Dans les coulisses des retrouvailles !
Hockey mercredi, 20 févr. 2008. 17:18 mercredi, 11 déc. 2024. 13:15
Saint-Georges fête ses dix ans cette saison et avant la rencontre du 15 février 2008 avait lieu un grand rassemblement d'anciens joueurs. Nous vous présentons aujourd'hui les meilleurs souvenirs de ces athlètes qui ont fait des dix ans de l'équipe une réussite sur toute la ligne.
Les vétérans des premières cuvées s'accordent tous pour dire que la première saison de la concession fut la plus excitante. Contre les attentes de biens des amateurs, la nouvelle équipe se hissa rapidement dans l'élite de la ligue. Une fois en série, le Garaga d'autrefois vainquait son ennemie territoriale qui était à l'époque les Coyotes de Thetford Mines. De plus, l'équipe se rendit à la finale avant de s'incliner et de conclure une saison de rêve.
Le cerbère Guy Moore est l'un de ceux qui qualifient la première année comme magique. L'engouement des partisans donnait une force à l'équipe qui permettait aux joueurs de se surpasser. Selon lui, les joueurs locaux comme Pascal Bernard, Mathieu Vachon, Yvan Deblois et les autres contribuaient au sentiment d'appartenance que l'on retrouve de moins en moins au fil des ans. Les victoires aux coupes Allan sont aussi des faits marquants chez plusieurs joueurs. Toujours selon Guy Moore, la première coupe a été la plus marquante puisque qu'en terres ennemies, personne ne voulait voir gagner la petite équipe qui représentait le Québec.
Pour Pascal Bernard, le simple fait d'être choisi au sein de l'équipe a été le plus beau moment de sa carrière chez le Garaga. Il n'était pas dans les plans de l'équipe au début, mais sa volonté et son intensité lui permettaient à l'époque de se tailler un poste régulier et de devenir l'un des favoris de la foule.
Carl Fleury a également apprécié son passage à Saint-Georges. Il se souvient de l'Aréna plein à craquer et des bruyants partisans qui donnaient des frissons aux joueurs. Ses premières années dans l'uniforme du Garaga renferment pour lui les meilleurs souvenirs. Steve Tardif était le joueur qui a été le plus marquant pour lui. Fleury ajoute qu'il veut souligner l'implication des gens qui œuvrent dans l'ombre depuis plusieurs années comme madame Sylvie Lemieux, Me Doyon, Marcel Paré et plusieurs autres qui font que l'équipe perdure depuis une décennie.
L'ancien entraîneur, Richard Vachon, gardera pour toujours les septièmes rencontres lors des finales de la coupe Futura dans son esprit. Ces parties lui faisaient passer par toute une gamme de sentiments. Il n'y a rien pour expliquer le fait de passer de la fébrilité, à la joie, au stress et à la déception dans la même rencontre. La fièvre des séries a toujours été forte à Saint-Georges et cela devait sans doute amplifier les émotions de l'entraîneur et de ses joueurs. Les deux coupes Allan et la participation au championnat à Nagano sont également des souvenirs impérissables pour l'ex entraîneur. L'édition qu'il a préféré diriger est pour lui la dernière qui s'est soldée par le trophée du meilleur entraîneur du circuit. Sans rien enlever aux autres, il soutient que Yanick Jean a été le joueur le plus plaisant à superviser. « Ce joueur était capable de faire exactement ce que l'on lui demandait sur une patinoire. Il savait faire prendre des punitions à l'adversaire et il était bon sur plusieurs aspects du jeu. » Il a également un coup de cœur pour Jonathan Delisle qui restera immortel dans la mémoire collective des Beaucerons.
Yvan Deblois aborde dans le même sens que Guy Moore en affirmant que la première année de la concession avec les séries était la plus mémorable. L'esprit d'équipe était soudé au maximum dans la chambre.
La remontée de l'équipe contre Sherbrooke en série est l'un des plus beaux moments pour Carl Paradis. « Les gens ne donnaient plus cher de notre peau, mais à la surprise de tous nous avons remonté un déficit de 3 à 1 dans la série. » La gang, ainsi que les coupes Allan sont également des moments forts pour lui. Il tient à remercier les partisans pour l'appui inconditionnel et il trouve cela remarquable de voir encore d'aussi belles foules aujourd'hui. Il souhaite que les partisans continuent d'encourager l'équipe pour qu'un jour les joueurs d'aujourd'hui puissent se rappeler à leurs tours l'ambiance unique que les gens de Saint-Georges apportent à l'aréna.
Le premier capitaine de l'équipe, Mario Roberge, pointe les séries contre Thetford Mines comme étant les moments les plus intenses pour lui dans l'uniforme du Garaga. « Les ovations de cinq à six minutes lorsque nous éliminions cette équipe donnaient des frissons dans tout le corps. »
Le défenseur Marco Vachon a en mémoire sa première partie devant ses amis et sa famille. Il se souvient des nombreuses rencontres à guichets fermés.
Malgré son court passage chez le Garaga, Yves Bertrand considère que l'organisation de Saint-Georges est l'une des meilleures depuis qu'il est dans le monde du hockey. Il admet que la concession est aussi professionnelle tant sur le plan humain que sur le plan sportif. Il est également heureux de voir Yannick Landry évoluer pour la même formation qu'il endossait jadis. Il mentionne ceci à son égard : « Même si j'ai évolué avec lui dans une autre formation, ce joueur est celui avec lequel j'ai préféré évoluer dans cette ligue. »
Peu de joueurs peuvent voir un jour son gilet retirer, mais Francis Lapointe fait parti de ce club très sélect. D'ailleurs, le jour du retrait de son numéro 16 est le souvenir le plus marquant pour lui. Celui qui est l'instigateur de la concession à Saint-Georges ne pouvait pas rêver à une aussi belle marque de remerciement.
Frédéric Vermette qui détient 340 points dans les uniformes du Garaga et du CRS Express a marqué plusieurs buts importants pour sa formation, cependant quelques un sont plus marquants que d'autres. Son but en prolongation pour forcer une septième rencontre en finale contre Joliette est sans doute l'un de ses plus importants. Le but qui aida le Garaga à terminer en deuxième positon à Nagano est également un moment intense dans sa mémoire.
Martin Robitaille se rappel la dynamique dans la chambre et se remémore les voyages sur la route avec l'équipe comme étant les moments les plus beaux avec la formation. Il invite les partisans à continuer d'encourager l'édition actuelle et les futures à venir.
Parlant de l'édition actuelle, Chris Cloutier se sent privilégié de jouer à Saint-Georges devant une aussi belle assistance. Il demande aux amateurs de continuer à les appuyer et il promet un « censure » de bon show pour les séries.
Le statisticien de la formation, Marcel Paré, a vécu également son lot de moments drôles. Il se souvient avoir échappé ses feuilles de statistiques un peu partout, alors que la foule de Jonquière était hostile après un combat de Bruno Charest.
L'homme qui a rassemblé ces vétérans, le directeur général Martin Giguère, doit piger parmi une multitude de souvenirs pour sortir les meilleurs. Évidemment, la merveilleuse saison de la première édition ainsi que les victoires à la coupe Allan sont dans son panthéon. Selon lui, Frédéric Vermette est sans l'ombre d'un doute le joueur le plus beau à voir évoluer qui ait passé durant les dix dernières années. Il considère également la venue de Mario Roberge comme le tremplin le plus important pour la popularisation de cette ligue à Saint-Georges.
Finalement, Jean-Paul Blais se souvient de plusieurs souvenirs en tant qu'amateur, mais pour trouver son meilleur souvenir en tant que propriétaire il ne faut pas remonter bien loin dans le temps. Effectivement, monsieur Blais considère que la première victoire du club cette saison à Sherbrooke en prolongation comme étant le fait le plus marquant pour lui. « C'est la première fois depuis que l'équipe porte le nom du CRS Express que nous vainquions cette équipe sur sa patinoire ! »
Bref, les dix dernières années ont permis aux amateurs et aux anciens joueurs de bâtir une boîte à souvenirs qui n'a pas de prix. Maintenant, il ne reste plus qu'à apporter la coupe Futura à Saint-Georges !
Source : Guillaume Gilbert CRS Express
Les vétérans des premières cuvées s'accordent tous pour dire que la première saison de la concession fut la plus excitante. Contre les attentes de biens des amateurs, la nouvelle équipe se hissa rapidement dans l'élite de la ligue. Une fois en série, le Garaga d'autrefois vainquait son ennemie territoriale qui était à l'époque les Coyotes de Thetford Mines. De plus, l'équipe se rendit à la finale avant de s'incliner et de conclure une saison de rêve.
Le cerbère Guy Moore est l'un de ceux qui qualifient la première année comme magique. L'engouement des partisans donnait une force à l'équipe qui permettait aux joueurs de se surpasser. Selon lui, les joueurs locaux comme Pascal Bernard, Mathieu Vachon, Yvan Deblois et les autres contribuaient au sentiment d'appartenance que l'on retrouve de moins en moins au fil des ans. Les victoires aux coupes Allan sont aussi des faits marquants chez plusieurs joueurs. Toujours selon Guy Moore, la première coupe a été la plus marquante puisque qu'en terres ennemies, personne ne voulait voir gagner la petite équipe qui représentait le Québec.
Pour Pascal Bernard, le simple fait d'être choisi au sein de l'équipe a été le plus beau moment de sa carrière chez le Garaga. Il n'était pas dans les plans de l'équipe au début, mais sa volonté et son intensité lui permettaient à l'époque de se tailler un poste régulier et de devenir l'un des favoris de la foule.
Carl Fleury a également apprécié son passage à Saint-Georges. Il se souvient de l'Aréna plein à craquer et des bruyants partisans qui donnaient des frissons aux joueurs. Ses premières années dans l'uniforme du Garaga renferment pour lui les meilleurs souvenirs. Steve Tardif était le joueur qui a été le plus marquant pour lui. Fleury ajoute qu'il veut souligner l'implication des gens qui œuvrent dans l'ombre depuis plusieurs années comme madame Sylvie Lemieux, Me Doyon, Marcel Paré et plusieurs autres qui font que l'équipe perdure depuis une décennie.
L'ancien entraîneur, Richard Vachon, gardera pour toujours les septièmes rencontres lors des finales de la coupe Futura dans son esprit. Ces parties lui faisaient passer par toute une gamme de sentiments. Il n'y a rien pour expliquer le fait de passer de la fébrilité, à la joie, au stress et à la déception dans la même rencontre. La fièvre des séries a toujours été forte à Saint-Georges et cela devait sans doute amplifier les émotions de l'entraîneur et de ses joueurs. Les deux coupes Allan et la participation au championnat à Nagano sont également des souvenirs impérissables pour l'ex entraîneur. L'édition qu'il a préféré diriger est pour lui la dernière qui s'est soldée par le trophée du meilleur entraîneur du circuit. Sans rien enlever aux autres, il soutient que Yanick Jean a été le joueur le plus plaisant à superviser. « Ce joueur était capable de faire exactement ce que l'on lui demandait sur une patinoire. Il savait faire prendre des punitions à l'adversaire et il était bon sur plusieurs aspects du jeu. » Il a également un coup de cœur pour Jonathan Delisle qui restera immortel dans la mémoire collective des Beaucerons.
Yvan Deblois aborde dans le même sens que Guy Moore en affirmant que la première année de la concession avec les séries était la plus mémorable. L'esprit d'équipe était soudé au maximum dans la chambre.
La remontée de l'équipe contre Sherbrooke en série est l'un des plus beaux moments pour Carl Paradis. « Les gens ne donnaient plus cher de notre peau, mais à la surprise de tous nous avons remonté un déficit de 3 à 1 dans la série. » La gang, ainsi que les coupes Allan sont également des moments forts pour lui. Il tient à remercier les partisans pour l'appui inconditionnel et il trouve cela remarquable de voir encore d'aussi belles foules aujourd'hui. Il souhaite que les partisans continuent d'encourager l'équipe pour qu'un jour les joueurs d'aujourd'hui puissent se rappeler à leurs tours l'ambiance unique que les gens de Saint-Georges apportent à l'aréna.
Le premier capitaine de l'équipe, Mario Roberge, pointe les séries contre Thetford Mines comme étant les moments les plus intenses pour lui dans l'uniforme du Garaga. « Les ovations de cinq à six minutes lorsque nous éliminions cette équipe donnaient des frissons dans tout le corps. »
Le défenseur Marco Vachon a en mémoire sa première partie devant ses amis et sa famille. Il se souvient des nombreuses rencontres à guichets fermés.
Malgré son court passage chez le Garaga, Yves Bertrand considère que l'organisation de Saint-Georges est l'une des meilleures depuis qu'il est dans le monde du hockey. Il admet que la concession est aussi professionnelle tant sur le plan humain que sur le plan sportif. Il est également heureux de voir Yannick Landry évoluer pour la même formation qu'il endossait jadis. Il mentionne ceci à son égard : « Même si j'ai évolué avec lui dans une autre formation, ce joueur est celui avec lequel j'ai préféré évoluer dans cette ligue. »
Peu de joueurs peuvent voir un jour son gilet retirer, mais Francis Lapointe fait parti de ce club très sélect. D'ailleurs, le jour du retrait de son numéro 16 est le souvenir le plus marquant pour lui. Celui qui est l'instigateur de la concession à Saint-Georges ne pouvait pas rêver à une aussi belle marque de remerciement.
Frédéric Vermette qui détient 340 points dans les uniformes du Garaga et du CRS Express a marqué plusieurs buts importants pour sa formation, cependant quelques un sont plus marquants que d'autres. Son but en prolongation pour forcer une septième rencontre en finale contre Joliette est sans doute l'un de ses plus importants. Le but qui aida le Garaga à terminer en deuxième positon à Nagano est également un moment intense dans sa mémoire.
Martin Robitaille se rappel la dynamique dans la chambre et se remémore les voyages sur la route avec l'équipe comme étant les moments les plus beaux avec la formation. Il invite les partisans à continuer d'encourager l'édition actuelle et les futures à venir.
Parlant de l'édition actuelle, Chris Cloutier se sent privilégié de jouer à Saint-Georges devant une aussi belle assistance. Il demande aux amateurs de continuer à les appuyer et il promet un « censure » de bon show pour les séries.
Le statisticien de la formation, Marcel Paré, a vécu également son lot de moments drôles. Il se souvient avoir échappé ses feuilles de statistiques un peu partout, alors que la foule de Jonquière était hostile après un combat de Bruno Charest.
L'homme qui a rassemblé ces vétérans, le directeur général Martin Giguère, doit piger parmi une multitude de souvenirs pour sortir les meilleurs. Évidemment, la merveilleuse saison de la première édition ainsi que les victoires à la coupe Allan sont dans son panthéon. Selon lui, Frédéric Vermette est sans l'ombre d'un doute le joueur le plus beau à voir évoluer qui ait passé durant les dix dernières années. Il considère également la venue de Mario Roberge comme le tremplin le plus important pour la popularisation de cette ligue à Saint-Georges.
Finalement, Jean-Paul Blais se souvient de plusieurs souvenirs en tant qu'amateur, mais pour trouver son meilleur souvenir en tant que propriétaire il ne faut pas remonter bien loin dans le temps. Effectivement, monsieur Blais considère que la première victoire du club cette saison à Sherbrooke en prolongation comme étant le fait le plus marquant pour lui. « C'est la première fois depuis que l'équipe porte le nom du CRS Express que nous vainquions cette équipe sur sa patinoire ! »
Bref, les dix dernières années ont permis aux amateurs et aux anciens joueurs de bâtir une boîte à souvenirs qui n'a pas de prix. Maintenant, il ne reste plus qu'à apporter la coupe Futura à Saint-Georges !
Source : Guillaume Gilbert CRS Express