Ça s'est mal passé avec mon nouveau driver
Golf lundi, 18 avr. 2005. 20:33 samedi, 14 déc. 2024. 13:22
Bonjour à tous les internautes! J'espère que tous ont passé une très belle semaine. J'ai vécu une expérience difficile à Las Vegas, mais comme c'est dit à la télévision ici aux Etats-Unis: "What happens in Las Vegas, stays in Las Vegas"! Mais je vous écris quelques mots pour satisfaire votre curiosité!
J'ai beaucoup appris durant ma semaine. Je parlais de glisser et de se relever la semaine dernière: j'ai beaucoup glissé et je me suis relevée souvent cette semaine! Quand une performance n'est pas à la hauteur de mes attentes, j'essaie toujours d'apprendre le plus possible.
Il y a une raison pour toutes les choses qui nous arrivent, même s'il y en a qui sont déplaisantes des fois! La première journée, j'ai joué avec le nouveau "driver" que j'ai choisi durant les trois semaines avant mon tournoi. Je n'ai jamais connu une aussi mauvaise ronde avec mon "driver"! J'étais partout! D'habitude, c'est mon bâton favori, mais je n'ai pas pu avoir la sensation merveilleuse du "sweet spot" une seule fois! Je commençais à penser que mon élan ou mes pensées n'étaient pas à la bonne place.
Avec ces doutes dans l'esprit, j'ai commencé ma deuxième ronde. J'ai décidé d'utiliser mon bon vieux "driver", celui avec lequel j'ai joué tous mes tournois l'an passé et cette année, à l'exception de la première ronde a Las Vegas. Et le "sweet spot" était revenu! Automatiquement; il n'y avait aucun problème!
Mon nouveau "driver" est un quart de pouce plus long que mon vieux; une légère différence peut faire une grosse différence durant un tournoi. C'est difficile pour moi de vraiment tester un driver et des bâtons car mon élan est beaucoup plus rapide en compétition. Je frappe environ 10 à 20 verges de plus avec mon "driver" durant une compétition. Alors les dynamiques du bâton changent et je ne peux pas les simuler en pratique.
La leçon réside dans le fait qu'en tant que golfeurs, quand les résultats ne sont pas là, nous pensons automatiquement qu'il y a un problème, soit mécanique ou psychologique. Nous ne pensons pas au quart de pouce, à l'équipement. Pour moi, au niveau auquel je joue, je sais que des petits changements peuvent avoir de grandes conséquences.
Mon swing est très constant; je travaille très fort pour l'avoir ainsi, et je me considère comme une athlète qui est très forte mentalement, qui combat peurs et doutes avec force. C'est ce qui m'amène à constater que mon putting est dans le même bateau que mon nouveau driver. J'ai travaillé très fort afin d'avoir un élan de putting qui est fondamentalement solide, et une routine physique et psychologique qui sont très effectives. Alors pourquoi mes résultats ne sont pas ou je les veux?
Je viens tout juste d'apprendre la réponse à cette question: l'équipement. Je dois trouver un putter qui aide à avoir un résultat constant. L'an passé, j'avais beaucoup de problèmes avec mes coups d'approche. J'ai travaillé fort durant la saison morte, et avec mes nouveaux wedges Ping, c'est le jour et la nuit! Je n'ai pas vraiment regardé différents putters durant l'hiver car je voulais avoir un élan constant. Maintenant que je l'ai, c'est le temps de faire mon travail et de m'équiper!
Même s'ils louent tes efforts, les internautes cherchent à savoir pourquoi tu sembles vouloir t'obstiner à vouloir aller jouer avec les hommes alors que tu éprouves beaucoup d'ennuis chez les femmes?
Je comprends que certains internautes regardent les résultats de mes récents tournois et questionnent mes ambitions de jouer avec les hommes. Il y a des hauts et des bas dans le golf, comme dans la vie. Mais il ne faut pas guider ses objectifs et ses ambitions vers le bas! Si votre enfant brise quelques-unes de ses dents de bébé, est-ce que vous lui direz de ne plus sourire car il ne pourrait jamais avoir un beau sourire? Ce serait ridicule, non? Les faits sont les suivants : mon score est le même à 7200 verges ou à 6500 verges (la longueur de notre dernier tournoi). Mes ambitions sont les mêmes et mes objectifs aussi hauts aujourd'hui que demain, qu'importe le résultat. Je connais mon potentiel, et quand je joue comme j'en suis capable, je pense que je suis la meilleure, homme ou femme. Alors j'attends patiemment que le vent tourne en ma faveur.
Parle-nous de ton prochain tournoi et de quelle façon tu l'abordes
Je suis très contente de mon cheminement cette semaine. J'ai gardé mes yeux ouverts et j'ai beaucoup d'espoir pour le prochain tournoi. Je me prépare pour le Tennessee (Franklin), et c'est là que j'aurai aussi un cadet différent, Pete. Pete sera avec moi pour le reste de l'année et mon mari viendra me visiter quand ce sera possible. C'est difficile de se séparer, car j'ai été gâtée l'an passé et ce printemps quand Daniel voyageait avec moi tout le temps. On prédit également que je gagnerai mon premier tournoi avec Pete; ceux qui disent que mon mari est un mauvais cadet auront raison!!! Mais je considère cette transition comme un défi, et j'ai hâte de commencer cette série de dix tournois de suite. J'adore jouer beaucoup et le rythme des tournois l'un après l'autre.
Peux-tu nous parler de ta fondation et de ses objectifs?
J'espère aussi achever les démarches prises afin d'établir mes efforts de charité très bientôt. J'aimerais pouvoir améliorer la qualité de vie des gens qui sont victimes du cancer, et d'améliorer les recherches sur cette maladie qui nous affecte tous. Le cancer affecte les hommes ou les femmes, les enfants ou les personnes âgées, et j'aimerais pouvoir toucher tout le monde au travers de cette charité. C'est très important pour moi de pouvoir aider ma communauté d'enfance dans la région de Montréal et j'ai très hâte de pouvoir mettre cette mission en branle.
J'aimerais vous remercier tous pour votre attention et tout votre encouragement. Je vous reparle bientôt du Tennessee, et d'ici la prochaine, ne laissez pas vos moments tristes guider votre vie. Laissez les hauts, et les sentiments de joie, de détermination, et d'invincibilité qui les accompagnent, vous guider dans la voie de l'espérance!
N'hésitez pas à me laisser vos questions via la boîte à talkback et à visiter mon site à l'adresse suivante: www.isabellebeisiegel.com
J'ai beaucoup appris durant ma semaine. Je parlais de glisser et de se relever la semaine dernière: j'ai beaucoup glissé et je me suis relevée souvent cette semaine! Quand une performance n'est pas à la hauteur de mes attentes, j'essaie toujours d'apprendre le plus possible.
Il y a une raison pour toutes les choses qui nous arrivent, même s'il y en a qui sont déplaisantes des fois! La première journée, j'ai joué avec le nouveau "driver" que j'ai choisi durant les trois semaines avant mon tournoi. Je n'ai jamais connu une aussi mauvaise ronde avec mon "driver"! J'étais partout! D'habitude, c'est mon bâton favori, mais je n'ai pas pu avoir la sensation merveilleuse du "sweet spot" une seule fois! Je commençais à penser que mon élan ou mes pensées n'étaient pas à la bonne place.
Avec ces doutes dans l'esprit, j'ai commencé ma deuxième ronde. J'ai décidé d'utiliser mon bon vieux "driver", celui avec lequel j'ai joué tous mes tournois l'an passé et cette année, à l'exception de la première ronde a Las Vegas. Et le "sweet spot" était revenu! Automatiquement; il n'y avait aucun problème!
Mon nouveau "driver" est un quart de pouce plus long que mon vieux; une légère différence peut faire une grosse différence durant un tournoi. C'est difficile pour moi de vraiment tester un driver et des bâtons car mon élan est beaucoup plus rapide en compétition. Je frappe environ 10 à 20 verges de plus avec mon "driver" durant une compétition. Alors les dynamiques du bâton changent et je ne peux pas les simuler en pratique.
La leçon réside dans le fait qu'en tant que golfeurs, quand les résultats ne sont pas là, nous pensons automatiquement qu'il y a un problème, soit mécanique ou psychologique. Nous ne pensons pas au quart de pouce, à l'équipement. Pour moi, au niveau auquel je joue, je sais que des petits changements peuvent avoir de grandes conséquences.
Mon swing est très constant; je travaille très fort pour l'avoir ainsi, et je me considère comme une athlète qui est très forte mentalement, qui combat peurs et doutes avec force. C'est ce qui m'amène à constater que mon putting est dans le même bateau que mon nouveau driver. J'ai travaillé très fort afin d'avoir un élan de putting qui est fondamentalement solide, et une routine physique et psychologique qui sont très effectives. Alors pourquoi mes résultats ne sont pas ou je les veux?
Je viens tout juste d'apprendre la réponse à cette question: l'équipement. Je dois trouver un putter qui aide à avoir un résultat constant. L'an passé, j'avais beaucoup de problèmes avec mes coups d'approche. J'ai travaillé fort durant la saison morte, et avec mes nouveaux wedges Ping, c'est le jour et la nuit! Je n'ai pas vraiment regardé différents putters durant l'hiver car je voulais avoir un élan constant. Maintenant que je l'ai, c'est le temps de faire mon travail et de m'équiper!
Même s'ils louent tes efforts, les internautes cherchent à savoir pourquoi tu sembles vouloir t'obstiner à vouloir aller jouer avec les hommes alors que tu éprouves beaucoup d'ennuis chez les femmes?
Je comprends que certains internautes regardent les résultats de mes récents tournois et questionnent mes ambitions de jouer avec les hommes. Il y a des hauts et des bas dans le golf, comme dans la vie. Mais il ne faut pas guider ses objectifs et ses ambitions vers le bas! Si votre enfant brise quelques-unes de ses dents de bébé, est-ce que vous lui direz de ne plus sourire car il ne pourrait jamais avoir un beau sourire? Ce serait ridicule, non? Les faits sont les suivants : mon score est le même à 7200 verges ou à 6500 verges (la longueur de notre dernier tournoi). Mes ambitions sont les mêmes et mes objectifs aussi hauts aujourd'hui que demain, qu'importe le résultat. Je connais mon potentiel, et quand je joue comme j'en suis capable, je pense que je suis la meilleure, homme ou femme. Alors j'attends patiemment que le vent tourne en ma faveur.
Parle-nous de ton prochain tournoi et de quelle façon tu l'abordes
Je suis très contente de mon cheminement cette semaine. J'ai gardé mes yeux ouverts et j'ai beaucoup d'espoir pour le prochain tournoi. Je me prépare pour le Tennessee (Franklin), et c'est là que j'aurai aussi un cadet différent, Pete. Pete sera avec moi pour le reste de l'année et mon mari viendra me visiter quand ce sera possible. C'est difficile de se séparer, car j'ai été gâtée l'an passé et ce printemps quand Daniel voyageait avec moi tout le temps. On prédit également que je gagnerai mon premier tournoi avec Pete; ceux qui disent que mon mari est un mauvais cadet auront raison!!! Mais je considère cette transition comme un défi, et j'ai hâte de commencer cette série de dix tournois de suite. J'adore jouer beaucoup et le rythme des tournois l'un après l'autre.
Peux-tu nous parler de ta fondation et de ses objectifs?
J'espère aussi achever les démarches prises afin d'établir mes efforts de charité très bientôt. J'aimerais pouvoir améliorer la qualité de vie des gens qui sont victimes du cancer, et d'améliorer les recherches sur cette maladie qui nous affecte tous. Le cancer affecte les hommes ou les femmes, les enfants ou les personnes âgées, et j'aimerais pouvoir toucher tout le monde au travers de cette charité. C'est très important pour moi de pouvoir aider ma communauté d'enfance dans la région de Montréal et j'ai très hâte de pouvoir mettre cette mission en branle.
J'aimerais vous remercier tous pour votre attention et tout votre encouragement. Je vous reparle bientôt du Tennessee, et d'ici la prochaine, ne laissez pas vos moments tristes guider votre vie. Laissez les hauts, et les sentiments de joie, de détermination, et d'invincibilité qui les accompagnent, vous guider dans la voie de l'espérance!
N'hésitez pas à me laisser vos questions via la boîte à talkback et à visiter mon site à l'adresse suivante: www.isabellebeisiegel.com