L'enjeu se décidera dimanche
Golf samedi, 18 juil. 2009. 19:20 samedi, 14 déc. 2024. 13:57
La première ronde du Skins Game québécois disputé sur les allées du golf de Berthier n'aura servi, en quelque sorte, qu'à aiguiser l'appétit des participants, en vue de la ronde finale.
En bout de ligne, Martin Plante (Balmoral), champion en titre, Rémi Bouchard (Le Mirage), Yvan Beauchemin (Grand-Mère) et Vincent Dumouchel (La Prairie), n'auront réussi qu'à soutirer un mince 900 $, de la bourse de 6 000 $ à l'enjeu de cette première journée, de sorte que tout se jouera véritablement dimanche.
Après que cette ronde initiale eut été retardée de près de deux heures, à cause de la pluie, Bouchard a donné le ton à la compétition avec un roulé de 25 pieds, bon pour un oiselet et une bourse de 400 $. Dumouchel a répliqué au trou suivant, alors qu'un oiselet lui a procuré un gain de 500 $.
Par la suite, ce fut un peu le jeu du chat et de la souris, de sorte qu'au départ, dimanche, les quatre compétiteurs batailleront pour un enjeu de 6 300 $, dès le premier trou.
Auteur du premier «skin» de la journée, Bouchard qualifiait cette première ronde de «correcte» dans l'ensemble. «Avec un terrain détrempé comme aujourd'hui, il devenait très difficile de s'ajuster avec les fers. Pour ce qui est des verts, nous savions pertinemment à quoi nous en tenir, surtout avec toute la pluie qui est tombée au fil des dernières heures.
«Quoiqu'il en soit, mis à part deux mauvais coups, je suis satisfait de ma journée dans l'ensemble. D'ailleurs, il y a déjà un bon bout de temps que je ne me tracasse plus avec une première journée de skins game, car je sais fort bien que c'est en deuxième journée que tout se joue», conclut Bouchard.
Vainqueur au deuxième trou, Dumouchel aurait pu se sauver avec une bourse beaucoup plus intéressante, notamment aux cinquième et sixième verts, alors que ses roulés ont tout juste contourné la coupe.
«Je suis néanmoins très content de ma journée. J'ai très bien frappé la balle et en bout de ligne je n'aurai raté qu'un vert en coups prescrits. J'étais peut-être un peu nerveux, au départ, mais je me suis calmé beaucoup après avoir gagné le deuxième trou. Ma façon de jouer, aujourd'hui, m'a définitivement mis en confiance pour la ronde finale de dimanche», note le jeune professionnel.
Yvan Beauchemin et Martin Plante, quant à eux, ont dû se contenter de la bourse garantie de 1 250 $, en lever de rideau de cette compétition dotée d'une bourse globale de 25 000 $.
«Avec neuf normales inscrites à la feuille de pointage, ce n'est pas vraiment payant. Hormis mes coups d'approche et deux bons coups de départ, le reste laissait un peu à désirer et je me propose de corriger la situation au terrain d'exercice, avant la ronde finale de dimanche», expliquait Yvan Beauchemin.
Finalement, le champion en titre, Martin Plante, expliquait que les verts détrempés lui avaient joué bien des tours. «J'aime jouer avec beaucoup d'effet rétro, sur mes coups d'approche, et ce n'était pas vraiment évident, aujourd'hui. Mais il faut vivre avec les caprices de dame nature.
«Il faut dire également que j'ai manqué un peu d'agressivité, au cinquième trou, sur un roulé d'une douzaine de pieds, alors qu'au sixième, j'ai complètement raté un coup de cocheur d'allée sur 102 verges», analysait-il en conclusion, tout en se consolant en pensant que l'an dernier, il avait été blanchi en première journée, avant de rafler le titre le lendemain.
En bout de ligne, Martin Plante (Balmoral), champion en titre, Rémi Bouchard (Le Mirage), Yvan Beauchemin (Grand-Mère) et Vincent Dumouchel (La Prairie), n'auront réussi qu'à soutirer un mince 900 $, de la bourse de 6 000 $ à l'enjeu de cette première journée, de sorte que tout se jouera véritablement dimanche.
Après que cette ronde initiale eut été retardée de près de deux heures, à cause de la pluie, Bouchard a donné le ton à la compétition avec un roulé de 25 pieds, bon pour un oiselet et une bourse de 400 $. Dumouchel a répliqué au trou suivant, alors qu'un oiselet lui a procuré un gain de 500 $.
Par la suite, ce fut un peu le jeu du chat et de la souris, de sorte qu'au départ, dimanche, les quatre compétiteurs batailleront pour un enjeu de 6 300 $, dès le premier trou.
Auteur du premier «skin» de la journée, Bouchard qualifiait cette première ronde de «correcte» dans l'ensemble. «Avec un terrain détrempé comme aujourd'hui, il devenait très difficile de s'ajuster avec les fers. Pour ce qui est des verts, nous savions pertinemment à quoi nous en tenir, surtout avec toute la pluie qui est tombée au fil des dernières heures.
«Quoiqu'il en soit, mis à part deux mauvais coups, je suis satisfait de ma journée dans l'ensemble. D'ailleurs, il y a déjà un bon bout de temps que je ne me tracasse plus avec une première journée de skins game, car je sais fort bien que c'est en deuxième journée que tout se joue», conclut Bouchard.
Vainqueur au deuxième trou, Dumouchel aurait pu se sauver avec une bourse beaucoup plus intéressante, notamment aux cinquième et sixième verts, alors que ses roulés ont tout juste contourné la coupe.
«Je suis néanmoins très content de ma journée. J'ai très bien frappé la balle et en bout de ligne je n'aurai raté qu'un vert en coups prescrits. J'étais peut-être un peu nerveux, au départ, mais je me suis calmé beaucoup après avoir gagné le deuxième trou. Ma façon de jouer, aujourd'hui, m'a définitivement mis en confiance pour la ronde finale de dimanche», note le jeune professionnel.
Yvan Beauchemin et Martin Plante, quant à eux, ont dû se contenter de la bourse garantie de 1 250 $, en lever de rideau de cette compétition dotée d'une bourse globale de 25 000 $.
«Avec neuf normales inscrites à la feuille de pointage, ce n'est pas vraiment payant. Hormis mes coups d'approche et deux bons coups de départ, le reste laissait un peu à désirer et je me propose de corriger la situation au terrain d'exercice, avant la ronde finale de dimanche», expliquait Yvan Beauchemin.
Finalement, le champion en titre, Martin Plante, expliquait que les verts détrempés lui avaient joué bien des tours. «J'aime jouer avec beaucoup d'effet rétro, sur mes coups d'approche, et ce n'était pas vraiment évident, aujourd'hui. Mais il faut vivre avec les caprices de dame nature.
«Il faut dire également que j'ai manqué un peu d'agressivité, au cinquième trou, sur un roulé d'une douzaine de pieds, alors qu'au sixième, j'ai complètement raté un coup de cocheur d'allée sur 102 verges», analysait-il en conclusion, tout en se consolant en pensant que l'an dernier, il avait été blanchi en première journée, avant de rafler le titre le lendemain.