Brisebois rentre au bercail
Hockey vendredi, 3 août 2007. 11:20 samedi, 14 déc. 2024. 11:42
MONTRÉAL - Patrice Brisebois, qui fut déjà la cible des partisans mécontents du Canadien lors de ses bourdes occasionnelles en défensive, est de retour à Montréal.
Vendredi, le défenseur de 36 ans a signé en tant que joueur autonome sans restriction un contrat d'un an avec le Canadien. Le Québécois empochera un salaire de base de 700 000 $, auquel des bonis de 700 000 $ pourraient s'ajouter, a appris RDS.
«Je crois que je peux apporter beaucoup à l'équipe. Du leadership, de la profondeur», a soutenu Brisebois lors d'une rencontre avec des journalistes en fin d'après-midi.
«Je serai peut-être l'un des quatre premiers défenseurs, ou peut-être le cinquième ou le sixième, ou je jouerai peut-être en désavantage numérique. J'ignore comment ils m'utiliseront mais je sais que je donnerai tout ce que j'ai pour cette équipe, mon coeur et mon âme.
«J'ai toujours fait cela. J'ai 36 ans et je suis toujours passionné par ce sport. Je veux compétitionner, aider ce club à gagner et à se qualifier pour les séries.»
Brisebois croit en outre qu'il a un rôle de mentor à jouer auprès des jeunes, ajoutant qu'il partagerait son expérience avec ceux-ci, tant sur la glace qu'à l'extérieur de celle-ci.
Le défenseur a accepté de revenir avec le Tricolore à la suite d'un diner avec le directeur général du Canadien, Bob Gainey, il y a deux ou trois semaines. Gainey avait alors indiqué à Brisebois qu'il souhait s'entretenir de son avenir.
«C'est Bob Gainey, un homme que je respecte énormément», a soutenu Brisebois. Qualifiant Gainey de «gentleman» et affirmant qu'il avait apprécié voir ce dernier prendre son parti face aux partisans qui le huaient, Brisebois a reconnu avoir été excité lorsque Gainey lui a laissé entendre que son avenir passait peut-être par le Canadien.
«J'étais vraiment content.»
Les négociations ont été entreprises après cette rencontre.
Brisebois affirme avoir hâte de jouer pour l'entraineur Guy Carbonneau, son premier co-chambreur avec le Canadien et son capitaine alors qu'il évoluait à Montréal.
Brisebois a disputé les deux dernières saisons avec l'Avalanche du Colorado. On s'attend à ce qu'il aide à améliorer le jeu de puissance du Tricolore, l'équipe ayant perdu les services du défenseur et joueur autonome Sheldon Souray, qui s'est joint aux Oilers d'Edmonton.
«J'ai beaucoup apprécié mes deux années avec l'Avalanche. La première année a été excellente alors que j'ai joué du très très bon hockey. L'an dernier j'ai malheureusement été opéré au dos.»
Selon Brisebois, son dos est guéri et il est prêt à jouer à nouveau. Il retournera d'ailleurs sur la glace lundi.
«Je me sens heureux et en pleine forme. J'ai hâte d'amorcer la saison, de réenfiler mon chandail et de sauter sur la glace. Montréal est le meilleur endroit pour jouer au hockey.»
Brisebois est optimiste quant à ce qui attend l'équipe cette saison, soutenant que la chimie entre les joueurs est bonne.
Le défenseur a fait ses débuts dans la LNH avec le Canadien en 1991, remportant la Coupe Stanley avec l'équipe en 1993.
Ses erreurs occasionnelles à la défensive en ont toutefois fait une cible de choix pour les huées au Centre Bell.
«Je suis ici pour jouer au hockey» indique le défenseur, qui se dit peu inquiet de la réaction des partisans montréalais.
La fiche de Brisebois est de 90 buts et 301 mentions d'aide en 904 matchs dans la LNH.
Vendredi, le défenseur de 36 ans a signé en tant que joueur autonome sans restriction un contrat d'un an avec le Canadien. Le Québécois empochera un salaire de base de 700 000 $, auquel des bonis de 700 000 $ pourraient s'ajouter, a appris RDS.
«Je crois que je peux apporter beaucoup à l'équipe. Du leadership, de la profondeur», a soutenu Brisebois lors d'une rencontre avec des journalistes en fin d'après-midi.
«Je serai peut-être l'un des quatre premiers défenseurs, ou peut-être le cinquième ou le sixième, ou je jouerai peut-être en désavantage numérique. J'ignore comment ils m'utiliseront mais je sais que je donnerai tout ce que j'ai pour cette équipe, mon coeur et mon âme.
«J'ai toujours fait cela. J'ai 36 ans et je suis toujours passionné par ce sport. Je veux compétitionner, aider ce club à gagner et à se qualifier pour les séries.»
Brisebois croit en outre qu'il a un rôle de mentor à jouer auprès des jeunes, ajoutant qu'il partagerait son expérience avec ceux-ci, tant sur la glace qu'à l'extérieur de celle-ci.
Le défenseur a accepté de revenir avec le Tricolore à la suite d'un diner avec le directeur général du Canadien, Bob Gainey, il y a deux ou trois semaines. Gainey avait alors indiqué à Brisebois qu'il souhait s'entretenir de son avenir.
«C'est Bob Gainey, un homme que je respecte énormément», a soutenu Brisebois. Qualifiant Gainey de «gentleman» et affirmant qu'il avait apprécié voir ce dernier prendre son parti face aux partisans qui le huaient, Brisebois a reconnu avoir été excité lorsque Gainey lui a laissé entendre que son avenir passait peut-être par le Canadien.
«J'étais vraiment content.»
Les négociations ont été entreprises après cette rencontre.
Brisebois affirme avoir hâte de jouer pour l'entraineur Guy Carbonneau, son premier co-chambreur avec le Canadien et son capitaine alors qu'il évoluait à Montréal.
Brisebois a disputé les deux dernières saisons avec l'Avalanche du Colorado. On s'attend à ce qu'il aide à améliorer le jeu de puissance du Tricolore, l'équipe ayant perdu les services du défenseur et joueur autonome Sheldon Souray, qui s'est joint aux Oilers d'Edmonton.
«J'ai beaucoup apprécié mes deux années avec l'Avalanche. La première année a été excellente alors que j'ai joué du très très bon hockey. L'an dernier j'ai malheureusement été opéré au dos.»
Selon Brisebois, son dos est guéri et il est prêt à jouer à nouveau. Il retournera d'ailleurs sur la glace lundi.
«Je me sens heureux et en pleine forme. J'ai hâte d'amorcer la saison, de réenfiler mon chandail et de sauter sur la glace. Montréal est le meilleur endroit pour jouer au hockey.»
Brisebois est optimiste quant à ce qui attend l'équipe cette saison, soutenant que la chimie entre les joueurs est bonne.
Le défenseur a fait ses débuts dans la LNH avec le Canadien en 1991, remportant la Coupe Stanley avec l'équipe en 1993.
Ses erreurs occasionnelles à la défensive en ont toutefois fait une cible de choix pour les huées au Centre Bell.
«Je suis ici pour jouer au hockey» indique le défenseur, qui se dit peu inquiet de la réaction des partisans montréalais.
La fiche de Brisebois est de 90 buts et 301 mentions d'aide en 904 matchs dans la LNH.