Jonathan Roy... sur les traces de Patrick
Hockey lundi, 12 févr. 2001. 21:54 vendredi, 13 déc. 2024. 15:44
(RDS) - Pendant qu'à Montréal on se prépare pour la visite de Patrick Roy et de l'Avalanche, à Québec c'est fiston qui attire l'attention. Jonathan Roy, le fils aîné du gardien de l'Avalanche participe actuellement à ce célèbre tournoi. Évidemment, comme son père, Jonathan est un gardien de but. Il évolue pour l'équipe de Littleton, au Colorado.
Jonathan Roy a connu des débuts plutôt difficiles à sa première présence au tournoi international de hockey pee-wee de Québec. Lui et ses coéquipiers, qui sont pour la plupart âgés que de 11 ans, se sont inclinés dès le premier tour face à la formation italienne de Veneto par la marque de 6 à 1. Le jeune cerbère ne se décourage pas et il a en tête un objectif bien précis.
"J'aimerais avoir une meilleure fiche que mon père au tournoi pee-wee. Il a gagné deux parties et perdu sa troisième", a indiqué le jeune Jonathan.
Étant le fils de Patrick Roy, les coéquipiers de Jonathan et les gens de son entourage s'attendent à ce qu'il soit un gardien de but dominant. Cela met évidemment beaucoup de pression sur le jeune gardien de 11 ans, qui ne semble toutefois pas trop incommodé par toute cette attention.
"Des fois, certains joueurs comptent un peu sur moi. J'aime ça, mais pas trop. Il faut faire beaucoup de choses pour être un héros dans un match. Ça va, mais c'est certain qu'il y a beaucoup plus de pression ici quand il y a autant de spectateurs", a indiqué le jeune garçon.
Le fait d'avoir comme père un des plus grands gardiens de but de l'histoire du hockey ne déplaît pas du tout à Jonathan. C'est même un élément qui semble plutôt le motiver à partir à la chasse au record.
"J'aime beaucoup ce que mon père fait. J'aimerais faire comme lui et battre ses records", a admis le fils de Casseau.
Jonathan, qui évoluait au centre jusqu'au niveau atome, a décidé de lui-même de devenir gardien de but. Selon ses dires, son père ne l'a jamais forcé à suivre son cheminement, même si ce dernier ne peut s'empêcher de suivre de très près le développement de son fils aîné.
"Il faut toujours que je l'écoute, sinon il va paniquer! Il me donne des conseils. Il veut que je fasse tout parfaitement et que je réalise son rêve", a expliqué Jonathan Roy.
Pour Michèle Piuze, qui assiste aux matchs de son mari depuis des années, le niveau de stress est encore plus intense quand il s'agit de regarder évoluer son propre fils.
"Le côté maternel prend le dessus! C'est beaucoup plus énervant de voir jouer mon fils que de regarder Patrick", a soutenu Michèle Piuze.
"Son style ressemble à celui de son père. Il est très rapide, il est vite avec la mitaine. À notre dernier match avant de quitter Denver, il a été excellent en effectuant de vrais vols", a affirmé l'entraîneur de la formation de Jonathan, Michael Wilkenson.
Bonne nouvelle pour Jonathan, son père croit qu'il a atteint un niveau supérieur que lui au même âge.
"Patrick le dit constamment. Il a une belle technique. On verra avec les années", a mentionné la mère du garçon.
Pour ceux qui désirent voir le jeune Jonathan Roy en action, lui et ses coéquipiers de Littleton disputeront leur prochain match mardi à 16h45 à l'aréna de Bernières dans le cadre du tournoi consolation.
Jonathan Roy a connu des débuts plutôt difficiles à sa première présence au tournoi international de hockey pee-wee de Québec. Lui et ses coéquipiers, qui sont pour la plupart âgés que de 11 ans, se sont inclinés dès le premier tour face à la formation italienne de Veneto par la marque de 6 à 1. Le jeune cerbère ne se décourage pas et il a en tête un objectif bien précis.
"J'aimerais avoir une meilleure fiche que mon père au tournoi pee-wee. Il a gagné deux parties et perdu sa troisième", a indiqué le jeune Jonathan.
Étant le fils de Patrick Roy, les coéquipiers de Jonathan et les gens de son entourage s'attendent à ce qu'il soit un gardien de but dominant. Cela met évidemment beaucoup de pression sur le jeune gardien de 11 ans, qui ne semble toutefois pas trop incommodé par toute cette attention.
"Des fois, certains joueurs comptent un peu sur moi. J'aime ça, mais pas trop. Il faut faire beaucoup de choses pour être un héros dans un match. Ça va, mais c'est certain qu'il y a beaucoup plus de pression ici quand il y a autant de spectateurs", a indiqué le jeune garçon.
Le fait d'avoir comme père un des plus grands gardiens de but de l'histoire du hockey ne déplaît pas du tout à Jonathan. C'est même un élément qui semble plutôt le motiver à partir à la chasse au record.
"J'aime beaucoup ce que mon père fait. J'aimerais faire comme lui et battre ses records", a admis le fils de Casseau.
Jonathan, qui évoluait au centre jusqu'au niveau atome, a décidé de lui-même de devenir gardien de but. Selon ses dires, son père ne l'a jamais forcé à suivre son cheminement, même si ce dernier ne peut s'empêcher de suivre de très près le développement de son fils aîné.
"Il faut toujours que je l'écoute, sinon il va paniquer! Il me donne des conseils. Il veut que je fasse tout parfaitement et que je réalise son rêve", a expliqué Jonathan Roy.
Pour Michèle Piuze, qui assiste aux matchs de son mari depuis des années, le niveau de stress est encore plus intense quand il s'agit de regarder évoluer son propre fils.
"Le côté maternel prend le dessus! C'est beaucoup plus énervant de voir jouer mon fils que de regarder Patrick", a soutenu Michèle Piuze.
"Son style ressemble à celui de son père. Il est très rapide, il est vite avec la mitaine. À notre dernier match avant de quitter Denver, il a été excellent en effectuant de vrais vols", a affirmé l'entraîneur de la formation de Jonathan, Michael Wilkenson.
Bonne nouvelle pour Jonathan, son père croit qu'il a atteint un niveau supérieur que lui au même âge.
"Patrick le dit constamment. Il a une belle technique. On verra avec les années", a mentionné la mère du garçon.
Pour ceux qui désirent voir le jeune Jonathan Roy en action, lui et ses coéquipiers de Littleton disputeront leur prochain match mardi à 16h45 à l'aréna de Bernières dans le cadre du tournoi consolation.