Hockey à Québec: «les étoiles sont là»
Hockey mercredi, 21 déc. 2011. 09:49 samedi, 14 déc. 2024. 13:00
C'est maintenant de notoriété publique, Marcel Aubut est très près du commissaire de la LNH Gary Bettman. Ses déclarations ont donc du poids quand il est question du retour du hockey à Québec. Dans ce dossier, Maître Aubut se montre très optimiste et juge que la LNH doit agir prudemment.
«Les étoiles sont là, mais la décision revient à un groupe de 30 personnes avec le commissaire. Il faut respecter ça, il faut être tranquille, il ne faut pas faire de grandes déclarations. La LNH aime travailler dans la paix, comme avec Winnipeg. Quand l'opportunité est là, il faut être prêt», a laissé entendre Aubut.
Lors de la dernière réunion des gouverneurs, Bill Daly a soulevé la possibilité que d'autres groupes soient intéressés à acheter une concession pour la déménager à Québec. Le nom de Marcel Aubut a même fait surface dans ce dossier comme étant la personne idéale pour mettre sur pied un tel groupe d'investisseurs.
«C'est vraiment entre les mains de M. Bettman. Il a avantage à faire ça pour avoir le meilleur prix. Seul lui connaît l'identité de ce groupe-là. Ce n'est pas ma job, c'est la job du commissaire. Il va sûrement jouer ça habilement, je le connais, il est bon», a précisé Aubut.
Maître Aubut n'a pas voulu se mouiller en ce qui concerne l'actualité chez le Canadien de Montréal présentement. Il a toutefois insisté sur le fait qu'en tant que président du comité olympique canadien, le bilinguisme est l'une de ses priorités.
«Il n'y a pas de compromis. J'ai été le premier président francophone élu en 106 ans d'existence. Je me sens revêtu de la mission de s'assurer que dans tout ce qu'on fait, les deux langues soient respectées», a laissé entendre l'ancien propriétaire des Nordiques de Québec.
Marcel Aubut peut comprendre la situation dans laquelle se retrouve Geoff Molson puisque les Nordiques avaient nommé Dave Chambers, un unilingue anglophone, comme entraîneur-chef en 1990.
D'après un reportage de Benoit Beaudoin
«Les étoiles sont là, mais la décision revient à un groupe de 30 personnes avec le commissaire. Il faut respecter ça, il faut être tranquille, il ne faut pas faire de grandes déclarations. La LNH aime travailler dans la paix, comme avec Winnipeg. Quand l'opportunité est là, il faut être prêt», a laissé entendre Aubut.
Lors de la dernière réunion des gouverneurs, Bill Daly a soulevé la possibilité que d'autres groupes soient intéressés à acheter une concession pour la déménager à Québec. Le nom de Marcel Aubut a même fait surface dans ce dossier comme étant la personne idéale pour mettre sur pied un tel groupe d'investisseurs.
«C'est vraiment entre les mains de M. Bettman. Il a avantage à faire ça pour avoir le meilleur prix. Seul lui connaît l'identité de ce groupe-là. Ce n'est pas ma job, c'est la job du commissaire. Il va sûrement jouer ça habilement, je le connais, il est bon», a précisé Aubut.
Maître Aubut n'a pas voulu se mouiller en ce qui concerne l'actualité chez le Canadien de Montréal présentement. Il a toutefois insisté sur le fait qu'en tant que président du comité olympique canadien, le bilinguisme est l'une de ses priorités.
«Il n'y a pas de compromis. J'ai été le premier président francophone élu en 106 ans d'existence. Je me sens revêtu de la mission de s'assurer que dans tout ce qu'on fait, les deux langues soient respectées», a laissé entendre l'ancien propriétaire des Nordiques de Québec.
Marcel Aubut peut comprendre la situation dans laquelle se retrouve Geoff Molson puisque les Nordiques avaient nommé Dave Chambers, un unilingue anglophone, comme entraîneur-chef en 1990.
D'après un reportage de Benoit Beaudoin