L'appui des partisans à Québec aidera
Hockey mercredi, 14 mai 2008. 19:48 mercredi, 11 déc. 2024. 14:49
Je suis satisfait de la performance du Canada en quarts de finale face à la Norvège puisque les joueurs canadiens ont exécuté ce qu'ils devaient accomplir.
Ils ont réussi à compter le premier but rapidement et ils menaient 5 à 2 après la deuxième période.
Sans oublier que le « gros » trio a encore une fois excellé avec quatre des huit buts de l'équipe. Ce trio composé de Dany Heatley, Ryan Getzlaf et Rick Nash mène l'équipe avec sa présence physique. Cette unité impose le rythme de la partie et même si les équipes adverses tentent de jouer physique avec ces joueurs, ça ne fonctionne pas.
Durant quelques minutes en deuxième période, le match était plus serré et au cours de cette séquence le Canada a manqué de discipline.
Malgré tout, c'était évident que la Norvège ne représentait pas une menace pour le Canada. Avant cette rencontre, les joueurs norvégiens avaient inscrit seulement huit buts.
En fait, la Norvège a déjà gagné sa coupe. Dans le pire scénario, elle terminerait au huitième rang ce qui est excellent pour cette nation.
La défensive demeure le seul aspect à peaufiner pour le Canada. D'ailleurs, deux défenseurs me déçoivent énormément et il s'agit de Jay Bouwmeester et Ed Jovanovski. Lorsqu'ils subissent de la pression en zone défensive, ça se complique pour ces joueurs.
J'ajouterais aussi que les défenseurs Mike Green et Brent Burns ont aussi des carences dans leur territoire, mais ils sont de véritables menaces offensives.
Le défi de la Suède
La Suède ne sera pas un adversaire facile pour le Canada en demi-finale.
Pour le moment, le Canada a seulement fait face à deux défis en sept parties. Ce ne sont pas les deux matchs contre la Norvège ainsi que les duels face à la Lettonie, la Slovénie et l'Allemagne qui ont testé la force de caractère du Canada.
La victoire face aux États-Unis a été remportée de justesse au compte de 5 à 4 alors que la Finlande était privée d'Olli Jokinen et du défenseur Anssi Salmela.
L'équipe suédoise mise sur un gardien qui peut faire la différence en Henrik Lundqvist et un attaquant redoutable en Nicklas Backstrom. À mon avis, cette formation compte sur deux trios qui peuvent causer des dommages.
Face à un adversaire de la sorte, le Canada devra évidemment être discipliné ce qui ne fut pas toujours le cas face à la Norvège.
Si l'offensive canadienne poursuit sur sa lancée, le Canada accédera à la finale et le « gros » trio fera encore la différence.
Je m'attends à voir Pascal Leclaire devant le filet du Canadien. Il s'agit d'un sujet délicat puisque Leclaire est le gardien de l'entraîneur Ken Hitchcock avec les Blue Jackets de Columbus. Je présume qu'Hitchcock va continuer la rotation devant le filet.
L'appui des partisans de Québec
L'équipe canadienne est la seule qui s'amène à Québec avec une fiche parfaite. La Russie a remporté tous ses matchs, mais deux de ses victoires n'ont pas été obtenues en temps règlementaire.
Je ne crois pas que l'ambiance de Québec représentera un piège pour l'équipe canadienne. Je suis plutôt d'avis que l'appui des partisans va aider le Canada à poursuivre dans la bonne direction.
Ça peut sembler un cliché, mais les joueurs canadiens ne doivent pas être trop confiants. À partir de maintenant, c'est un nouveau départ. La troupe de Ken Hitchcock doit oublier sa fiche de 7-0 et recommencer à neuf pour bien se concentrer sur l'objectif de la médaille d'or.
*Propos recueillis par Éric Leblanc
Ils ont réussi à compter le premier but rapidement et ils menaient 5 à 2 après la deuxième période.
Sans oublier que le « gros » trio a encore une fois excellé avec quatre des huit buts de l'équipe. Ce trio composé de Dany Heatley, Ryan Getzlaf et Rick Nash mène l'équipe avec sa présence physique. Cette unité impose le rythme de la partie et même si les équipes adverses tentent de jouer physique avec ces joueurs, ça ne fonctionne pas.
Durant quelques minutes en deuxième période, le match était plus serré et au cours de cette séquence le Canada a manqué de discipline.
Malgré tout, c'était évident que la Norvège ne représentait pas une menace pour le Canada. Avant cette rencontre, les joueurs norvégiens avaient inscrit seulement huit buts.
En fait, la Norvège a déjà gagné sa coupe. Dans le pire scénario, elle terminerait au huitième rang ce qui est excellent pour cette nation.
La défensive demeure le seul aspect à peaufiner pour le Canada. D'ailleurs, deux défenseurs me déçoivent énormément et il s'agit de Jay Bouwmeester et Ed Jovanovski. Lorsqu'ils subissent de la pression en zone défensive, ça se complique pour ces joueurs.
J'ajouterais aussi que les défenseurs Mike Green et Brent Burns ont aussi des carences dans leur territoire, mais ils sont de véritables menaces offensives.
Le défi de la Suède
La Suède ne sera pas un adversaire facile pour le Canada en demi-finale.
Pour le moment, le Canada a seulement fait face à deux défis en sept parties. Ce ne sont pas les deux matchs contre la Norvège ainsi que les duels face à la Lettonie, la Slovénie et l'Allemagne qui ont testé la force de caractère du Canada.
La victoire face aux États-Unis a été remportée de justesse au compte de 5 à 4 alors que la Finlande était privée d'Olli Jokinen et du défenseur Anssi Salmela.
L'équipe suédoise mise sur un gardien qui peut faire la différence en Henrik Lundqvist et un attaquant redoutable en Nicklas Backstrom. À mon avis, cette formation compte sur deux trios qui peuvent causer des dommages.
Face à un adversaire de la sorte, le Canada devra évidemment être discipliné ce qui ne fut pas toujours le cas face à la Norvège.
Si l'offensive canadienne poursuit sur sa lancée, le Canada accédera à la finale et le « gros » trio fera encore la différence.
Je m'attends à voir Pascal Leclaire devant le filet du Canadien. Il s'agit d'un sujet délicat puisque Leclaire est le gardien de l'entraîneur Ken Hitchcock avec les Blue Jackets de Columbus. Je présume qu'Hitchcock va continuer la rotation devant le filet.
L'appui des partisans de Québec
L'équipe canadienne est la seule qui s'amène à Québec avec une fiche parfaite. La Russie a remporté tous ses matchs, mais deux de ses victoires n'ont pas été obtenues en temps règlementaire.
Je ne crois pas que l'ambiance de Québec représentera un piège pour l'équipe canadienne. Je suis plutôt d'avis que l'appui des partisans va aider le Canada à poursuivre dans la bonne direction.
Ça peut sembler un cliché, mais les joueurs canadiens ne doivent pas être trop confiants. À partir de maintenant, c'est un nouveau départ. La troupe de Ken Hitchcock doit oublier sa fiche de 7-0 et recommencer à neuf pour bien se concentrer sur l'objectif de la médaille d'or.
*Propos recueillis par Éric Leblanc