Ducks et Sens feront connaissance
Hockey samedi, 26 mai 2007. 19:36 vendredi, 13 déc. 2024. 18:28
ANAHEIM - Le capitaine des Sénateurs d'Ottawa, Daniel Alfredsson, n'est pas familier avec le style de jeu de la vedette des Ducks d'Anaheim, Chris Pronger. L'attaquant Ryan Getzlaf des Ducks ne connait pas vraiment personne chez les Sénateurs.
"Je ne les ai pas vus beaucoup, a relaté Alfredsson à propos de ses adversaires. Une période ici et là à la télé pendant les séries."
Les deux équipes se sont affrontées une seule fois depuis 2003. C'est lundi soir qu'ils feront plus ample connaissance, alors que s'amorcera la série finale de la coupe Stanley.
"C'est un petit peu bizarre de jouer en finale contre une équipe que vous n'avez pas vue du tout pendant la saison. Ce sera une expérience différente, a dit Getzlaf.
"Les Sénateurs patinent très bien et ils marquent beaucoup de buts. Ils sont au sommet de leurs capacités, tout comme nous. Ca devrait rendre les choses intéressantes. Les gens peuvent faire leurs prédictions, mais avant de voir le premier match, c'est difficile de se prononcer sur ce qui va arriver."
Les Sénateurs en sont à leur première apparition en finale de la coupe Stanley. Les Ducks, quant à eux, se sont inclinés lors du septième match face aux Devils du New Jersey, en 2003, lors de leur seule autre présence en finale.
Chris Kunitz des Ducks a inscrit le but vainqueur en fusillade quand les siens ont battu les Sénateurs à Ottawa, le 19 janvier 2006; il s'agissait là du seul affrontement entre les deux équipes depuis le 17 octobre 2003. Kunitz a récemment été opéré pour une fracture à la main droite, et on ne s'attend pas à ce qu'il joue durant la finale.
Lorsqu'on lui a demandé si le manque de familiarité ajoutait de l'intrigue à la série, Alfredsson a offert ceci: "Oui et non. Je pense que ça peut parfois être une bonne chose d'avoir un peu d'histoire avec une équipe. Je ne connais pas grand-chose d'eux, pour être honnête."
Le gardien des Ducks, Jean-Sébastien Giguère, étudie des séquences vidéo et des rapports de l'organisation pour tenter d'établir les tendances des Sénateurs.
"Ce devrait être intéressant. Mais nous allons apprendre à nous connaître assez rapidement, a mentionné Giguère. Nous ne pouvons pas passer deux ou trois matches à essayer de les cerner. Après les 10 premières minutes, vous devez jouer votre propre match et ne pas essayer de deviner ce que l'autre équipe fera ou pas."
"Je ne les ai pas vus beaucoup, a relaté Alfredsson à propos de ses adversaires. Une période ici et là à la télé pendant les séries."
Les deux équipes se sont affrontées une seule fois depuis 2003. C'est lundi soir qu'ils feront plus ample connaissance, alors que s'amorcera la série finale de la coupe Stanley.
"C'est un petit peu bizarre de jouer en finale contre une équipe que vous n'avez pas vue du tout pendant la saison. Ce sera une expérience différente, a dit Getzlaf.
"Les Sénateurs patinent très bien et ils marquent beaucoup de buts. Ils sont au sommet de leurs capacités, tout comme nous. Ca devrait rendre les choses intéressantes. Les gens peuvent faire leurs prédictions, mais avant de voir le premier match, c'est difficile de se prononcer sur ce qui va arriver."
Les Sénateurs en sont à leur première apparition en finale de la coupe Stanley. Les Ducks, quant à eux, se sont inclinés lors du septième match face aux Devils du New Jersey, en 2003, lors de leur seule autre présence en finale.
Chris Kunitz des Ducks a inscrit le but vainqueur en fusillade quand les siens ont battu les Sénateurs à Ottawa, le 19 janvier 2006; il s'agissait là du seul affrontement entre les deux équipes depuis le 17 octobre 2003. Kunitz a récemment été opéré pour une fracture à la main droite, et on ne s'attend pas à ce qu'il joue durant la finale.
Lorsqu'on lui a demandé si le manque de familiarité ajoutait de l'intrigue à la série, Alfredsson a offert ceci: "Oui et non. Je pense que ça peut parfois être une bonne chose d'avoir un peu d'histoire avec une équipe. Je ne connais pas grand-chose d'eux, pour être honnête."
Le gardien des Ducks, Jean-Sébastien Giguère, étudie des séquences vidéo et des rapports de l'organisation pour tenter d'établir les tendances des Sénateurs.
"Ce devrait être intéressant. Mais nous allons apprendre à nous connaître assez rapidement, a mentionné Giguère. Nous ne pouvons pas passer deux ou trois matches à essayer de les cerner. Après les 10 premières minutes, vous devez jouer votre propre match et ne pas essayer de deviner ce que l'autre équipe fera ou pas."