Brisebois retrouve ses patins avec le CH
Hockey vendredi, 30 nov. 2012. 20:12 samedi, 14 déc. 2024. 13:34
Patrice Brisebois a pris sa retraite du hockey professionnel en 2009, mais la passion, elle, n'est pas aussi facile à mettre de côté.
Ça devenait donc logique de revoir Brisebois dans l'organisation qui lui a donné sa première chance dans les LNH, cette fois à titre d'entraineur au développement auprès des jeunes joueurs qui, comme lui à l'époque, aspirent à de grandes choses et comptent bien travailler fort pour atteindre leur rêve d'évoluer dans la Ligue nationale.
Brisebois, qui a vécu son lot de bons et de moins bons moments dans l'organisation du Canadien, viendra partager son expérience avec les jeunes membres de l'organisation.
« Je veux être là 24 heures sur 24 pour eux, » souligne Brisebois. « Je tente de leur donner le plus d'informations possible. De toute ma carrière de 18 ans, que ce soit offensivement, défensivement ou que ce soit bon ou mauvais. Il faut qu'ils apprennent. »
En acceptant ses nouvelles responsabilités, Brisebois laisse le passé inspirer l'avenir au lieu d'être amer des passages plus houleux de sa relation avec le Canadien. C'est un défi qu'il accepte avec beaucoup d'enthousiasme et il voit dans ses jeunes l'opportunité de partager ce qu'il a appris au cours de sa carrière, même s'il réalise que chaque joueur ne vivra pas la même expérience que lui à l'époque.
« Chacun est différent, » ajoute-t-il. « Si je prends un (Jared) Tinordi, je veux qu'il joue bien défensivement. Si on prend un (Nathan) Beaulieu, il a de belles qualités offensives. Je ne veux pas lui enlever quoi que ce soit, mais dans son territoire, il doit bien jouer. Son travail premier est d'être défenseur. »
Il sera important aussi pour Brisebois de bien préparer les jeunes à la transition qu'ils devront vivre. Pour la plupart d'entre eux, les rangs juniors étaient plutôt favorables et ils se retrouvaient au centre de toutes les conversations après les matchs. En remettant les choses en perspectives, Brisebois pourra les aider à comprendre que la réalité de la Ligue nationale n'est pas aussi évidente.
« La plupart de ces jeunes-là ont eu de belles carrières dans le hockey junior, » précise Brisebois. « Ils ont été des vedettes dans leur équipe. De voir que ça va moins bien, ils se posent des questions, alors c'est important d'être ouvert et d'être là pour eux. »
Brisebois peut faire le pont entre son expérience et celle des jeunes de l'organisation, même si la réalité de la Ligue américaine n'est plus tout à fait la même avec le lock-out qui paralyse la LNH présentement.
« À cause du lock-out, il y a beaucoup de joueurs qui étaient dans la LNH l'an dernier et qui sont maintenant dans la Ligue américaine. Le calibre est extrêmement fort. C'est bon pour les jeunes, ça les prépare au niveau de la LNH. »
- D'après un reportage de Hockey 360
Ça devenait donc logique de revoir Brisebois dans l'organisation qui lui a donné sa première chance dans les LNH, cette fois à titre d'entraineur au développement auprès des jeunes joueurs qui, comme lui à l'époque, aspirent à de grandes choses et comptent bien travailler fort pour atteindre leur rêve d'évoluer dans la Ligue nationale.
Brisebois, qui a vécu son lot de bons et de moins bons moments dans l'organisation du Canadien, viendra partager son expérience avec les jeunes membres de l'organisation.
« Je veux être là 24 heures sur 24 pour eux, » souligne Brisebois. « Je tente de leur donner le plus d'informations possible. De toute ma carrière de 18 ans, que ce soit offensivement, défensivement ou que ce soit bon ou mauvais. Il faut qu'ils apprennent. »
En acceptant ses nouvelles responsabilités, Brisebois laisse le passé inspirer l'avenir au lieu d'être amer des passages plus houleux de sa relation avec le Canadien. C'est un défi qu'il accepte avec beaucoup d'enthousiasme et il voit dans ses jeunes l'opportunité de partager ce qu'il a appris au cours de sa carrière, même s'il réalise que chaque joueur ne vivra pas la même expérience que lui à l'époque.
« Chacun est différent, » ajoute-t-il. « Si je prends un (Jared) Tinordi, je veux qu'il joue bien défensivement. Si on prend un (Nathan) Beaulieu, il a de belles qualités offensives. Je ne veux pas lui enlever quoi que ce soit, mais dans son territoire, il doit bien jouer. Son travail premier est d'être défenseur. »
Il sera important aussi pour Brisebois de bien préparer les jeunes à la transition qu'ils devront vivre. Pour la plupart d'entre eux, les rangs juniors étaient plutôt favorables et ils se retrouvaient au centre de toutes les conversations après les matchs. En remettant les choses en perspectives, Brisebois pourra les aider à comprendre que la réalité de la Ligue nationale n'est pas aussi évidente.
« La plupart de ces jeunes-là ont eu de belles carrières dans le hockey junior, » précise Brisebois. « Ils ont été des vedettes dans leur équipe. De voir que ça va moins bien, ils se posent des questions, alors c'est important d'être ouvert et d'être là pour eux. »
Brisebois peut faire le pont entre son expérience et celle des jeunes de l'organisation, même si la réalité de la Ligue américaine n'est plus tout à fait la même avec le lock-out qui paralyse la LNH présentement.
« À cause du lock-out, il y a beaucoup de joueurs qui étaient dans la LNH l'an dernier et qui sont maintenant dans la Ligue américaine. Le calibre est extrêmement fort. C'est bon pour les jeunes, ça les prépare au niveau de la LNH. »
- D'après un reportage de Hockey 360