Tests antidopages: Woods en faveur
Golf vendredi, 25 août 2006. 10:24 samedi, 14 déc. 2024. 15:33
AKRON (AFP) - L'Américain Tiger Woods, le numéro un mondial, s'est dit favorable jeudi à l'instauration de contrôles antidopage dans le golf, comme d'autres vedettes des verts avant lui.
"Nous devrions agir plutôt que d'avoir à réagir", a déclaré l'Américain, qui défend cette semaine son titre au tournoi d'Akron, comptant pour le circuit de la PGA.
"C'est un beau sport et le golf a toujours été propre. Nous devrions prendre des mesures de précaution pour que notre sport reste aussi propre que possible, et mettre en place un programme" avant que cela devienne un problème, a ajouté le roi du circuit.
Selon lui, le golf pourrait prendre exemple sur la liste de produits interdits de l'Agence mondiale antidopage (AMA), et l'adapter: "Des sports ne retiennent pas certaines choses et d'autres sont très stricts. Ils ne peuvent même pas prendre de l'aspirine, je ne sais pas comment ça pourrait marcher".
Alors que le sport américain est secoué cet été par les affaires de dopage, avec les cas de Floyd Landis, vainqueur contesté du Tour de France cycliste, et des sprinteurs Marion Jones et Justin Gatlin, le commissaire du PGA Tim Finchem a répété mercredi qu'il n'y avait pas de projet de contrôles antidopage sur le circuit.
Le golf devrait cependant faire un premier essai en vue de l'introduction d'un système international antidopage en procédant à des contrôles lors des Championnats du monde amateurs par équipe en Afrique du Sud en octobre.
Cette première tentative est cependant loin des standards déjà appliqués dans la plupart des autres sports. Tous les participants ont déjà été avisés qu'ils pourraient être soumis à des contrôles et ceux qui renoncent finalement à participer au tournoi sud-africain ne seront pas du tout testés.
"Nous devrions agir plutôt que d'avoir à réagir", a déclaré l'Américain, qui défend cette semaine son titre au tournoi d'Akron, comptant pour le circuit de la PGA.
"C'est un beau sport et le golf a toujours été propre. Nous devrions prendre des mesures de précaution pour que notre sport reste aussi propre que possible, et mettre en place un programme" avant que cela devienne un problème, a ajouté le roi du circuit.
Selon lui, le golf pourrait prendre exemple sur la liste de produits interdits de l'Agence mondiale antidopage (AMA), et l'adapter: "Des sports ne retiennent pas certaines choses et d'autres sont très stricts. Ils ne peuvent même pas prendre de l'aspirine, je ne sais pas comment ça pourrait marcher".
Alors que le sport américain est secoué cet été par les affaires de dopage, avec les cas de Floyd Landis, vainqueur contesté du Tour de France cycliste, et des sprinteurs Marion Jones et Justin Gatlin, le commissaire du PGA Tim Finchem a répété mercredi qu'il n'y avait pas de projet de contrôles antidopage sur le circuit.
Le golf devrait cependant faire un premier essai en vue de l'introduction d'un système international antidopage en procédant à des contrôles lors des Championnats du monde amateurs par équipe en Afrique du Sud en octobre.
Cette première tentative est cependant loin des standards déjà appliqués dans la plupart des autres sports. Tous les participants ont déjà été avisés qu'ils pourraient être soumis à des contrôles et ceux qui renoncent finalement à participer au tournoi sud-africain ne seront pas du tout testés.