Commotions : pas juste chez les pros
Hockey dimanche, 4 nov. 2007. 15:49 vendredi, 13 déc. 2024. 18:57
MONTREAL - Les joueurs de hockey ne sont pas à l'abri des commotions cérébrales, mais ce type de blessure que l'on voit régulièrement dans la Ligue nationale est aussi de plus en plus fréquente dans le hockey mineur, a déclaré le docteur Mark Aubry, médecin en chef de Hockey Canada et membre du comité médical de la Fédération internationale de hockey sur glace, en entrevue à La Presse Canadienne dimanche.
Le docteur Aubry était l'un des conférenciers invités la veille à un séminaire servant à sensibiliser les divers intervenants du milieu du hockey, les joueurs et leur famille sur les commotions cérébrales et leur donner les outils pour reconnaître cette blessure et comment la soigner.
Quelque 350 médecins, entraîneurs, soigneurs, parents, joueurs de 16 ans et plus, infirmiers, thérapeutes, chiropraticiens et dentistes ont assisté à l'événement, samedi à Kanata, en Ontario.
La Fédération internationale de hockey sur glace qui s'occupe de 20 à 30 championnats mondiaux, notamment chez les juniors, les femmes, sans oublier les Jeux olympiques, compte 15 à 20 commotions cérébrales par année parmi les joueurs qui ont participé à ces championnats.
Si Hockey Canada commence maintenant à comptabiliser ce type de blessure au jeu chez les juniors, son médecin en chef conclut qu'à travers les années le nombre de commotions cérébrales n'a pas diminué au hockey malgré les nouveaux règlements mis en place. Ainsi, Mark Aubry estime que la sensibilisation et la prévention sont les meilleures façons d'en venir à bout.
Le docteur Aubry souligne par ailleurs que beaucoup de recherches se font présentement sur les commotions cérébrales et leurs conséquences à long terme, telles que les étourdissements, maux de tête, troubles de vision et au chapitre de la mémoire.
L'entraîneur-chef des Sénateurs d'Ottawa John Paddock et son attaquant étoile Jason Spezza ont aussi participé à ce premier séminaire de sensibilisation sur les commotions cérébrales au hockey, en Ontario. Ils ont indiqué qu'il s'agit d'un problème préoccupant dans la LNH et qu'ils appuient les efforts pour le traitement et la prévention de cette blessure.
Le docteur Aubry était l'un des conférenciers invités la veille à un séminaire servant à sensibiliser les divers intervenants du milieu du hockey, les joueurs et leur famille sur les commotions cérébrales et leur donner les outils pour reconnaître cette blessure et comment la soigner.
Quelque 350 médecins, entraîneurs, soigneurs, parents, joueurs de 16 ans et plus, infirmiers, thérapeutes, chiropraticiens et dentistes ont assisté à l'événement, samedi à Kanata, en Ontario.
La Fédération internationale de hockey sur glace qui s'occupe de 20 à 30 championnats mondiaux, notamment chez les juniors, les femmes, sans oublier les Jeux olympiques, compte 15 à 20 commotions cérébrales par année parmi les joueurs qui ont participé à ces championnats.
Si Hockey Canada commence maintenant à comptabiliser ce type de blessure au jeu chez les juniors, son médecin en chef conclut qu'à travers les années le nombre de commotions cérébrales n'a pas diminué au hockey malgré les nouveaux règlements mis en place. Ainsi, Mark Aubry estime que la sensibilisation et la prévention sont les meilleures façons d'en venir à bout.
Le docteur Aubry souligne par ailleurs que beaucoup de recherches se font présentement sur les commotions cérébrales et leurs conséquences à long terme, telles que les étourdissements, maux de tête, troubles de vision et au chapitre de la mémoire.
L'entraîneur-chef des Sénateurs d'Ottawa John Paddock et son attaquant étoile Jason Spezza ont aussi participé à ce premier séminaire de sensibilisation sur les commotions cérébrales au hockey, en Ontario. Ils ont indiqué qu'il s'agit d'un problème préoccupant dans la LNH et qu'ils appuient les efforts pour le traitement et la prévention de cette blessure.