Hamrlik est charmé par les partisans
Boston Bruins mardi, 8 avr. 2008. 18:06 samedi, 14 déc. 2024. 17:01
MONTREAL - La possibilité de se retremper dans une atmosphère de hockey a été un des principaux facteurs qui ont incité Roman Hamrlik à accepter l'offre contractuelle du Canadien, l'été dernier. Le défenseur tchèque est servi à souhait et il ne regrette pas le choix qu'il a fait de revenir au Canada.
Ayant connu la fièvre des séries dans les uniformes des Oilers d'Edmonton et des Flames de Calgary, Hamrlik trouve que les amateurs de Montréal sont plus fanatiques que ceux de l'Alberta.
"C'est pour le moins particulier ici, a-t-il affirmé, mardi. J'admets que je suis quelque peu surpris. Je ne m'attendais pas réellement à ça. Les amateurs sont plus enthousiastes qu'à Edmonton et à Calgary."
Et dire que les séries ne sont même pas commencées!
"Avec le recul, je me félicite de la décision que j'ai prise de venir jouer à Montréal, a-t-il continué. Je suis très heureux ici.
"J'ai toujours affectionné de faire carrière au Canada, où le hockey est le sport numéro un au pays. Aux États-Unis, c'est peut-être le cinquième sport en importance. Il y a beaucoup moins d'engouement.
"Toutes les villes canadiennes sont de formidables villes de hockey", a ajouté Hamrlik, qui a aussi porté les couleurs des équipes américaines du Lightning de Tampa Bay et des Islanders de New York.
Le vétéran défenseur apprécie de recevoir les encouragements des gens partout où il va en ville. Il a rappelé toutefois l'importance pour les joueurs de rester concentrés sur la tâche à accomplir sur la glace.
"On arrive à une période de l'année très enlevante pour tout le monde. On a bien terminé la saison, les amateurs sont emballés. On a reçu leur soutien pendant toute la saison. Quant à nous, on ne se contente pas d'avoir atteint les séries. On veut aller le plus loin possible."
Parlant de la série qui va s'amorcer jeudi, Hamrlik a dit croire que les Bruins de Boston vont modifier sensiblement leur style de jeu.
"Ils n'ont pas eu de succès contre nous, on doit s'attendre à ce qu'ils tentent d'autres choses qu'en saison régulière. On doit être prêt nous-mêmes à faire des ajustements."
Des ajustements mineurs, a-t-il précisé, parce que le Tricolore doit miser sur ses atouts qui sont sa rapidité et son efficacité en défense.
"Nous avons prouvé qu'en étant solide en défense, nous pouvons créer beaucoup d'attaque."
Prêt à leur venir en aide, Hamrlik n'estime pas que les jeunes de l'équipe vont mal gérer la pression.
"Ils vont être nerveux, c'est normal. Après quelques présences sur la glace, tout devrait rentrer dans l'ordre.
"Je me rappelle de mon premier match en séries. C'était contre les Flyers de Philadelphie, quand j'étais à Tampa Bay. Nous avions perdu la série 4-2."
Hamrlik a côtoyé Jarome Iginla, à Calgary. On lui a demandé si Alex Kovalev est du même moule que le talentueux capitaine des Flames.
"On parle de deux bons meneurs, de joueurs talentueux, a-t-il répondu. Iggy est meilleur bagarreur, il peut tout faire. Kovy est très fort physiquement, très solide sur ses patins, mais il n'est pas un bagarreur. Il pourrait se tirer d'affaire au bout du poing, mais on préfère le voir sur la glace."
Ayant connu la fièvre des séries dans les uniformes des Oilers d'Edmonton et des Flames de Calgary, Hamrlik trouve que les amateurs de Montréal sont plus fanatiques que ceux de l'Alberta.
"C'est pour le moins particulier ici, a-t-il affirmé, mardi. J'admets que je suis quelque peu surpris. Je ne m'attendais pas réellement à ça. Les amateurs sont plus enthousiastes qu'à Edmonton et à Calgary."
Et dire que les séries ne sont même pas commencées!
"Avec le recul, je me félicite de la décision que j'ai prise de venir jouer à Montréal, a-t-il continué. Je suis très heureux ici.
"J'ai toujours affectionné de faire carrière au Canada, où le hockey est le sport numéro un au pays. Aux États-Unis, c'est peut-être le cinquième sport en importance. Il y a beaucoup moins d'engouement.
"Toutes les villes canadiennes sont de formidables villes de hockey", a ajouté Hamrlik, qui a aussi porté les couleurs des équipes américaines du Lightning de Tampa Bay et des Islanders de New York.
Le vétéran défenseur apprécie de recevoir les encouragements des gens partout où il va en ville. Il a rappelé toutefois l'importance pour les joueurs de rester concentrés sur la tâche à accomplir sur la glace.
"On arrive à une période de l'année très enlevante pour tout le monde. On a bien terminé la saison, les amateurs sont emballés. On a reçu leur soutien pendant toute la saison. Quant à nous, on ne se contente pas d'avoir atteint les séries. On veut aller le plus loin possible."
Parlant de la série qui va s'amorcer jeudi, Hamrlik a dit croire que les Bruins de Boston vont modifier sensiblement leur style de jeu.
"Ils n'ont pas eu de succès contre nous, on doit s'attendre à ce qu'ils tentent d'autres choses qu'en saison régulière. On doit être prêt nous-mêmes à faire des ajustements."
Des ajustements mineurs, a-t-il précisé, parce que le Tricolore doit miser sur ses atouts qui sont sa rapidité et son efficacité en défense.
"Nous avons prouvé qu'en étant solide en défense, nous pouvons créer beaucoup d'attaque."
Prêt à leur venir en aide, Hamrlik n'estime pas que les jeunes de l'équipe vont mal gérer la pression.
"Ils vont être nerveux, c'est normal. Après quelques présences sur la glace, tout devrait rentrer dans l'ordre.
"Je me rappelle de mon premier match en séries. C'était contre les Flyers de Philadelphie, quand j'étais à Tampa Bay. Nous avions perdu la série 4-2."
Hamrlik a côtoyé Jarome Iginla, à Calgary. On lui a demandé si Alex Kovalev est du même moule que le talentueux capitaine des Flames.
"On parle de deux bons meneurs, de joueurs talentueux, a-t-il répondu. Iggy est meilleur bagarreur, il peut tout faire. Kovy est très fort physiquement, très solide sur ses patins, mais il n'est pas un bagarreur. Il pourrait se tirer d'affaire au bout du poing, mais on préfère le voir sur la glace."