Le Canada fait confiance à Marc Denis
Hockey mardi, 16 mai 2006. 14:52 samedi, 14 déc. 2024. 04:33
RIGA, Lettonie (PC) - Par la passé, il a été tantôt une étoile, tantôt un spectateur, mais tout ce qui compte pour Marc Denis, c'est qu'il est toujours rentré à la maison en tant que gagnant.
Le gardien de 28 ans a remporté la médaille d'or lors des trois tournois de la Fédération internationale de hockey auxquels il a participé avec l'équipe canadienne et il entend bien encore récolter de l'or au Championnat du monde de hockey cette année.
Denis a été préféré à Alex Auld pour entreprendre le match contre la Slovaquie lors des quarts de finale mercredi mais il insiste pour dire que cela a peu de signification à ses yeux.
"L'équipe importe avant tout quand on porte le chandail de son pays, a-t-il dit après la séance d'entraînement, mardi. Combien de bons joueurs sont ici pour évoluer au sein du quatrième trio? Combien de bons défenseurs offensifs n'ont pas l'occasion de jouer en avantage numérique?
"On entend personne se plaindre. Faire partie d'une équipe gagnante est toujours gratifiant, peu importe le rôle que l'on joue."
Et gagner, c'est quelque chose qu'il connaît bien.
Denis n'a jamais perdu un match devant le filet d'une équipe canadienne, présentant une fiche de 7-0-2. Il a glané la médaille d'or lors du Championnat mondial de hockey junior en 1996 et 1997, et son dossier s'établit présentement à 3-0-0 en Lettonie depuis le début du tournoi.
Il était le troisième gardien du Canada lors de l'obtention de la médaille d'or au Championnat du monde en 2004, ayant revêtu l'uniforme pour agir comme adjoint dans deux matchs. Il n'a pas été utilisé mais il a été récompensé puisque l'équipe a réalisé son objectif.
"Ca valait le coût, a dit Denis, parce que j'ai quitté Prague avec une médaille d'or."
Au risque de se répéter, Denis sait bien qu'on attend toujours davantage du Canada que des autres équipes.
De plus, les équipes canadiennes ont la capacité de former un groupe homogène et c'est ce que l'édition de cette année semble parvenir à faire.
Les membres des familles qui ont fait le voyage en Lettonie ont joint les joueurs sur la patinoire mardi pour une photographie.
"Nous essayons de créer une véritable ambiance d'équipe et cela comprend tout le monde, a dit le défenseur Brad Stuart, qui est accompagné de son épouse Melissa. Je pense que cela met l'emphase sur le fait que nous sommes tous ensemble dans ce tournoi."
Le gardien de 28 ans a remporté la médaille d'or lors des trois tournois de la Fédération internationale de hockey auxquels il a participé avec l'équipe canadienne et il entend bien encore récolter de l'or au Championnat du monde de hockey cette année.
Denis a été préféré à Alex Auld pour entreprendre le match contre la Slovaquie lors des quarts de finale mercredi mais il insiste pour dire que cela a peu de signification à ses yeux.
"L'équipe importe avant tout quand on porte le chandail de son pays, a-t-il dit après la séance d'entraînement, mardi. Combien de bons joueurs sont ici pour évoluer au sein du quatrième trio? Combien de bons défenseurs offensifs n'ont pas l'occasion de jouer en avantage numérique?
"On entend personne se plaindre. Faire partie d'une équipe gagnante est toujours gratifiant, peu importe le rôle que l'on joue."
Et gagner, c'est quelque chose qu'il connaît bien.
Denis n'a jamais perdu un match devant le filet d'une équipe canadienne, présentant une fiche de 7-0-2. Il a glané la médaille d'or lors du Championnat mondial de hockey junior en 1996 et 1997, et son dossier s'établit présentement à 3-0-0 en Lettonie depuis le début du tournoi.
Il était le troisième gardien du Canada lors de l'obtention de la médaille d'or au Championnat du monde en 2004, ayant revêtu l'uniforme pour agir comme adjoint dans deux matchs. Il n'a pas été utilisé mais il a été récompensé puisque l'équipe a réalisé son objectif.
"Ca valait le coût, a dit Denis, parce que j'ai quitté Prague avec une médaille d'or."
Au risque de se répéter, Denis sait bien qu'on attend toujours davantage du Canada que des autres équipes.
De plus, les équipes canadiennes ont la capacité de former un groupe homogène et c'est ce que l'édition de cette année semble parvenir à faire.
Les membres des familles qui ont fait le voyage en Lettonie ont joint les joueurs sur la patinoire mardi pour une photographie.
"Nous essayons de créer une véritable ambiance d'équipe et cela comprend tout le monde, a dit le défenseur Brad Stuart, qui est accompagné de son épouse Melissa. Je pense que cela met l'emphase sur le fait que nous sommes tous ensemble dans ce tournoi."