sont assurés de gagner la coupe Grey simplement parce qu'ils l'ont gagnée deux fois de suite.
« Tu ne peux pas gagner deux fois de suite ou trois fois de suite, car l'équipe change à chaque année, a-t-il dit. J'ai été très clair sur ce point et je crois que les gars ont compris.
« L'organisation peut gagner trois fois de suite à cause de son nom, mais ce sera une équipe différente. Nous ne pouvons pas imaginer que le résultat final sera le même. Le but, c'est de travailler fort chaque jour et d'essayer de nous améliorer en tant qu'équipe. »
C'est la première fois depuis ses jours en tant qu'entraîneur bénévole, et un peu plus tard en tant qu'entraîneur des quarts à l'Université de Miami au début des années 1980, qu'il va passer quatre saisons avec la même équipe.
« Je n'y ai même pas pensé, a déclaré l'homme âgé de 55 ans. Le football t'amène là où il t'amène.
« Je suis content d'être de retour. Tout semble nouveau. Nous avons de nouveaux joueurs au sein de l'équipe. Nous avons un nouvel entraîneur (Carson Walch, adjoint à l'attaque et aux unités spéciales), un nouveau coordonnateur (Tim Tibesar, coordonnateur défensif) et la ligue a changé aussi. »
Le natif du Minnesota a guidé les Alouettes vers la finale de la Coupe Grey lors de chacune de ses trois saisons, remportant les grands honneurs lors des deux dernières campagnes. Il a la chance de tenter de faire des Alouettes la première formation de la LCF à remporter trois titres consécutifs depuis que les Eskimos d'Edmonton en ont remporté cinq de suite de 1978 à 1982.
Mais une fois que la finale est terminée, Trestman retourne chez lui à Raleigh, en Caroline du Nord, pour rejoindre sa femme et ses deux filles, qui demeurent là-bas à l'année longue.
Quand on lui a demandé ce qu'il faisait pendant la saison morte, Trestman a dit : « Je passe du temps avec ma famille et je me repose. Évidemment, je passe du temps aussi à développer des moyens afin d'améliorer l'équipe. C'est une bonne combinaison entre les deux choses. »
Au cours de l'hiver, il a travaillé avec quelques quarts en prévision du repêchage de la NFL et il est resté en contact avec les joueurs des Alouettes.
« Nous sommes en contact avec tous nos joueurs. C'est ce que je fais quand je suis dans ma voiture pendant la saison morte, a-t-il indiqué. J'appelle un joueur. Les autres entraîneurs font la même chose. Ils restent en contact avec les joueurs qu'ils dirigent.
« C'est important de savoir comment ils vont et comment vont leur vie, car cela aide à déterminer comment iront nos vies quand la saison va commencer. »
Son message quand l'équipe va se réunir à Sherbrooke la semaine prochaine pour le début du camp d'entraînement sera semblable à celui de l'an dernier - c'est-à-dire qu'une équipe championne ne peut pas répéter ses exploits, car elle n'est pas composée exactement des mêmes joueurs que l'année précédente. Il ne veut pas que les joueurs s'imaginent qu'ils sont assurés de gagner la coupe Grey simplement parce qu'ils l'ont gagnée deux fois de suite.
« Tu ne peux pas gagner deux fois de suite ou trois fois de suite, car l'équipe change à chaque année, a-t-il dit. J'ai été très clair sur ce point et je crois que les gars ont compris.
« L'organisation peut gagner trois fois de suite à cause de son nom, mais ce sera une équipe différente. Nous ne pouvons pas imaginer que le résultat final sera le même. Le but, c'est de travailler fort chaque jour et d'essayer de nous améliorer en tant qu'équipe. »