Brendan Gallagher, un éternel négligé
Hockey mercredi, 21 déc. 2011. 17:56 vendredi, 13 déc. 2024. 03:55
Brendan Gallagher a été l'une des sensations du dernier camp d'entrainement du Canadien et peu s'en est fallu pour qu'il amorce la saison avec le grand club.
Gallagher est finalement retourné à Vancouver, dans la Ligue junior de l'Ouest, où il a accumulé 46 points en 28 matchs depuis le début de la saison. Et du 26 décembre au 5 janvier, il fera tout en son pouvoir pour aider Équipe Canada à gagner une première médaille d'or en trois ans.
"Je crois être un joueur assez polyvalent, évalue Gallagher. Je peux être utilisé dans toutes sortes de situations, remplir n'importe quel rôle qu'on veut bien me confier. Que ce soit sur le premier ou le quatrième trop, je vais tout donner."
Au cours du prochain championnat mondial, Gallagher, qui mesure 5 pieds 8 pouces et pèse 178 livres, va retrouver son entraîneur Don Hay, qui le dirige depuis trois ans et demi chez les Giants. Mais le choix de cinquième ronde du Canadien en 2010 ne s'attend pas à obtenir de traitements de faveur.
"Je sais qu'il ne fera pas de cadeau à personne. J'ai dû mériter ma place au sein de l'équipe. Le seul avantage que je peux avoir, c'est de le connaître et de savoir ce qu'il attend de ses joueurs", se défend le prolifique marqueur.
"Brendan est un joueur spécial. Il est un jeune homme très compétitif qui s'améliore constamment. Et malgré tout ce qu'il fait, il est toujours le négligé", constate Hay.
Gallagher va évidemment avoir la tête en Alberta au cours des deux prochaines semaines, mais l'an prochain c'est à Montréal qu'il espère jouer.
"L'automne dernier, j'ai forcé l'organisation à prendre une décision difficile, mais l'an prochain, au camp, mon seul objectif sera de faire ma place sur l'équipe."
"Je ne parierai jamais contre Brendan Gallagher dans sa quête pour faire sa place dans la LNH", se contente de dire Hay.
Gallagher s'inspire de son idole Martin St-Louis pour progresser dans le hockey. Le CH souhaite maintenant que le patineur originaire de la Colombie-Britannique connaisse le même genre de carrière que le joueur du Lightning.
*D'après un reportage de Stéphane Leroux.
Gallagher est finalement retourné à Vancouver, dans la Ligue junior de l'Ouest, où il a accumulé 46 points en 28 matchs depuis le début de la saison. Et du 26 décembre au 5 janvier, il fera tout en son pouvoir pour aider Équipe Canada à gagner une première médaille d'or en trois ans.
"Je crois être un joueur assez polyvalent, évalue Gallagher. Je peux être utilisé dans toutes sortes de situations, remplir n'importe quel rôle qu'on veut bien me confier. Que ce soit sur le premier ou le quatrième trop, je vais tout donner."
Au cours du prochain championnat mondial, Gallagher, qui mesure 5 pieds 8 pouces et pèse 178 livres, va retrouver son entraîneur Don Hay, qui le dirige depuis trois ans et demi chez les Giants. Mais le choix de cinquième ronde du Canadien en 2010 ne s'attend pas à obtenir de traitements de faveur.
"Je sais qu'il ne fera pas de cadeau à personne. J'ai dû mériter ma place au sein de l'équipe. Le seul avantage que je peux avoir, c'est de le connaître et de savoir ce qu'il attend de ses joueurs", se défend le prolifique marqueur.
"Brendan est un joueur spécial. Il est un jeune homme très compétitif qui s'améliore constamment. Et malgré tout ce qu'il fait, il est toujours le négligé", constate Hay.
Gallagher va évidemment avoir la tête en Alberta au cours des deux prochaines semaines, mais l'an prochain c'est à Montréal qu'il espère jouer.
"L'automne dernier, j'ai forcé l'organisation à prendre une décision difficile, mais l'an prochain, au camp, mon seul objectif sera de faire ma place sur l'équipe."
"Je ne parierai jamais contre Brendan Gallagher dans sa quête pour faire sa place dans la LNH", se contente de dire Hay.
Gallagher s'inspire de son idole Martin St-Louis pour progresser dans le hockey. Le CH souhaite maintenant que le patineur originaire de la Colombie-Britannique connaisse le même genre de carrière que le joueur du Lightning.
*D'après un reportage de Stéphane Leroux.