"Je ne veux plus parler du passé"
Hockey vendredi, 20 déc. 2002. 00:27 mercredi, 11 déc. 2024. 09:58
(PC) - Cette fois-ci José Théodore semble s'être replacé pour vrai. Roland Melanson, entraîneur des gardiens, est le premier à reconnaître qu'à son premier «retour en force» Théodore n'était pas encore vraiment à l'aise.
«Mais là, il est parti,» a constaté Melanson après avoir vu son protégé repousser 40 tirs des Rangers.
«Je ne veux plus parler du passé, a pour sa part déclaré Théodore. Mais c'est vrai que depuis deux ou trois matches, ça va vraiment bien. Quand je me fais frapper par la rondelle, c'est bon signe.»
Si Théodore a été le héros défensif de la victoire de 3-1, Yanic Perreault en aura été la vedette offensive.
Perreault a d'abord noté que les deux points contre les Rangers sont importants parce que les Rangers suivent le Candien au classement. Puis on l'a invité de parler de son trio qui va de mieux en mieux.
«Randy (McKay) nous procure de l'espace et Gilmour a tout le temps été un bon marqueur. C'est le fun quand on a une bonne chimie comme ça. On se cherche moins sur la glace.»
«Perreault et Gilmour se complètent de façon vraiment extraordinaire, a constaté Michel Therrien. Dougie est un gars qui aime alimenter ses coéquipiers et généralement quand on passe la rondelle à Perreault dans une bonne position, celle-ci se retrouve dans le flet. Il a marqué deux buts, mais il aurait pu en obtenir quatre.»
«J'ai de la misère às marquer un troisième but, a reconnu Perreault en souriant. Je ne sais pas si ça commence à être mental.»
La soirée avait moins bien commencé pourt Perreault, victime d'une violente charge par derrière par Gordie Dwyer.
«Je savais qu'il s'en venait, a dit Perreault. Mais j'étais dans une mauvaise position. Il fallait que je sorte la rondelle. Bill McCreary m'a dit qu'il était trop loin et c'est souvent l'arbitre vétéran qui appelle ces punitions.»
Perreault estime que Dwyer aurait dû être puni, tout comme Matthew Barnaby pour son coup à la tête de Joé Juneau juste avant le but d'Eric Lindros.
«Ce qui me surprend c'est que l'arbitre était juste à côté, a noté Perreault, selon qui on avait commencé à arbitrer en fonction du pointage à la troisième.
Juneau, qui a souffert d'un légère commotion cérébrale, avait mal à tête après le match. Il en avait lui aussi long à dire contre les arbitres.
«Ca fait quatre commotions que je subies et il n'y a jamais eu de punitions. Ca n'a pas d'allure,» a-t-il dit.
André Savard, qui était sur pllace et Therrien déploraient eux aussi l'arbitrage.
Therrien en avait surtout contre la charge de Barnaby à l'endroit de Juneau.
«Tu ne veux pas voir des coups comme cela donnés à la tête. Je ne comprends vraiment pas pourquoi il n'a pas été puni,» a déclaré Therrien, qui s'est retenu pour ne pas en dire plus.
Et dire que tout cela s'est passé à New York sous les yeux des grands dirigeants de la ligue.
«Mais là, il est parti,» a constaté Melanson après avoir vu son protégé repousser 40 tirs des Rangers.
«Je ne veux plus parler du passé, a pour sa part déclaré Théodore. Mais c'est vrai que depuis deux ou trois matches, ça va vraiment bien. Quand je me fais frapper par la rondelle, c'est bon signe.»
Si Théodore a été le héros défensif de la victoire de 3-1, Yanic Perreault en aura été la vedette offensive.
Perreault a d'abord noté que les deux points contre les Rangers sont importants parce que les Rangers suivent le Candien au classement. Puis on l'a invité de parler de son trio qui va de mieux en mieux.
«Randy (McKay) nous procure de l'espace et Gilmour a tout le temps été un bon marqueur. C'est le fun quand on a une bonne chimie comme ça. On se cherche moins sur la glace.»
«Perreault et Gilmour se complètent de façon vraiment extraordinaire, a constaté Michel Therrien. Dougie est un gars qui aime alimenter ses coéquipiers et généralement quand on passe la rondelle à Perreault dans une bonne position, celle-ci se retrouve dans le flet. Il a marqué deux buts, mais il aurait pu en obtenir quatre.»
«J'ai de la misère às marquer un troisième but, a reconnu Perreault en souriant. Je ne sais pas si ça commence à être mental.»
La soirée avait moins bien commencé pourt Perreault, victime d'une violente charge par derrière par Gordie Dwyer.
«Je savais qu'il s'en venait, a dit Perreault. Mais j'étais dans une mauvaise position. Il fallait que je sorte la rondelle. Bill McCreary m'a dit qu'il était trop loin et c'est souvent l'arbitre vétéran qui appelle ces punitions.»
Perreault estime que Dwyer aurait dû être puni, tout comme Matthew Barnaby pour son coup à la tête de Joé Juneau juste avant le but d'Eric Lindros.
«Ce qui me surprend c'est que l'arbitre était juste à côté, a noté Perreault, selon qui on avait commencé à arbitrer en fonction du pointage à la troisième.
Juneau, qui a souffert d'un légère commotion cérébrale, avait mal à tête après le match. Il en avait lui aussi long à dire contre les arbitres.
«Ca fait quatre commotions que je subies et il n'y a jamais eu de punitions. Ca n'a pas d'allure,» a-t-il dit.
André Savard, qui était sur pllace et Therrien déploraient eux aussi l'arbitrage.
Therrien en avait surtout contre la charge de Barnaby à l'endroit de Juneau.
«Tu ne veux pas voir des coups comme cela donnés à la tête. Je ne comprends vraiment pas pourquoi il n'a pas été puni,» a déclaré Therrien, qui s'est retenu pour ne pas en dire plus.
Et dire que tout cela s'est passé à New York sous les yeux des grands dirigeants de la ligue.