"José se veut la raison principale de nos succès"
Hockey dimanche, 24 mars 2002. 17:04 vendredi, 13 déc. 2024. 16:42
(PC)-Le Canadien va-t-il continuer de s'en tirer en jouant de façon aussi peu convaincante et en s'en remettant à José Théodore, tout en profitant que ses adversaires dans la course aux séries éliminatoires jouent à qui perd gagne ?
Il ne faut pas se raconter d'histoire: le Canadien ne joue pas bien depuis la pause olympique, et il doit essentiellement à Théodore d'avoir conservé une fiche de .500 (5-5-4) qui lui permet malgré tout de s'agripper au huitième rang.
Théodore a eu à affronter 40 lancers et plus lors de six de ses 14 derniers matchs, mais il a permis à son équipe de limiter les dégâts en grugeant cinq points (une victoire, deux défaites et trois résultats nuls).
«José se veut la raison principale de nos succès et je ne veux pas commencer à parler de la façon dont nous jouons», a dit Yanic Perreault cette semaine.
Michel Therrien, lui, a beau répéter que seul le résultat final compte, il faut quand même regarder la vérité en face.
Le Canadien est rentré à Montréal au milieu de la nuit de samedi à dimanche après avoir conservé encore une fois une fiche de .500 à l'issue d'une séquence de quatre matchs, dont trois l'opposant à quelques-unes des pires formations de la LNH (Floride, Tampa Bay et Nashville). Il n'a vaincu que les jeunes Panthers, qui risquent de finir au tout dernier rang du classement général.
«On aurait espéré revenir avec six points», a déclaré Therrien, qui a mal digéré la dernière défaite à Nashville, contre une formation qui n'avait pas gagné un seul de ses huit matchs précédents. «Comment expliquer que certains individus se préparent mal pour un match alors que l'on se bat pour une place dans les séries ? J'ai beaucoup de difficultés à comprendre ça», a déclaré l'entraîneur.
Le Canadien va avoir la chance de se reprendre contre les Panthers et le Lightning cette semaine au Centre Molson où, pour la première fois de son histoire, il montre une fiche nettement positive de 17-11-6-1.
Les Penguins de Pittsburgh, une équipe épouvantablement démunie en raison des blessures à Mario Lemieux, Martin Straka et Robert Lang et de l'échange de Darius Kasparaitis, suivront samedi.
Le Canadien aura là une autre occasion d'amasser de précieux points pour respirer un peu plus à l'aise. Mais ses coéquipiers viendront-ils à l'aide de José Théodore ?
Il ne faut pas se raconter d'histoire: le Canadien ne joue pas bien depuis la pause olympique, et il doit essentiellement à Théodore d'avoir conservé une fiche de .500 (5-5-4) qui lui permet malgré tout de s'agripper au huitième rang.
Théodore a eu à affronter 40 lancers et plus lors de six de ses 14 derniers matchs, mais il a permis à son équipe de limiter les dégâts en grugeant cinq points (une victoire, deux défaites et trois résultats nuls).
«José se veut la raison principale de nos succès et je ne veux pas commencer à parler de la façon dont nous jouons», a dit Yanic Perreault cette semaine.
Michel Therrien, lui, a beau répéter que seul le résultat final compte, il faut quand même regarder la vérité en face.
Le Canadien est rentré à Montréal au milieu de la nuit de samedi à dimanche après avoir conservé encore une fois une fiche de .500 à l'issue d'une séquence de quatre matchs, dont trois l'opposant à quelques-unes des pires formations de la LNH (Floride, Tampa Bay et Nashville). Il n'a vaincu que les jeunes Panthers, qui risquent de finir au tout dernier rang du classement général.
«On aurait espéré revenir avec six points», a déclaré Therrien, qui a mal digéré la dernière défaite à Nashville, contre une formation qui n'avait pas gagné un seul de ses huit matchs précédents. «Comment expliquer que certains individus se préparent mal pour un match alors que l'on se bat pour une place dans les séries ? J'ai beaucoup de difficultés à comprendre ça», a déclaré l'entraîneur.
Le Canadien va avoir la chance de se reprendre contre les Panthers et le Lightning cette semaine au Centre Molson où, pour la première fois de son histoire, il montre une fiche nettement positive de 17-11-6-1.
Les Penguins de Pittsburgh, une équipe épouvantablement démunie en raison des blessures à Mario Lemieux, Martin Straka et Robert Lang et de l'échange de Darius Kasparaitis, suivront samedi.
Le Canadien aura là une autre occasion d'amasser de précieux points pour respirer un peu plus à l'aise. Mais ses coéquipiers viendront-ils à l'aide de José Théodore ?