Gainey a vu de près les mêmes choses
Hockey mercredi, 11 mars 2009. 00:28 mercredi, 11 déc. 2024. 05:41
MONTRÉAL - Bob Gainey a vu de plus près, derrière le banc du Canadien, sensiblement les même choses qu'il a pu observer des tribunes ou à la télé. Il a eu une bonne répartie quand on lui a demandé s'il a été perdu par moments, à son retour comme entraîneur depuis la fin de la saison 2005-06.
"Les joueurs et moi étions au même endroit en deuxième période, a-t-il lancé. Je ne peux pas réellement les blâmer."
Gainey pouvait rire de l'inertie du Tricolore (dévoré 17-2 dans les tirs) en deuxième période, après avoir savouré la victoire.
"J'ai dit peu de choses aux joueurs parce que je n'étais pas sûr des raisons expliquant l'absence de cohésion entre les joueurs, a-t-il souligné. On manquait de synchronisme avec les Oilers et entre nous. On était continuellement en retard sur le jeu. On s'en allait vers le nord quand la rondelle allait vers le sud. Nous n'étions pas à l'aise du tout.
"Notre banc était plus éloigné de la zone défensive en deuxième période. Peut-être est-ce une explication?"
"En troisième période, a-t-il repris, on a retrouvé le rythme, l'exécution a été meilleure et les attaquants se sont mieux soutenus en zone adverse. Ce sont les raisons pour lesquelles on a pu remonter les Oilers dans la colonne des lancers."
Gainey a permis à Don Lever d'accompagner le groupe d'entraîneurs derrière le banc en troisième période. L'ancien entraîneur des Bulldogs d'Hamilton avait jusque-là suivi l'action des tribunes.
"Il est descendu nous donner ses impressions après les première et deuxième périodes. Je ne sais pas comment ça va se dérouler au cours des prochains matchs", a-t-il indiqué.
"Les joueurs et moi étions au même endroit en deuxième période, a-t-il lancé. Je ne peux pas réellement les blâmer."
Gainey pouvait rire de l'inertie du Tricolore (dévoré 17-2 dans les tirs) en deuxième période, après avoir savouré la victoire.
"J'ai dit peu de choses aux joueurs parce que je n'étais pas sûr des raisons expliquant l'absence de cohésion entre les joueurs, a-t-il souligné. On manquait de synchronisme avec les Oilers et entre nous. On était continuellement en retard sur le jeu. On s'en allait vers le nord quand la rondelle allait vers le sud. Nous n'étions pas à l'aise du tout.
"Notre banc était plus éloigné de la zone défensive en deuxième période. Peut-être est-ce une explication?"
"En troisième période, a-t-il repris, on a retrouvé le rythme, l'exécution a été meilleure et les attaquants se sont mieux soutenus en zone adverse. Ce sont les raisons pour lesquelles on a pu remonter les Oilers dans la colonne des lancers."
Gainey a permis à Don Lever d'accompagner le groupe d'entraîneurs derrière le banc en troisième période. L'ancien entraîneur des Bulldogs d'Hamilton avait jusque-là suivi l'action des tribunes.
"Il est descendu nous donner ses impressions après les première et deuxième périodes. Je ne sais pas comment ça va se dérouler au cours des prochains matchs", a-t-il indiqué.