G. James n'a pas demandé sa libération
Hockey mercredi, 21 nov. 2012. 19:45 vendredi, 13 déc. 2024. 14:13
WINNIPEG - L'ancien entraîneur de hockey junior déchu Graham James est admissible à une libération conditionnelle totale, mais n'en a toujours pas fait la demande.
En mars dernier, James a été condamné à deux ans de prison après qu'il eut reconnu avoir agressé sexuellement l'ancienne étoile de la LNH Theoren Fleury et son cousin Todd Holt quand ils évoluaient dans la Ligue de l'Ouest.
James est admissible à une libération conditionnelle de jour depuis septembre, et à une libération conditionnelle entière depuis cette semaine, mais la Commission des libérations conditionnelles du Canada n'a toujours pas reçu de demande de sa part.
La Couronne a déposé un appel à la suite de la sentence de deux ans et une audience est prévue le 3 décembre.
La Couronne avait demandé une peine de six ans et, dans son appel, soutient que le juge a fait une erreur en accordant trop d'importance au temps que James avait préalablement passé derrière les barreaux.
En 1997, James avait écopé une peine de trois ans et demi de prison pour avoir agressé sexuellement l'ancien joueur de la LNH Sheldon Kennedy et deux autres hockeyeurs.
Il avait été libéré en 2000 et avait ensuite disparu de la vie publique.
Si l'appel de la Couronne est rejeté, James sera admissible à une libération d'office en juillet prochain.
Son avocat, Evan Roitenberg, a jusqu'ici refusé d'expliquer pourquoi James n'a toujours pas présenté une requête de libération conditionnelle.
Me Roitenberg avait demandé une sentence conditionnelle sans peine de prison. À la suite de la peine imposée à son client au printemps dernier, il avait indiqué que James avait accepté son sort et qu'il avait été suffisamment puni.
En mars dernier, James a été condamné à deux ans de prison après qu'il eut reconnu avoir agressé sexuellement l'ancienne étoile de la LNH Theoren Fleury et son cousin Todd Holt quand ils évoluaient dans la Ligue de l'Ouest.
James est admissible à une libération conditionnelle de jour depuis septembre, et à une libération conditionnelle entière depuis cette semaine, mais la Commission des libérations conditionnelles du Canada n'a toujours pas reçu de demande de sa part.
La Couronne a déposé un appel à la suite de la sentence de deux ans et une audience est prévue le 3 décembre.
La Couronne avait demandé une peine de six ans et, dans son appel, soutient que le juge a fait une erreur en accordant trop d'importance au temps que James avait préalablement passé derrière les barreaux.
En 1997, James avait écopé une peine de trois ans et demi de prison pour avoir agressé sexuellement l'ancien joueur de la LNH Sheldon Kennedy et deux autres hockeyeurs.
Il avait été libéré en 2000 et avait ensuite disparu de la vie publique.
Si l'appel de la Couronne est rejeté, James sera admissible à une libération d'office en juillet prochain.
Son avocat, Evan Roitenberg, a jusqu'ici refusé d'expliquer pourquoi James n'a toujours pas présenté une requête de libération conditionnelle.
Me Roitenberg avait demandé une sentence conditionnelle sans peine de prison. À la suite de la peine imposée à son client au printemps dernier, il avait indiqué que James avait accepté son sort et qu'il avait été suffisamment puni.