L'indiscipline a tué les Ducks
Anaheim Ducks samedi, 2 juin 2007. 23:28 samedi, 14 déc. 2024. 04:49
Au babillard dans le vestiaire des Ducks, l'entraîneur Randy Carlyle inscrira un mot, en gros caractères : INDISCIPLINE.
Les Ducks ont causé leur propre perte contre les Sénateurs d'Ottawa dans le troisième match de la série finale pour l'obtention de la coupe Stanley. À trois occasions, ils ont détenu une avance d'un but, mais ils ont permis à leurs adversaires de revenir dans le match en écopant de mauvaises pénalités, en créant des revirements et en étant une équipe particulièrement indisciplinée dans son territoire.
Quand on se retrouve constamment au banc des pénalités, ça veut dire que le plan de match ne fonctionne pas, que les défenseurs sont complètement désorganisés et le gardien Jean-Sébastien ne peut pas réussir de miracles.
Bryan Murray, lui, a obtenu une très forte contribution de ses employés de soutien. Daniel Alfredsson, Dany Heatley et Jason Spezza ont été des joueurs très ordinaires dans ce match numéro 3. Chris Neil, Antoine Vermette et Chris Kelly ont été des joueurs exceptionnels. C'est ce qui a fait la différence du côté d'Ottawa et c'est la raison pour laquelle les Sénateurs ont gagné le match clé de cette série.
Parce que s'ils s'étaient retrouvés 0-3, c'était terminé.
Maintenant, ils auront une chance d'égaler la série lorsqu'ils disputeront le quatrième match lundi, à la Place Banque Scotia.
Transcription de la chronique En coulisses diffusée au bulletin Sports 30.
Les Ducks ont causé leur propre perte contre les Sénateurs d'Ottawa dans le troisième match de la série finale pour l'obtention de la coupe Stanley. À trois occasions, ils ont détenu une avance d'un but, mais ils ont permis à leurs adversaires de revenir dans le match en écopant de mauvaises pénalités, en créant des revirements et en étant une équipe particulièrement indisciplinée dans son territoire.
Quand on se retrouve constamment au banc des pénalités, ça veut dire que le plan de match ne fonctionne pas, que les défenseurs sont complètement désorganisés et le gardien Jean-Sébastien ne peut pas réussir de miracles.
Bryan Murray, lui, a obtenu une très forte contribution de ses employés de soutien. Daniel Alfredsson, Dany Heatley et Jason Spezza ont été des joueurs très ordinaires dans ce match numéro 3. Chris Neil, Antoine Vermette et Chris Kelly ont été des joueurs exceptionnels. C'est ce qui a fait la différence du côté d'Ottawa et c'est la raison pour laquelle les Sénateurs ont gagné le match clé de cette série.
Parce que s'ils s'étaient retrouvés 0-3, c'était terminé.
Maintenant, ils auront une chance d'égaler la série lorsqu'ils disputeront le quatrième match lundi, à la Place Banque Scotia.
Transcription de la chronique En coulisses diffusée au bulletin Sports 30.