Joe Sakic aimerait revoir les Nordiques
Hockey dimanche, 27 févr. 2011. 19:16 mercredi, 11 déc. 2024. 09:41
QUÉBEC - Joe Sakic a fait un plaidoyer en faveur du retour de la LNH à Québec, dimanche, après avoir pris part au match d'adieu de Guy Lafleur.
«J'espère que ça va fonctionner, a-t-il déclaré, quand on a abordé le sujet. On me dit qu'on va de l'avant avec le projet de construction d'un nouvel amphithéâtre. Québec est une formidable ville, et j'espère qu'elle réaccueillera une équipe de la Ligue nationale. Elle mérite en tout cas d'avoir un nouvel amphithéâtre. Quand il sera construit, ce sera un très bon endroit où jouer au hockey.»
Sakic, qui a reçu des amateurs un accueil presqu'aussi chaleureux que celui qu'on a réservé au héros de la journée, en était à une première rencontre d'anciens depuis qu'il a pris sa retraite en 2009.
«C'était très le 'fun', ça m'a rappelé le match hors concours que l'Avalanche du Colorado était venue jouer ici en 2003. Les amateurs ici sont merveilleux. Qu'ils se présentent aussi nombreux à un match d'anciens, même si c'était le dernier de la vie de Guy Lafleur, il n'existe pas beaucoup d'endroits où il régnerait une atmosphère comme celle-là.»
Ça lui a rappelé des souvenirs, les bons comme les mauvais, des premières saisons qu'il a passées dans la LNH, à Québec.
«Je conserve d'excellents souvenirs de mon passage chez les Nordiques. Nous avons connu des saisons de misère, mais quand l'équipe a été plus compétitive, il n'y a rien qui battait l'atmosphère qui régnait avant le premier match de la série contre le Canadien en 1993.»
Sakic n'aurait pas manqué le dernier match de Lafleur pour tout l'or au monde. Lafleur a été un mentor pour lui, à ses débuts dans la LNH.
«Je tenais à être ici. Guy va franchir la soixantaine plus tard cette année et c'est impressionnant de voir le nombre de matchs qu'il a joués pour toutes sortes d'oeuvres charitables. On peut voir la passion qui l'anime et toute son affection pour le sport. Je suis un des rares privilégiés qui ont pu assister à ses deux retraites, comme joueur et comme ancien.»
Sakic a souligné que le Démon blond l'avait beaucoup soutenu psychologiquement dans les moments difficiles.
«Vous êtes un jeune joueur, uniquement heureux d'être dans la ligue. Mais perdre à la longue devenait frustrant. Et nous perdions beaucoup de matchs à l'époque, a-t-il évoqué. Mais Guy me disait continuellement de ne pas m'en faire et que les choses finiraient par tourner.
«Quand un joueur de sa trempe, qui a gagné la coupe Stanley plusieurs fois, s'adresse à vous de cette façon, vous ne pouvez que vous présenter à l'aréna pour travailler plus fort.»
À l'âge de 41 ans, Sakic se familiarise avec les rouages administratifs du hockey en côtoyant Pierre Lacroix chez l'Avalanche, en vue de revenir sur la scène du hockey.
«Je ne sais pas où ça va me mener. Mais l'objectif est de demeurer associé au hockey. Le sport occupe une place importante dans ma vie et je compte bien y revenir, une fois que les enfants seront plus âgés.»
«J'espère que ça va fonctionner, a-t-il déclaré, quand on a abordé le sujet. On me dit qu'on va de l'avant avec le projet de construction d'un nouvel amphithéâtre. Québec est une formidable ville, et j'espère qu'elle réaccueillera une équipe de la Ligue nationale. Elle mérite en tout cas d'avoir un nouvel amphithéâtre. Quand il sera construit, ce sera un très bon endroit où jouer au hockey.»
Sakic, qui a reçu des amateurs un accueil presqu'aussi chaleureux que celui qu'on a réservé au héros de la journée, en était à une première rencontre d'anciens depuis qu'il a pris sa retraite en 2009.
«C'était très le 'fun', ça m'a rappelé le match hors concours que l'Avalanche du Colorado était venue jouer ici en 2003. Les amateurs ici sont merveilleux. Qu'ils se présentent aussi nombreux à un match d'anciens, même si c'était le dernier de la vie de Guy Lafleur, il n'existe pas beaucoup d'endroits où il régnerait une atmosphère comme celle-là.»
Ça lui a rappelé des souvenirs, les bons comme les mauvais, des premières saisons qu'il a passées dans la LNH, à Québec.
«Je conserve d'excellents souvenirs de mon passage chez les Nordiques. Nous avons connu des saisons de misère, mais quand l'équipe a été plus compétitive, il n'y a rien qui battait l'atmosphère qui régnait avant le premier match de la série contre le Canadien en 1993.»
Sakic n'aurait pas manqué le dernier match de Lafleur pour tout l'or au monde. Lafleur a été un mentor pour lui, à ses débuts dans la LNH.
«Je tenais à être ici. Guy va franchir la soixantaine plus tard cette année et c'est impressionnant de voir le nombre de matchs qu'il a joués pour toutes sortes d'oeuvres charitables. On peut voir la passion qui l'anime et toute son affection pour le sport. Je suis un des rares privilégiés qui ont pu assister à ses deux retraites, comme joueur et comme ancien.»
Sakic a souligné que le Démon blond l'avait beaucoup soutenu psychologiquement dans les moments difficiles.
«Vous êtes un jeune joueur, uniquement heureux d'être dans la ligue. Mais perdre à la longue devenait frustrant. Et nous perdions beaucoup de matchs à l'époque, a-t-il évoqué. Mais Guy me disait continuellement de ne pas m'en faire et que les choses finiraient par tourner.
«Quand un joueur de sa trempe, qui a gagné la coupe Stanley plusieurs fois, s'adresse à vous de cette façon, vous ne pouvez que vous présenter à l'aréna pour travailler plus fort.»
À l'âge de 41 ans, Sakic se familiarise avec les rouages administratifs du hockey en côtoyant Pierre Lacroix chez l'Avalanche, en vue de revenir sur la scène du hockey.
«Je ne sais pas où ça va me mener. Mais l'objectif est de demeurer associé au hockey. Le sport occupe une place importante dans ma vie et je compte bien y revenir, une fois que les enfants seront plus âgés.»