La passion caractérise les Canadiens à la Coupe Spengler
Hockey mardi, 31 déc. 2002. 16:56 mercredi, 11 déc. 2024. 06:35
Montréal (Sportcom) - « C'est encore et toujours notre passion de gagner qui a fait la différence dans le tournoi », a commenté Jean-Yves Roy, l'un des joueurs de l'équipe canadienne qui a remporté aujourd'hui la Coupe Spengler à Davos en Suisse.
Les Canadiens ont défait en finale le club hôte de Davos par la marque de 3-2 grâce aux deux buts marqués par le Québécois (natif de Granby) Jan Alston. C'est la cinquième fois que le Canada remporte les honneurs de la Coupe Spengler, le plus vieux tournoi de hockey en Europe.
L'équipe canadienne, formée essentiellement de joueurs canadiens évoluant en Europe et dans la Ligue Américaine, n'a perdu aucun match (4-0 en ronde préliminaire) dans ce tournoi à cinq équipes, inscrivant son premier triomphe depuis 1998.
« Après l'équipe hôte, c'est l'équipe canadienne qui est la favorite du public ici parce que les spectateurs reconnaissent que lorsque les Canadiens mettent les patins sur la glace, ils vont s'arracher le cœur pour gagner », a fait remarquer Jean-Yves Roy qui en était à une sixième participation et à un troisième titre à Davos. Il joue depuis six ans pour l'équipe de Fribourg en Suisse.
« La majorité des joueurs de notre formation n'ont pas l'ambition d'atteindre la Ligue nationale mais en gagnant le tournoi, on fait la preuve qu'on peut aider des équipes européennes et continuer à gagner notre vie en jouant au hockey tout en découvrant les splendeurs de l'Europe. C'est une expérience enrichissante à plusieurs niveaux », de préciser celui qui a déjà évolué dans les organisations des Rangers de New York, des Sénateurs d'Ottawa et des Bruins de Boston.
Né à Montréal, Jean-Yves Roy envisage de ramener sa famille (sa femme Heather et ses deux filles Dominique et Gabrielle) au Québec lorsqu'il en aura fini avec le hockey en Europe. « Ma femme est Américaine et nous avons toujours notre maison à Boston mais je cherche à la convaincre de s'installer à Montréal. Je voudrais poursuivre mes études à McGill ou à Concordia », a-t-il souligné.
Yves Sarrault était le seul autre Québécois au sein de l'équipe canadienne qui alignait aussi un certain Paul DiPietro, qui a remporté la Coupe Stanley avec le Canadien de Montréal en 1993.
Les Canadiens ont défait en finale le club hôte de Davos par la marque de 3-2 grâce aux deux buts marqués par le Québécois (natif de Granby) Jan Alston. C'est la cinquième fois que le Canada remporte les honneurs de la Coupe Spengler, le plus vieux tournoi de hockey en Europe.
L'équipe canadienne, formée essentiellement de joueurs canadiens évoluant en Europe et dans la Ligue Américaine, n'a perdu aucun match (4-0 en ronde préliminaire) dans ce tournoi à cinq équipes, inscrivant son premier triomphe depuis 1998.
« Après l'équipe hôte, c'est l'équipe canadienne qui est la favorite du public ici parce que les spectateurs reconnaissent que lorsque les Canadiens mettent les patins sur la glace, ils vont s'arracher le cœur pour gagner », a fait remarquer Jean-Yves Roy qui en était à une sixième participation et à un troisième titre à Davos. Il joue depuis six ans pour l'équipe de Fribourg en Suisse.
« La majorité des joueurs de notre formation n'ont pas l'ambition d'atteindre la Ligue nationale mais en gagnant le tournoi, on fait la preuve qu'on peut aider des équipes européennes et continuer à gagner notre vie en jouant au hockey tout en découvrant les splendeurs de l'Europe. C'est une expérience enrichissante à plusieurs niveaux », de préciser celui qui a déjà évolué dans les organisations des Rangers de New York, des Sénateurs d'Ottawa et des Bruins de Boston.
Né à Montréal, Jean-Yves Roy envisage de ramener sa famille (sa femme Heather et ses deux filles Dominique et Gabrielle) au Québec lorsqu'il en aura fini avec le hockey en Europe. « Ma femme est Américaine et nous avons toujours notre maison à Boston mais je cherche à la convaincre de s'installer à Montréal. Je voudrais poursuivre mes études à McGill ou à Concordia », a-t-il souligné.
Yves Sarrault était le seul autre Québécois au sein de l'équipe canadienne qui alignait aussi un certain Paul DiPietro, qui a remporté la Coupe Stanley avec le Canadien de Montréal en 1993.