G. James coopérera avec les autorités
Hockey vendredi, 22 oct. 2010. 16:04 samedi, 14 déc. 2024. 16:39
OTTAWA - Plus d'une semaine après que les autorités eurent émis un mandat pancanadien contre le délinquant sexuel Graham James, son avocat dit que l'ancien entraîneur de hockey est toujours disposé à plaider pour neuf nouvelles accusations.
James, dont le dernier lieu de résidence connu était Guadalajara au Mexique, n'a pas été vu depuis que la police de Winnipeg a déposé des accusations pour sévices sexuels, fondées sur des allégations de trois nouveaux plaignants.
Mais l'avocat Evan Roitenberg a indiqué à La Presse Canadienne que son client voulait coopérer avec les autorités -- et qu'il le fera.
Me Roitenberg a dit avoir eu des discussions avec les autorités et à sa connaissance, `les choses devraient être là où elle doivent être en ce moment'.
L'avocat ne veut pas révéler l'endroit où se trouve James ou encore donner un délai pour le plaidoyer de son client face aux nouvelles accusations, même si Me Roitenberg prétend avoir une idée de quand cela se produira.
Depuis que le mandat a été émis la semaine dernière, la police, le bureau du Procureur du Manitoba et les représentants fédéraux ont refusé de commenter tout aspect du cas de James, incluant la possibilité de l'extrader du Mexique.
James, dont le dernier lieu de résidence connu était Guadalajara au Mexique, n'a pas été vu depuis que la police de Winnipeg a déposé des accusations pour sévices sexuels, fondées sur des allégations de trois nouveaux plaignants.
Mais l'avocat Evan Roitenberg a indiqué à La Presse Canadienne que son client voulait coopérer avec les autorités -- et qu'il le fera.
Me Roitenberg a dit avoir eu des discussions avec les autorités et à sa connaissance, `les choses devraient être là où elle doivent être en ce moment'.
L'avocat ne veut pas révéler l'endroit où se trouve James ou encore donner un délai pour le plaidoyer de son client face aux nouvelles accusations, même si Me Roitenberg prétend avoir une idée de quand cela se produira.
Depuis que le mandat a été émis la semaine dernière, la police, le bureau du Procureur du Manitoba et les représentants fédéraux ont refusé de commenter tout aspect du cas de James, incluant la possibilité de l'extrader du Mexique.