Roy entend bien récidiver
Golf lundi, 19 juin 2006. 19:29 vendredi, 13 déc. 2024. 17:36
Montréal - Marc-André Roy est un excellent golfeur, pas besoin de dessin pour le comprendre. Il l'a d'ailleurs prouvé de belle façon, il y un mois, en remportant la classique Callaway Golf à sa toute première présence sur le circuit de compétitions des professionnels adjoints du Québec.
La deuxième classique Callaway Golf, du circuit du même nom, aura lieu le 21 juin prochain, sur les parcours Bleu et Blanc du club de golf Islesmere, à Laval. L'occasion sera belle pour le professionnel adjoint de Rosemère de démonter que sa performance du Château Bromont n'était pas qu'un feu de paille. Saura-t-il relever le défi qui s'offre à lui?
Le jeune diplômé en administration de l'université de la Caroline du Nord avait pulvérisé le parcours du Château Bromont en remettant une carte de 67, cinq coups sous la normale. Il s'était alors sauvé avec la victoire, par deux coups seulement, devant Jeffrey Gunn du club de golf Summerlea et Benjamin Noël, du club de golf Dallaire à Rouyn-Noranda.
À Islesmere, on comptera 82 golfeurs et golfeuses à convoiter une part de la bourse de 10 000 $, dont 2 000 $ iront au vainqueur. Gunn et Noël mettront inévitablement les bouchées doubles pour s'inscrire tout au haut du classement. Il devrait également en être ainsi pour les Paul Macleod (Royal Montréal), Chris Barber (The Landings) et Steven Pike (Île Perrot) qui n'étaient pas loin du vainqueur, à Bromont.
Stéphane Maltais (Berthier) en est un autre qui semble vouloir améliorer ses performances en 2006, après un départ plutôt lent sur le circuit des adjoints en 2005. Il a pris le sixième rang, au Château Bromont. Marc-André Roy risque donc d'avoir de la sérieuse compagnie, à l'occasion de ce deuxième rendez-vous de la saison.
Pour en revenir au champion de la première classique Callaway Golf de 2006, il ne s'est pas caché pour affirmer qu'il aimerait bien suivre l'exemple de son grand ami, Éric Couture, lequel a tout gagné, l'an dernier, sur le circuit des professionnels adjoints du Québec. "Qui sait, peut-être réussirai-je à l'imiter", note Roy, tout en ajoutant qu'il n'est pas toujours facile de passer de la parole aux actes.
Chose certaine, avec tous ces ingrédients bien mélangés, il est permis d'affirmer que la vinaigrette risque d'avoir fort bon goût, sur les allées du club de golf Islesmere, le mercredi 21 juin prochain.
La deuxième classique Callaway Golf, du circuit du même nom, aura lieu le 21 juin prochain, sur les parcours Bleu et Blanc du club de golf Islesmere, à Laval. L'occasion sera belle pour le professionnel adjoint de Rosemère de démonter que sa performance du Château Bromont n'était pas qu'un feu de paille. Saura-t-il relever le défi qui s'offre à lui?
Le jeune diplômé en administration de l'université de la Caroline du Nord avait pulvérisé le parcours du Château Bromont en remettant une carte de 67, cinq coups sous la normale. Il s'était alors sauvé avec la victoire, par deux coups seulement, devant Jeffrey Gunn du club de golf Summerlea et Benjamin Noël, du club de golf Dallaire à Rouyn-Noranda.
À Islesmere, on comptera 82 golfeurs et golfeuses à convoiter une part de la bourse de 10 000 $, dont 2 000 $ iront au vainqueur. Gunn et Noël mettront inévitablement les bouchées doubles pour s'inscrire tout au haut du classement. Il devrait également en être ainsi pour les Paul Macleod (Royal Montréal), Chris Barber (The Landings) et Steven Pike (Île Perrot) qui n'étaient pas loin du vainqueur, à Bromont.
Stéphane Maltais (Berthier) en est un autre qui semble vouloir améliorer ses performances en 2006, après un départ plutôt lent sur le circuit des adjoints en 2005. Il a pris le sixième rang, au Château Bromont. Marc-André Roy risque donc d'avoir de la sérieuse compagnie, à l'occasion de ce deuxième rendez-vous de la saison.
Pour en revenir au champion de la première classique Callaway Golf de 2006, il ne s'est pas caché pour affirmer qu'il aimerait bien suivre l'exemple de son grand ami, Éric Couture, lequel a tout gagné, l'an dernier, sur le circuit des professionnels adjoints du Québec. "Qui sait, peut-être réussirai-je à l'imiter", note Roy, tout en ajoutant qu'il n'est pas toujours facile de passer de la parole aux actes.
Chose certaine, avec tous ces ingrédients bien mélangés, il est permis d'affirmer que la vinaigrette risque d'avoir fort bon goût, sur les allées du club de golf Islesmere, le mercredi 21 juin prochain.