Lapierre est un exemple, selon Gainey
Hockey samedi, 21 mars 2009. 23:07 mercredi, 11 déc. 2024. 07:41
MONTREAL - Maxim Lapierre y est allé d'un cri du coeur à l'endroit de ses coéquipiers, au terme de la cinquième défaite du Canadien de suite (0-3-2) - une première depuis la saison 2006-07.
"On doit travailler, on n'a pas le choix, a-t-il lancé d'un trait. Ça ne nous tombera pas du ciel. Il faut qu'on accepte de souffrir. On doit sortir les sacs de glace après les matchs."
"On doit trouver des façons de gagner, peu importe que ça soit beau ou laid. On doit se défoncer, se faire mal, laisser notre coeur sur la glace. On doit amasser des points, il faut qu'on participe aux séries éliminatoires. On sait que sur papier on a le groupe pour réussir", a poursuivi le jeune attaquant, en avouant que "cette défaite-là va être dure à avaler".
L'entraîneur Bob Gainey a rendu hommage à Lapierre, en affirmant qu'il est une source d'inspiration pour tous ses coéquipiers.
"Maxim montre la voie à tout le monde en affichant énormément de passion et d'effort. Uniquement qu'à le regarder, c'est facile de voir toute la détermination qui l'anime. C'est moins évident en regardant à l'oeuvre d'autres joueurs", a-t-il pris soin d'ajouter.
Lapierre a dirigé sept des 28 tirs du Tricolore, en plus d'obtenir cinq des 30 mises en échec de l'équipe. Il a été efficace dans les cercles de remises en jeu, avec un taux de réussite de 56 pour cent.
L'heure est grave
Plusieurs joueurs vont devoir se regarder dans le miroir, dimanche. Gainey va voir à ce qu'ils procèdent à un examen de conscience, avec 10 matchs à jouer en saison régulière. Aucune séance d'entraînement n'a été programmée. On nous a dit que des joueurs devraient sauter sur la glace.
"Notre prochain objectif doit être de remporter un match qu'on mérite de remporter parce qu'on aura fourni un effort soutenu pendant 60 minutes", a répondu Gainey, quand on lui a demandé quel est l'objectif de points en vue de la prochaine semaine.
Depuis deux semaines qu'il a pris les rênes de l'équipe, on est encore beaucoup trop hésitant dans le feu de l'action. Les Maple Leafs paraissaient très rapides, samedi.
"On se tire dans le pied en multipliant des erreurs bêtes sur des jeux pourtant fort simples, a-t-il argué. On se saborde quand on est en possession de la rondelle, en faisant des passes qui bifurquent sur un bâton ou un patin."
"On doit travailler, on n'a pas le choix, a-t-il lancé d'un trait. Ça ne nous tombera pas du ciel. Il faut qu'on accepte de souffrir. On doit sortir les sacs de glace après les matchs."
"On doit trouver des façons de gagner, peu importe que ça soit beau ou laid. On doit se défoncer, se faire mal, laisser notre coeur sur la glace. On doit amasser des points, il faut qu'on participe aux séries éliminatoires. On sait que sur papier on a le groupe pour réussir", a poursuivi le jeune attaquant, en avouant que "cette défaite-là va être dure à avaler".
L'entraîneur Bob Gainey a rendu hommage à Lapierre, en affirmant qu'il est une source d'inspiration pour tous ses coéquipiers.
"Maxim montre la voie à tout le monde en affichant énormément de passion et d'effort. Uniquement qu'à le regarder, c'est facile de voir toute la détermination qui l'anime. C'est moins évident en regardant à l'oeuvre d'autres joueurs", a-t-il pris soin d'ajouter.
Lapierre a dirigé sept des 28 tirs du Tricolore, en plus d'obtenir cinq des 30 mises en échec de l'équipe. Il a été efficace dans les cercles de remises en jeu, avec un taux de réussite de 56 pour cent.
L'heure est grave
Plusieurs joueurs vont devoir se regarder dans le miroir, dimanche. Gainey va voir à ce qu'ils procèdent à un examen de conscience, avec 10 matchs à jouer en saison régulière. Aucune séance d'entraînement n'a été programmée. On nous a dit que des joueurs devraient sauter sur la glace.
"Notre prochain objectif doit être de remporter un match qu'on mérite de remporter parce qu'on aura fourni un effort soutenu pendant 60 minutes", a répondu Gainey, quand on lui a demandé quel est l'objectif de points en vue de la prochaine semaine.
Depuis deux semaines qu'il a pris les rênes de l'équipe, on est encore beaucoup trop hésitant dans le feu de l'action. Les Maple Leafs paraissaient très rapides, samedi.
"On se tire dans le pied en multipliant des erreurs bêtes sur des jeux pourtant fort simples, a-t-il argué. On se saborde quand on est en possession de la rondelle, en faisant des passes qui bifurquent sur un bâton ou un patin."