Amphithéâtre: les négos se poursuivent
Hockey mardi, 21 juin 2011. 16:31 jeudi, 12 déc. 2024. 20:00
QUÉBEC - Le maire de Québec Régis Labeaume a déclaré mardi que la finalisation d'une entente avec le conglomérat Quebecor est toujours en cours de négociation, malgré le report de l'adoption d'une loi spéciale qu'il avait réclamée d'urgence.
L'embauche de quatre experts qui travailleront sur le projet d'amphithéâtre a aussi été ratifiée lundi par le comité exécutif.
M. Labeaume a cependant affirmé que le projet devrait être réévalué si jamais la loi 204, qui doit légaliser l'entente de gestion octroyée sans appel d'offres, n'était pas adoptée en septembre, comme l'a pourtant promis le premier ministre Jean Charest.
Entre-temps, a indiqué M. Labeaume, la Ville de Québec continue ses activités, notamment avec l'embauche de quatre experts, qualifiant ces démarches « d'investissement minimum ».
Lors d'un point de presse, le maire a affirmé que les négociations allaient se poursuivre avec Quebecor jusqu'à la date limite du 7 septembre afin de finaliser l'entente de gestion, sans possibilité de prolonger ce délai.
« On avait déjà commencé alors on n'a pas arrêté ça parce que c'est un contrat final à négocier, alors on continue jusqu'au 7 septembre », a-t-il dit.
En contrepartie de la gestion de l'amphithéâtre, l'entreprise s'est engagée à verser entre 110 et 200 millions $ sur 25 ans à la Ville, incluant 33 ou 63 million $ pour les droits d'identification de l'édifice.
« On continue à planifier et après ça, s'il n'y a pas de loi 204, il faudra qu'on repense à notre affaire, a-t-il dit. Parce que c'est 33 ou 63 millions $, c'est un autre montage financier, alors c'est une autre affaire qui est complètement différente. »
En marge d'une conférence de presse sur un bilan du 400e anniversaire de Québec, M. Labeaume a éludé la question d'éventuels retards sur l'échéancier des travaux.
« On va se donner rendez-vous à l'automne », a-t-il dit.
Devant la commission parlementaire sur le projet de loi 204, au début du mois, M. Labeaume avait pourtant plaidé qu'il fallait adopter de toute urgence la pièce législative.
Selon le maire, tout report engendrerait des retards dans l'échéancier du projet de 400 millions $, dont les coûts sont partagés entre le gouvernement du Québec et la Ville, et compromettrait sa réalisation.
Mardi, M. Labeaume a affirmé que le projet suit malgré tout son court, même s'il a soutenu ne pas faire « de grosses dépenses » actuellement.
« Ce n'est pas mort, je n'ai jamais dit que c'était mort », a-t-il dit.
Le comité exécutif a entériné lundi l'embauche de quatre personnes qui seront affectées au projet d'amphithéâtre afin de planifier les travaux d'architecture, la gestion des coûts et évaluer les besoins en équipement.
Le directeur adjoint responsable des équipements et mobiliers spécialisés, Sylvain Daniel, aura notamment comme tâche de diriger les discussions avec Quebecor pour assurer l'équilibre entre les besoins de l'entreprise et les fonds dont la Ville dispose.
Fait à noter, la date d'embauche de trois des quatre experts se situe avant la ratification de cette décision par le comité exécutif.
Ils sont ainsi embauchés depuis le 30 mai ou le 6 juin, tandis qu'un quatrième entrera en fonction en août.
La durée de leurs mandats varie entre un peu moins d'un mois et six mois.
L'embauche de quatre experts qui travailleront sur le projet d'amphithéâtre a aussi été ratifiée lundi par le comité exécutif.
M. Labeaume a cependant affirmé que le projet devrait être réévalué si jamais la loi 204, qui doit légaliser l'entente de gestion octroyée sans appel d'offres, n'était pas adoptée en septembre, comme l'a pourtant promis le premier ministre Jean Charest.
Entre-temps, a indiqué M. Labeaume, la Ville de Québec continue ses activités, notamment avec l'embauche de quatre experts, qualifiant ces démarches « d'investissement minimum ».
Lors d'un point de presse, le maire a affirmé que les négociations allaient se poursuivre avec Quebecor jusqu'à la date limite du 7 septembre afin de finaliser l'entente de gestion, sans possibilité de prolonger ce délai.
« On avait déjà commencé alors on n'a pas arrêté ça parce que c'est un contrat final à négocier, alors on continue jusqu'au 7 septembre », a-t-il dit.
En contrepartie de la gestion de l'amphithéâtre, l'entreprise s'est engagée à verser entre 110 et 200 millions $ sur 25 ans à la Ville, incluant 33 ou 63 million $ pour les droits d'identification de l'édifice.
« On continue à planifier et après ça, s'il n'y a pas de loi 204, il faudra qu'on repense à notre affaire, a-t-il dit. Parce que c'est 33 ou 63 millions $, c'est un autre montage financier, alors c'est une autre affaire qui est complètement différente. »
En marge d'une conférence de presse sur un bilan du 400e anniversaire de Québec, M. Labeaume a éludé la question d'éventuels retards sur l'échéancier des travaux.
« On va se donner rendez-vous à l'automne », a-t-il dit.
Devant la commission parlementaire sur le projet de loi 204, au début du mois, M. Labeaume avait pourtant plaidé qu'il fallait adopter de toute urgence la pièce législative.
Selon le maire, tout report engendrerait des retards dans l'échéancier du projet de 400 millions $, dont les coûts sont partagés entre le gouvernement du Québec et la Ville, et compromettrait sa réalisation.
Mardi, M. Labeaume a affirmé que le projet suit malgré tout son court, même s'il a soutenu ne pas faire « de grosses dépenses » actuellement.
« Ce n'est pas mort, je n'ai jamais dit que c'était mort », a-t-il dit.
Le comité exécutif a entériné lundi l'embauche de quatre personnes qui seront affectées au projet d'amphithéâtre afin de planifier les travaux d'architecture, la gestion des coûts et évaluer les besoins en équipement.
Le directeur adjoint responsable des équipements et mobiliers spécialisés, Sylvain Daniel, aura notamment comme tâche de diriger les discussions avec Quebecor pour assurer l'équilibre entre les besoins de l'entreprise et les fonds dont la Ville dispose.
Fait à noter, la date d'embauche de trois des quatre experts se situe avant la ratification de cette décision par le comité exécutif.
Ils sont ainsi embauchés depuis le 30 mai ou le 6 juin, tandis qu'un quatrième entrera en fonction en août.
La durée de leurs mandats varie entre un peu moins d'un mois et six mois.