Première ronde ordinaire pour le Tigre des bois
Golf jeudi, 16 août 2001. 20:50 samedi, 14 déc. 2024. 06:47
DULUTH, Georgie (AP) - Avant cette semaine, Tiger Woods et les professionnels des clubs de la PGA n'avaient qu'un point en commun: ils jouaient au golf. Maintenant, ils partagent autre chose: la crainte d'être éliminés du dernier tournoi du grand chelem de la saison après 36 trous.
Le joueur le plus dominant de la PGA n'a même pas été compétitif à l'intérieur de son groupe, jeudi.
Woods a abasourdi les nombreux amateurs venus le voir jouer en compagnie de David Duval (66) et de Retief Goosen (69), commettant deux doubles bogeys en route vers une ronde de 73, trois coups au-dessus de la normale.
Cette contre-performance l'a laissé à neuf coups du premier rang, que détient le Néo-Zélandais Grant Waite, et derrière des joueurs qui passent la majeure partie de l'année à vendre des équipements de golf.
Durant sa séquence de quatre victoires consécutives aux tournois majeurs, Woods a joué 63 consécutifs sans commettre un seul bogey.
Woods a inscrit au moins un double bogey lors des trois derniers tournois du grand chelem.
Mais qu'est-ce qui ne ve pas chez Tiger Woods?
"Je n'ai pas bien cogné la balle et je n'ai pas réussi autant de roulés que je le désirais, mais mon jeu ne se porte pas si mal. En éliminant les erreurs, je peux jouer sous la normale. Si j'y parviens demain (vendredi), je devrais être en mesure de grimper de quelques échelons au classement."
Woods a une lourde côte à remonter, lui qui n'a pas su profiter d'une journée où même des professionnels de terrains tels Rick Schuller et Bruce Zabriski ont pu jouer sous les 70.
Le fils de Zabriski, un élève de première année à Jupiter en Floride, a passé la semaine à demander à son père s'il pouvait battre Woods.
"Je pourrai lui dire que j'ai été meilleur que Tiger Woods une journée", a lancé Zabriski, auteur d'un 69.
David Duval a été nettement supérieur à Woods, jeudi. Le vainqueur de l'Omnium britannique s'est porté à la défense de son grand rival.
"Il est dans une position très difficile. S'il ne gagne pas chaque tournoi qu'il dispute, il est crucifié. Au golf, c'est difficile de demeurer au sommet du classement pendant plusieurs années. On s'attend tous à voir ses moments de gloire durer plus longtemps que ceux des autres joueurs. Mais il lui arrivera également d'avoir des moments sombres", a affirmé Duval.
Le joueur le plus dominant de la PGA n'a même pas été compétitif à l'intérieur de son groupe, jeudi.
Woods a abasourdi les nombreux amateurs venus le voir jouer en compagnie de David Duval (66) et de Retief Goosen (69), commettant deux doubles bogeys en route vers une ronde de 73, trois coups au-dessus de la normale.
Cette contre-performance l'a laissé à neuf coups du premier rang, que détient le Néo-Zélandais Grant Waite, et derrière des joueurs qui passent la majeure partie de l'année à vendre des équipements de golf.
Durant sa séquence de quatre victoires consécutives aux tournois majeurs, Woods a joué 63 consécutifs sans commettre un seul bogey.
Woods a inscrit au moins un double bogey lors des trois derniers tournois du grand chelem.
Mais qu'est-ce qui ne ve pas chez Tiger Woods?
"Je n'ai pas bien cogné la balle et je n'ai pas réussi autant de roulés que je le désirais, mais mon jeu ne se porte pas si mal. En éliminant les erreurs, je peux jouer sous la normale. Si j'y parviens demain (vendredi), je devrais être en mesure de grimper de quelques échelons au classement."
Woods a une lourde côte à remonter, lui qui n'a pas su profiter d'une journée où même des professionnels de terrains tels Rick Schuller et Bruce Zabriski ont pu jouer sous les 70.
Le fils de Zabriski, un élève de première année à Jupiter en Floride, a passé la semaine à demander à son père s'il pouvait battre Woods.
"Je pourrai lui dire que j'ai été meilleur que Tiger Woods une journée", a lancé Zabriski, auteur d'un 69.
David Duval a été nettement supérieur à Woods, jeudi. Le vainqueur de l'Omnium britannique s'est porté à la défense de son grand rival.
"Il est dans une position très difficile. S'il ne gagne pas chaque tournoi qu'il dispute, il est crucifié. Au golf, c'est difficile de demeurer au sommet du classement pendant plusieurs années. On s'attend tous à voir ses moments de gloire durer plus longtemps que ceux des autres joueurs. Mais il lui arrivera également d'avoir des moments sombres", a affirmé Duval.