Stephen Ames savoure enfin la victoire
Golf dimanche, 4 juil. 2004. 21:24 mercredi, 11 déc. 2024. 17:33
LEMONT, Ill. (AP) - Stephen Ames a tenu la promesse qu'il avait faite à ses fils.
Après avoir disputé 165 tournois sans récolter une seule victoire, Ames a respecté sa parole, dimanche, en remportant l'Omnium Western. "Je leur avais promis en début de semaine que j'allais leur ramener le trophée, a raconté Ames, peinant à réprimer un sourire. C'était la première fois qu'ils m'accompagnaient sur le circuit depuis le tournoi de Phoenix et je leur ai dit: 'Les gars, je vais gagner cette semaine juste pour vous'.
"Et notre rêve est devenu réalité."
Le golfeur canadien a eu de la difficulté à rester concentré au cours des trois derniers trous. Il semblait abasourdi quand les amateurs l'ont accueilli avec une ovation debout à son arrivée au 18e vert. Après avoir confirmé la victoire, il a donné l'accolade à son cadet - son frère Robert - puis à ses fils, qui attendaient tout près de là.
"Les trois derniers trous, je regardais le tableau et c'était difficile, a reconnu Ames. Je n'arrêtais pas de demander où était mon épouse parce que je voulais m'assurer que mes garçons seraient là pour célébrer avec moi."
Membre du circuit de la PGA depuis 1996, Ames n'avait pu faire mieux qu'une deuxième place avant sa victoire.
"Je croyais que pour remporter un tournoi, il fallait toujours avoir l'élan parfait, mais je n'avais pas l'élan parfait, a-t-il expliqué. Il fallait que je commence à croire que mon élan était suffisamment bon pour l'emporter."
Ames savait toutefois qu'il ne s'agissait que d'une question de temps.
"Il suffisait d'attendre que ça arrive. Et cette semaine, c'est arrivé", a ajouté le golfeur originaire de Trinité et Tobago, dont la bourse de 864 000 $ US, obtenue dimanche, lui a permis de se retrouver avec des gains en carrière de 2,75 millions $.
"Je sais que ce sera gros, a affirmé Ames lorsqu'on lui a demandé si on ferait la fête dans sa ville adoptive, Calgary. Disons que je vais m'assurer que ce sera le cas.
"Je suis propriétaire d'un restaurant chez moi à Calgary. On va fermer le restaurant et inviter des gens à boire quelques bouteilles de champagne."
Après avoir disputé 165 tournois sans récolter une seule victoire, Ames a respecté sa parole, dimanche, en remportant l'Omnium Western. "Je leur avais promis en début de semaine que j'allais leur ramener le trophée, a raconté Ames, peinant à réprimer un sourire. C'était la première fois qu'ils m'accompagnaient sur le circuit depuis le tournoi de Phoenix et je leur ai dit: 'Les gars, je vais gagner cette semaine juste pour vous'.
"Et notre rêve est devenu réalité."
Le golfeur canadien a eu de la difficulté à rester concentré au cours des trois derniers trous. Il semblait abasourdi quand les amateurs l'ont accueilli avec une ovation debout à son arrivée au 18e vert. Après avoir confirmé la victoire, il a donné l'accolade à son cadet - son frère Robert - puis à ses fils, qui attendaient tout près de là.
"Les trois derniers trous, je regardais le tableau et c'était difficile, a reconnu Ames. Je n'arrêtais pas de demander où était mon épouse parce que je voulais m'assurer que mes garçons seraient là pour célébrer avec moi."
Membre du circuit de la PGA depuis 1996, Ames n'avait pu faire mieux qu'une deuxième place avant sa victoire.
"Je croyais que pour remporter un tournoi, il fallait toujours avoir l'élan parfait, mais je n'avais pas l'élan parfait, a-t-il expliqué. Il fallait que je commence à croire que mon élan était suffisamment bon pour l'emporter."
Ames savait toutefois qu'il ne s'agissait que d'une question de temps.
"Il suffisait d'attendre que ça arrive. Et cette semaine, c'est arrivé", a ajouté le golfeur originaire de Trinité et Tobago, dont la bourse de 864 000 $ US, obtenue dimanche, lui a permis de se retrouver avec des gains en carrière de 2,75 millions $.
"Je sais que ce sera gros, a affirmé Ames lorsqu'on lui a demandé si on ferait la fête dans sa ville adoptive, Calgary. Disons que je vais m'assurer que ce sera le cas.
"Je suis propriétaire d'un restaurant chez moi à Calgary. On va fermer le restaurant et inviter des gens à boire quelques bouteilles de champagne."