Ian Laperrière met tous les efforts
Hockey mardi, 18 mai 2010. 12:33 mercredi, 11 déc. 2024. 17:34
PHILADELPHIE - Ian Laperrière a peut-être obtenu le feu vert des médecins, mais il est le premier à admettre qu'il doit d'abord retrouver la forme avant de revenir au jeu. Toutefois, le vétéran de 36 ans n'a pas à chercher très loin pour se motiver puisqu'il n'a jamais senti la coupe Stanley d'aussi près en 16 ans de carrière.
Tout comme lundi, l'attaquant des Flyers s'est entraîné avec quelques coéquipiers et il n'a pas lésiné sur les efforts afin de revenir au sommet de ses capacités physiques.
«C'est le même plan de match en ce qui me concerne», a-t-il indiqué quelques minutes après avoir quitté la patinoire. «Il y avait une petite porte ouverte pour moi et je tente le coup sauf que je ne suis pas encore en forme comme je le voudrais, je ne suis pas à 100%.
Laperrière est conscient qu'il a raté les huit derniers matchs de son équipe et qu'un retour prématuré ne serait pas la bonne option.
«Je ne voudrais pas sauter dans la formation sans être prêt et ce n'est pas nécessaire puisque notre équipe joue bien. Mais je veux jouer comme ce n'est pas possible et si l'entraîneur pense qu'il a besoin de moi pour un des prochains matchs, je vais essayer», a raconté le Québécois.
Après avoir aidé les siens à éliminer les Devils du New Jersey en première ronde, Laperrière a été une source d'inspiration pour ses coéquipiers qui ont éliminé les Bruins de Boston en sept parties. Cette présence en finale de l'Association de l'Est le motive donc au plus grand point.
«Depuis que je suis jeune que je joue pour gagner la coupe Stanley. Ça fait 16 ans que je suis dans la LNH et je n'ai jamais été aussi près. Je vais seulement amener du positif dans l'entourage de l'équipe», lance-t-il avec une énorme dose de conviction.
Ce n'est pas nécessaire d'amorcer de longues recherches dans le vestiaire des Flyers pour trouver un coéquipier pour expliquer son importance dans cette organisation.
«Il veut tellement gagner et il a eu un impact dans notre vestiaire dès le premier jour. C'est un bon gars et il a toujours un sourire accroché au visage. C'est un gros plus pour nous juste de le voir s'entraîner», a vanté Scott Hartnell.
Laperrière a reçu le feu vert des médecins lundi moins d'un mois après avoir subi une contusion au cerveau en bloquant un lancer de Paul Martin. Cette blessure effrayante le force à être plus rationnel dans ses décisions.
«Ce sont mes enfants et ma famille qui me poussent à agir ainsi maintenant. Je veux être en santé pour les voir et je ne dois pas être égoïste dans cette situation», précise-t-il avec sagesse acquise au fil des ans.
Laperrière est incapable de préciser une date pour un éventuel retour, mais il se dit optimiste de réussir parce qu'il a toujours pris un soin jaloux de sa condition physique.
Le plus grand défi selon Gagné
Dès la fin du premier match de la série, les joueurs des Flyers ont été les premiers à dire qu'ils s'attendent à une meilleure opposition du Canadien lors du deuxième duel.
Simon Gagné a insisté de nouveau sur cet aspect quelques heures avant le début de la rencontre.
«Selon moi, ce match sera le meilleur défi auquel nous aurons fait face depuis le début des séries», affirme l'auteur du quatrième but dimanche.
Les joueurs des Flyers étaient fiers de leur discipline pendant la première partie et ils espèrent poursuivre sur la même lancée, mais ils savent que les arbitres les surveilleront de près.
«Nous avons eu moins de punitions que eux ce qui n'arrive pratiquement jamais à notre équipe. Je m'attends d'ailleurs à ce que les arbitres soient plus avares envers nous», note Gagné qui avait pris congé d'entraînement tout comme Daniel Brière, Claude Giroux, Chris Pronger, Mike Richards, Chris Pronger et Daniel Carcillo.
Chose certaine, la bande de Peter Laviolette adore l'appui de ses partisans et même leur sarcasme envers les amateurs du Canadien.
«Il règnera encore une belle atmosphère et c'était bien d'entendre nos fans chanter la chanson Olé! Olé! Olé!», a commenté Hartnell avec un sourire.
En plus de résoudre l'énigme de Jaroslav Halak lors du match initial de la série, les Flyers ont été en mesure de contenir l'attaque du Canadien, menée par Michael Cammalleri, grâce au travail de leurs défenseurs.
«On entend souvent dire que les défenses gagnent des championnats et nos défenseurs accomplissent un excellent travail. Je pense notamment à Matt Carle qui joue du très grand hockey depuis le début des séries. Nos défenseurs n'ont pas donné beaucoup d'espace à leurs attaquants», explique Hartnell.
Malgré ces aspects positifs, le pilote des Flyers demeure prudent.
«J'étais heureux du résultat, mais il y a certainement plusieurs aspects de notre jeu à améliorer. Nous devons être meilleurs à cinq contre cinq et nous devons resserrer notre jeu en zone neutre défensivement», a souligné Laviolette.
Tout comme lundi, l'attaquant des Flyers s'est entraîné avec quelques coéquipiers et il n'a pas lésiné sur les efforts afin de revenir au sommet de ses capacités physiques.
«C'est le même plan de match en ce qui me concerne», a-t-il indiqué quelques minutes après avoir quitté la patinoire. «Il y avait une petite porte ouverte pour moi et je tente le coup sauf que je ne suis pas encore en forme comme je le voudrais, je ne suis pas à 100%.
Laperrière est conscient qu'il a raté les huit derniers matchs de son équipe et qu'un retour prématuré ne serait pas la bonne option.
«Je ne voudrais pas sauter dans la formation sans être prêt et ce n'est pas nécessaire puisque notre équipe joue bien. Mais je veux jouer comme ce n'est pas possible et si l'entraîneur pense qu'il a besoin de moi pour un des prochains matchs, je vais essayer», a raconté le Québécois.
Après avoir aidé les siens à éliminer les Devils du New Jersey en première ronde, Laperrière a été une source d'inspiration pour ses coéquipiers qui ont éliminé les Bruins de Boston en sept parties. Cette présence en finale de l'Association de l'Est le motive donc au plus grand point.
«Depuis que je suis jeune que je joue pour gagner la coupe Stanley. Ça fait 16 ans que je suis dans la LNH et je n'ai jamais été aussi près. Je vais seulement amener du positif dans l'entourage de l'équipe», lance-t-il avec une énorme dose de conviction.
Ce n'est pas nécessaire d'amorcer de longues recherches dans le vestiaire des Flyers pour trouver un coéquipier pour expliquer son importance dans cette organisation.
«Il veut tellement gagner et il a eu un impact dans notre vestiaire dès le premier jour. C'est un bon gars et il a toujours un sourire accroché au visage. C'est un gros plus pour nous juste de le voir s'entraîner», a vanté Scott Hartnell.
Laperrière a reçu le feu vert des médecins lundi moins d'un mois après avoir subi une contusion au cerveau en bloquant un lancer de Paul Martin. Cette blessure effrayante le force à être plus rationnel dans ses décisions.
«Ce sont mes enfants et ma famille qui me poussent à agir ainsi maintenant. Je veux être en santé pour les voir et je ne dois pas être égoïste dans cette situation», précise-t-il avec sagesse acquise au fil des ans.
Laperrière est incapable de préciser une date pour un éventuel retour, mais il se dit optimiste de réussir parce qu'il a toujours pris un soin jaloux de sa condition physique.
Le plus grand défi selon Gagné
Dès la fin du premier match de la série, les joueurs des Flyers ont été les premiers à dire qu'ils s'attendent à une meilleure opposition du Canadien lors du deuxième duel.
Simon Gagné a insisté de nouveau sur cet aspect quelques heures avant le début de la rencontre.
«Selon moi, ce match sera le meilleur défi auquel nous aurons fait face depuis le début des séries», affirme l'auteur du quatrième but dimanche.
Les joueurs des Flyers étaient fiers de leur discipline pendant la première partie et ils espèrent poursuivre sur la même lancée, mais ils savent que les arbitres les surveilleront de près.
«Nous avons eu moins de punitions que eux ce qui n'arrive pratiquement jamais à notre équipe. Je m'attends d'ailleurs à ce que les arbitres soient plus avares envers nous», note Gagné qui avait pris congé d'entraînement tout comme Daniel Brière, Claude Giroux, Chris Pronger, Mike Richards, Chris Pronger et Daniel Carcillo.
Chose certaine, la bande de Peter Laviolette adore l'appui de ses partisans et même leur sarcasme envers les amateurs du Canadien.
«Il règnera encore une belle atmosphère et c'était bien d'entendre nos fans chanter la chanson Olé! Olé! Olé!», a commenté Hartnell avec un sourire.
En plus de résoudre l'énigme de Jaroslav Halak lors du match initial de la série, les Flyers ont été en mesure de contenir l'attaque du Canadien, menée par Michael Cammalleri, grâce au travail de leurs défenseurs.
«On entend souvent dire que les défenses gagnent des championnats et nos défenseurs accomplissent un excellent travail. Je pense notamment à Matt Carle qui joue du très grand hockey depuis le début des séries. Nos défenseurs n'ont pas donné beaucoup d'espace à leurs attaquants», explique Hartnell.
Malgré ces aspects positifs, le pilote des Flyers demeure prudent.
«J'étais heureux du résultat, mais il y a certainement plusieurs aspects de notre jeu à améliorer. Nous devons être meilleurs à cinq contre cinq et nous devons resserrer notre jeu en zone neutre défensivement», a souligné Laviolette.