Auld aime l'ouverture d'esprit de Price
Hockey mercredi, 27 oct. 2010. 13:31 mercredi, 11 déc. 2024. 14:28
Les performances inspirées de Carey Price depuis le début de saison contribuent au succès du Canadien et Alex Auld est loin de s'en plaindre même s'il n'a pas encore goûté à l'action en huit matchs.
Le nouveau gardien réserviste du Tricolore connaissait son rôle dès le départ et il se réjouit de la relation qu'il a développée avec Price au cours des dernières semaines.
«Tu ne sais jamais comment deux personnalités vont s'entendre, mais nous avons vraiment bonne relation surtout que nous sommes deux gardiens plutôt faciles à côtoyer», explique-t-il. «Je savais dès la signature de mon contrat que je voulais avant tout être un bon coéquipier pour lui.»
Le vétéran de 29 ans apprécie en premier lieu l'ouverture d'esprit de Price.
«C'est le point que je retiens le plus, il a été attentif à tout ce que j'ai suggéré et il peut venir me voir et me demander des choses sur des situations en particulier», a raconté Auld au RDS.ca.
D'ailleurs, Auld tente de contribuer sur un aspect précis grâce à son passage chez les Stars de Dallas la saison dernière.
«J'ai eu la chance de pouvoir observer de près Marty Turco l'an dernier avec le maniement de la rondelle. Ce n'était pas l'une de mes forces et j'ai senti que j'ai beaucoup appris en lui demandant des conseils. J'essaie de communiquer ces notions avec les défenseurs et je discute souvent de ce sujet avec Carey», a précisé Auld en ajoutant qu'il n'est pas nécessaire de posséder les atouts de Turco pour maîtriser cette facette.
Au terme de l'entraînement matinal de mercredi, Auld ignorait toujours s'il allait avoir le plaisir d'entrer dans la mêlée pour une première fois vendredi au domicile des Islanders.
«Je sais que ça viendra éventuellement et je me concentre là-dessus tout en restant au sommet de ma forme. J'aborde chaque entraînement de façon méthodique parce que tu ne sais jamais quand tu auras une chance et ça fait partie de mon rôle», souligne celui qui a été l'un des derniers à quitter la patinoire.
Confiné au rôle de deuxième gardien dès son arrivée dans la LNH, Auld ne semble pas trop préoccupé par cet exercice de patience.
«Bien sûr, tu as toujours hâte de disputer ton premier match de la saison, mais on se supporte et je veux que l'équipe connaisse du succès comme c'est le cas présentement. Je suis prêt à mettre de côté beaucoup de choses personnelles», a-t-il admis.
Celui qui a signé un contrat d'une saison d'une valeur d'un million avec l'organisation montréalaise passe donc plusieurs moments en compagnie de l'entraîneur des gardiens Pierre Groulx.
«On travaille sur tous les aspects en abordant deux à trois éléments chaque jour ou chaque semaine. La patience, dans le jeu et à l'extérieur, ainsi que la récupération sont les points les plus importants. Par exemple, sur les exercices de deux attaquants contre le gardien, tu te retrouves en désavantage, mais j'apprends à être patient et à lire leurs intentions en observant leur bâton et leurs gestes», détaille l'ancien des Canucks, des Panthers, des Coyotes, des Bruins, des Sénateurs, des Stars et des Rangers.
«Je dois aussi demeurer confiant et avoir le bon état d'esprit pour y arriver car je n'ai pas l'occasion de disputer plusieurs parties», note l'athlète de six pieds et quatre pouces.
Afin de garder le sourire, Auld peut aussi s'inspirer des nombreux gardiens réservistes de la LNH qui s'illustrent cette saison comme Michal Neuvirth (Capitals), Tim Thomas (Bruins), Brent Johnson (Penguins) ou Cory Schneider (Canucks).
«Ça me motive parce que quand tu joues, tu contribues au succès de ton équipe et tu peux montrer ce dont tu es capable à tes coéquipiers et tes entraîneurs. Je souhaite bien sûr jouer plus souvent et tenter d'obtenir du temps d'utilisation, mais il faut le faire en aidant l'équipe», conclut le numéro 35.
Le nouveau gardien réserviste du Tricolore connaissait son rôle dès le départ et il se réjouit de la relation qu'il a développée avec Price au cours des dernières semaines.
«Tu ne sais jamais comment deux personnalités vont s'entendre, mais nous avons vraiment bonne relation surtout que nous sommes deux gardiens plutôt faciles à côtoyer», explique-t-il. «Je savais dès la signature de mon contrat que je voulais avant tout être un bon coéquipier pour lui.»
Le vétéran de 29 ans apprécie en premier lieu l'ouverture d'esprit de Price.
«C'est le point que je retiens le plus, il a été attentif à tout ce que j'ai suggéré et il peut venir me voir et me demander des choses sur des situations en particulier», a raconté Auld au RDS.ca.
D'ailleurs, Auld tente de contribuer sur un aspect précis grâce à son passage chez les Stars de Dallas la saison dernière.
«J'ai eu la chance de pouvoir observer de près Marty Turco l'an dernier avec le maniement de la rondelle. Ce n'était pas l'une de mes forces et j'ai senti que j'ai beaucoup appris en lui demandant des conseils. J'essaie de communiquer ces notions avec les défenseurs et je discute souvent de ce sujet avec Carey», a précisé Auld en ajoutant qu'il n'est pas nécessaire de posséder les atouts de Turco pour maîtriser cette facette.
Au terme de l'entraînement matinal de mercredi, Auld ignorait toujours s'il allait avoir le plaisir d'entrer dans la mêlée pour une première fois vendredi au domicile des Islanders.
«Je sais que ça viendra éventuellement et je me concentre là-dessus tout en restant au sommet de ma forme. J'aborde chaque entraînement de façon méthodique parce que tu ne sais jamais quand tu auras une chance et ça fait partie de mon rôle», souligne celui qui a été l'un des derniers à quitter la patinoire.
Confiné au rôle de deuxième gardien dès son arrivée dans la LNH, Auld ne semble pas trop préoccupé par cet exercice de patience.
«Bien sûr, tu as toujours hâte de disputer ton premier match de la saison, mais on se supporte et je veux que l'équipe connaisse du succès comme c'est le cas présentement. Je suis prêt à mettre de côté beaucoup de choses personnelles», a-t-il admis.
Celui qui a signé un contrat d'une saison d'une valeur d'un million avec l'organisation montréalaise passe donc plusieurs moments en compagnie de l'entraîneur des gardiens Pierre Groulx.
«On travaille sur tous les aspects en abordant deux à trois éléments chaque jour ou chaque semaine. La patience, dans le jeu et à l'extérieur, ainsi que la récupération sont les points les plus importants. Par exemple, sur les exercices de deux attaquants contre le gardien, tu te retrouves en désavantage, mais j'apprends à être patient et à lire leurs intentions en observant leur bâton et leurs gestes», détaille l'ancien des Canucks, des Panthers, des Coyotes, des Bruins, des Sénateurs, des Stars et des Rangers.
«Je dois aussi demeurer confiant et avoir le bon état d'esprit pour y arriver car je n'ai pas l'occasion de disputer plusieurs parties», note l'athlète de six pieds et quatre pouces.
Afin de garder le sourire, Auld peut aussi s'inspirer des nombreux gardiens réservistes de la LNH qui s'illustrent cette saison comme Michal Neuvirth (Capitals), Tim Thomas (Bruins), Brent Johnson (Penguins) ou Cory Schneider (Canucks).
«Ça me motive parce que quand tu joues, tu contribues au succès de ton équipe et tu peux montrer ce dont tu es capable à tes coéquipiers et tes entraîneurs. Je souhaite bien sûr jouer plus souvent et tenter d'obtenir du temps d'utilisation, mais il faut le faire en aidant l'équipe», conclut le numéro 35.