Biron et Umberger encensés
Hockey jeudi, 1 mai 2008. 12:59 vendredi, 13 déc. 2024. 04:55
Les prestations de Martin Biron et de R.J. Umberger continuent de faire les manchettes à Philadelphie.
Le chroniqueur de Philadelphia Daily News, Sam Donnellon, souligne qu'il s'agit de la plus belle histoire de la ville de Philadelphie, comme ce fut le cas avec Jimmy Rollins (Phillies) la saison dernière, comme ce fut le cas avec Allen Iverson lorsque les 76ers ont atteint la finale de la NBA, et comme ce fut le cas avec Keith Primeau lorsque les Flyers ont connu du succès en séries pour la dernière fois.
Toutes les belles histoires des dernières semaines lui sont reliées. Le nouveau bébé dans sa famille. Les jeux blancs face aux Devils et aux Penguins lors des deux derniers matchs de la saison régulière. Ses premières séries à titre de gardien numéro un à l'âge de 30 ans. Et ses succès face au Canadien.
Malgré tout, le Québécois demeure les pieds sur terre.
"On doit en prendre et en laisser", a indiqué Biron lorsqu'il fut interrogé sur son statut de célébrité au terme du quatrième match face au Tricolore. "Lorsque les choses vont bien, les gens te lancent des fleurs. Toutefois, si ça va mal, lève la tête car le pot s'en vient."
Le journaliste rapporte aussi les paroles de Guy Carbonneau sur les prestations de Biron.
"J'ai déjà joué avec un gars qui effectuait ce genre d'arrêts", a indiqué Carbo. Donnellon mentionne que Carbonneau faisait référence à Ed Belfour lorsqu'il a remporté la coupe Stanley à Dallas. Parions toutefois que Carbo avait plutôt Patrick Roy en tête.
Umberger... le bouche-trou
Umberger en est un autre qui attire les journalistes de Philadelphie par le temps qui court. L'attaquant a marqué ses cinquième et sixième buts de la série lors du quatrième affrontement.
Pas mal pour un gars qui a débuté les séries sur la quatrième ligne.
"R.J. a été sensationnel", a indiqué l'entraîneur des Flyers, John Stevens. "Le crédit lui revient. Il est, en quelque sorte, un sans-abri. Je l'ai placé sur tous les trios inimaginables dans les meilleurs intérêts de l'équipe. C'est ce qui fait de lui un joueur si efficace. »
Stevens a eu un entretien avec Umberger avant les séries afin de lui expliquer sa rétrogradation. Umberger se remettait d'une blessure à un genou et il n'était pas suffisamment agressif sur la rondelle. Le principal intéressé n'était pas heureux, mais il comprenait la situation.
"J'attendais ce moment (les séries) depuis longtemps. Je voulais être celui qui ferait la différence dans notre équipe. Je voulais montrer à l'entraîneur que j'avais ma place au sein de la formation."
Umberger s'est retrouvé sur l'unité de Jeff Carter lorsque Mike Knuble a été blessé. Même s'il a marqué quatre buts en trois matchs, Umberger a changé de trio au retour de Knuble, mercredi. Il s'est retrouvé avec Mike Richards.
"Mike (Knuble) est un très bon joueur", a mentionné Umberger. "Ce trio a bien fonctionné pendant toute la saison. Je savais qu'à son retour, je serais muté de nouveau."
Malgré ce changement, Umberger a marqué deux autres buts dans le quatrième match.
Le chroniqueur de Philadelphia Daily News, Sam Donnellon, souligne qu'il s'agit de la plus belle histoire de la ville de Philadelphie, comme ce fut le cas avec Jimmy Rollins (Phillies) la saison dernière, comme ce fut le cas avec Allen Iverson lorsque les 76ers ont atteint la finale de la NBA, et comme ce fut le cas avec Keith Primeau lorsque les Flyers ont connu du succès en séries pour la dernière fois.
Toutes les belles histoires des dernières semaines lui sont reliées. Le nouveau bébé dans sa famille. Les jeux blancs face aux Devils et aux Penguins lors des deux derniers matchs de la saison régulière. Ses premières séries à titre de gardien numéro un à l'âge de 30 ans. Et ses succès face au Canadien.
Malgré tout, le Québécois demeure les pieds sur terre.
"On doit en prendre et en laisser", a indiqué Biron lorsqu'il fut interrogé sur son statut de célébrité au terme du quatrième match face au Tricolore. "Lorsque les choses vont bien, les gens te lancent des fleurs. Toutefois, si ça va mal, lève la tête car le pot s'en vient."
Le journaliste rapporte aussi les paroles de Guy Carbonneau sur les prestations de Biron.
"J'ai déjà joué avec un gars qui effectuait ce genre d'arrêts", a indiqué Carbo. Donnellon mentionne que Carbonneau faisait référence à Ed Belfour lorsqu'il a remporté la coupe Stanley à Dallas. Parions toutefois que Carbo avait plutôt Patrick Roy en tête.
Umberger... le bouche-trou
Umberger en est un autre qui attire les journalistes de Philadelphie par le temps qui court. L'attaquant a marqué ses cinquième et sixième buts de la série lors du quatrième affrontement.
Pas mal pour un gars qui a débuté les séries sur la quatrième ligne.
"R.J. a été sensationnel", a indiqué l'entraîneur des Flyers, John Stevens. "Le crédit lui revient. Il est, en quelque sorte, un sans-abri. Je l'ai placé sur tous les trios inimaginables dans les meilleurs intérêts de l'équipe. C'est ce qui fait de lui un joueur si efficace. »
Stevens a eu un entretien avec Umberger avant les séries afin de lui expliquer sa rétrogradation. Umberger se remettait d'une blessure à un genou et il n'était pas suffisamment agressif sur la rondelle. Le principal intéressé n'était pas heureux, mais il comprenait la situation.
"J'attendais ce moment (les séries) depuis longtemps. Je voulais être celui qui ferait la différence dans notre équipe. Je voulais montrer à l'entraîneur que j'avais ma place au sein de la formation."
Umberger s'est retrouvé sur l'unité de Jeff Carter lorsque Mike Knuble a été blessé. Même s'il a marqué quatre buts en trois matchs, Umberger a changé de trio au retour de Knuble, mercredi. Il s'est retrouvé avec Mike Richards.
"Mike (Knuble) est un très bon joueur", a mentionné Umberger. "Ce trio a bien fonctionné pendant toute la saison. Je savais qu'à son retour, je serais muté de nouveau."
Malgré ce changement, Umberger a marqué deux autres buts dans le quatrième match.