Le Hockeyeur de la semaine
Hockey lundi, 2 mai 2005. 16:58 samedi, 14 déc. 2024. 18:01
Par INFINI Communication inc - Lentement, mais sûrement: tous les circuits de hockey senior au Québec - A, AA et AAA et professionnel - se dirigent vers leurs assemblées générales annuelles respectives. La ronde débutera en mi mai avec notamment l'AGA de la LNAH à Québec du 19 au 21 mai.
Les autres ligues suivront et tous les circuits devraient avoir fermé 2004-2005 d'ici les 10-11-12 juin prochains. La Ligue de hockey senior AA Bas-Saint-Laurent/Gaspésie n'échappe pas à la situation, comme le veut sa réglementation, notamment, et la logique, aussi!
Pour le président sortant et son exécutif, il sera temps - comme les directions de tous les circuits - de faire le point sur les mandats qui lui ont été confiés et tracer le bilan de cette saison difficile à certains égards, et vivifiante à d'autres égards.
Parce que, nonobstant la douzaine de hauts-parleurs qui s'évertuent depuis plusieurs mois à décrier la ligue - certains le faisant depuis 7 ans - force est d'admettre que ce circuit présente du 'maudit beau hockey' qui plaît aux amateurs, répond aux espoirs de plusieurs dizaines de joueurs, et constitue un excellent véhicule publicitaire pour des dizaines de commanditaires.
Si tel n'était pas le cas, pourquoi plus de 912 personnes par partie ont assisté en moyenne aux rencontres de la saison régulière et plus de 1 104 personnes en moyenne par parties ont assisté aux séries éliminatoires ?
Nier l'évidence serait une insulte à ces milliers de gens qui ont suivi telle équipe, telle rencontre, tel affrontement, telle rivalité naturelle ou pas. Nier l'évidence serait aussi dire aux investisseurs - lire propriétaires des équipes - qu'ils sont de grands naïfs que d'investir - à perte - des dizaines et dizaines de milliers de dollars sans avoir la certitude d'entrer dans leurs mises de fonds. Nier l'évidence est lancer un message aux commanditaires qu'ils ne connaissent rien et ne savent pas disposer de leurs investissements tout en les invitant à demeurer à la maison la saison prochaine.
LEVIER ÉCONOMIQUE MAJEUR
Nier l'évidence est aussi basculer par dessus bord le fait que la LHSBSL/G - comme tous les circuits senior A, AA, AAA et professionnel - constitue un levier sportif, culturel, touristique, et surtout ÉCONOMIQUE majeur dans chacune des municipalités où tente de grandir une équipe. Les éternels dénigreurs(euses) sont-ils au courant de ce qui se dépense pour chacune des parties de hockey senior - et ce, uniquement par les spectateurs, que ce soit à Forestville, Alma, La Pocatière, Montmagny, Sainte-Marie, Cap Chat, Chandler ou Matane ?
Un économiste nous indiquait que les dépenses moyennes d'un spectateur adulte, le soir d'un match est de 24,00 $ uniquement pour aller et revenir et assister au match. Ainsi :
· 9,00 $ pour l'entrée
· 9,00 $ pour deux (2) bières à 4,50 $ avec pourboire
· 3,50 $ pour le lunch pendant le match (poutine ou autre)
· 2,50 $ pour l'essence - spectateur local ou régional
Et si on y ajoute les dépenses avant (transport et souper) et après le match (transport, fête dans un bar local ou ailleurs, parfois même lunch et coucher), le chiffre peut varier de manière exponentielle.
C'est ainsi qu'on indique que la LHSBSL/G, pour une assistance générale de 100 000 personnes dans une saison, peut avoir généré des dépenses de 2,0 à 2,5 millions de dollars uniquement pour les dépenses générales aux rencontres.
Ces chiffres peuvent facilement atteindre les 3,5 millions $ en comptant aussi les dépenses ailleurs que dans l'aréna (stations service, location d'autobus, chambres d'hôtels, restaurants, bars, etc) et ce, sans compter ceux et celles qui en profitent pour faire du shopping dans les centres commerciaux ou magasins à grande surface qu'ils (elles) n'ont pas dans leurs localités.
Avec de tels chiffres - qui sont à peine le minimum des dépenses ou investissements découlant des activités d'un circuit senior comme la LHSBSL/G, comment ne pas comprendre que, à certains égards, nos circuits sont de réelles PME, dirigées par des bénévoles qui croient en ce sport, des investisseurs ayant foi en leur communauté, désireux de voir les choses bouger autour d'eux.
LA RÉFLEXION S'IMPOSE !
Il y a donc lieu, parfois, de s'arrêter et de se demander si l'attitude que nous avons - dirigeants de ligue, dirigeants des équipes, personnel d'encadrement des équipes, joueurs, amateurs et même commanditaires - à l'endroit de notre équipe, de notre ligue, est celle qui doit primer, prendre toute la place, sans égard aux CAPACITÉS DE PAYER des propriétaires, aux CAPACITÉS DE PAYER des amateurs, aux CAPACITÉ.S DE PAYER des commanditaires.
Il y a aussi lieu de s'interroger quant à savoir si notre attitude, en mettant de la pression sur les propriétaires, ne précipite justement pas ces proprios vers la faillite et nos équipes vers la fermeture. Croyons-nous que l'on a aidé Michel Gagné de Cap Chat, par exemple, en lui demandant d'avoir des Frankie Allen en uniforme, à des prix de fous, mais sans que cela se reflète dans les gradins ou dans la caisse à l'entrée ? Ce fut encore pire quand ledit joueur n'a pas - aux dires de certains - livré la 'marchandise'.
Au moment d'écrire ces lignes, la finale de la LNAH est 2-1 pour Québec et dans les deux derniers matchs, on n'a pas vu une seule bagarre et des scores de 3-1 à Thetford Mines contre 2-1 pour Québec à Québec en 4e période. Les gens vont retourner à ces parties ? Bien sûr, comme les ± 13 000 de samedi soir à Québec et les ± 3 000 à Thetford Mines vendredi. Pas de bagarre, mais du maudit beau hockey !!!
Pensez-vous que les incidents déplorables et condamnables du 6e match de la finale entre Louiseville et Cornwall - qui ont fait le tour de l'Amérique, vont attirer plus de monde la saison prochaine ? Pas une miette ! Il n'y a pas une ligue qui veuille de ça !
Il y a donc de la réflexion à faire dans tout ce qui touche de près et de loin le hockey senior A, AA, AAA et professionnel vers la prochaine saison, tant en réglementation, qu'en recrutement de joueurs, de dirigeants de ligue, de commanditaires, et de nouveaux marchés, sans oublier les investisseurs et personnel d'encadrement.
QUESTIONNEMENT POUR AJUSTEMENT
Et quand on dit réflexion et/ou questionnement, cela ne veut pas dire tout refaire le système. Dans la LHSBSL/G par exemple, le processus touchant la Constitution - mode d'opération d'entreprise - et touchant la Réglementation a pris beaucoup de temps et de place au fil des 10 premières années de sorte que ce circuit dispose des outils propres à son fonctionnement, outils qui méritent - annuellement - une révision et/ou ajustements mineurs, mais le temps de tout refaire, de tout réécrire est révolu. Les membres de la LHSBSL/G l'ont compris depuis deux ans. Il est certain qu'un circuit qui atteint les 10 ans, a pu passer de l'enfance à l'adolescence. D'où le fait que les changements sont peu nombreux annuellement.
Il faut aussi savoir résister à la tentation de tout refaire sur un coup de tête, ou sur un incident isolé. Tout comme il est utile de savoir se tenir loin de l'émotivité quand vient le temps de tenir des réunions et de prendre des décisions. Tout comme il faut savoir mieux encadrer et/ou supporter les dirigeants que l'on se donne.
QUESTION : comment comprendre qu'une ait dû changer de préfet de discipline 4 fois en deux ans et soit sur le point de changer encore, que quatre ligues senior sont dirigés par trois personnes chacune seulement, que 5 des 8 présidents de ligue songent à quitter, que les arbitres se retirent les uns après les autres, etc ? Se peut-il que la pression qui soit mise sur ces gens n'ait plus aucune commune mesure avec LE HOCKEY ? Avec UN JEU ?
Le pire : tous ces gens qui discutent, critiquent, accusent, diffament, se permettent même de dire qu'ils ont LA solution, mais ne VEULENT PAS prendre les postes. Jamais de la vie ! Des pleutres, qu'on appelle. Des loups ! En gang, ils se pensent forts, grognent et tentent de déchiqueter leurs proies, nonobstant les dommages collatéraux chez des personnes innocentes comme les familles de leurs 'victimes' notamment. Mais seuls, dans une discussion ouverte, terre à terre, ils détalent comme des lapins ! Car ils savent qu'ils ont tort ! Et leur couardise se reflète souvent dans leur perpétuel anonymat. Eux (elles) savent à qui ils (elles) s'adressent. Les interpellés n'ont pas chance égale dans leurs décisions de répondre ou non, ne sachant pas - pour la plupart du temps - à qui ils répondent. On appelle ça l'égalité des chances, l'équité, quoi !
Nous suggérons donc que, pour cette période dite estivale, tous les intervenants profitent de la pause dans l'action pour réfléchir au genre de hockey qu'ils veulent faire, ou suivre, ou encourager, ou financer, ou diriger. Une saine réflexion permettra peut-être - et c'est plus que souhaitable - que le hockey senior A, AA, AAA et professionnel se poursuive dans le RÉALISME ÉCONOMIQUE d'abord et avant tout.
Car sans cet ajustement de premier ordre et péremptoire, le hockey senior s'en va chez le diable ! Nos arénas seront vides. Nos joueurs n'auront plus de place à jouer. Une partie de notre économie hivernale sera paralysée. Des emplois saisonniers seront affectés. Nos amateurs trouveront le temps long.
Mais ce n'est pas ce que l'on se souhaite, pas vrai ??? Bonne réflexion !
Les autres ligues suivront et tous les circuits devraient avoir fermé 2004-2005 d'ici les 10-11-12 juin prochains. La Ligue de hockey senior AA Bas-Saint-Laurent/Gaspésie n'échappe pas à la situation, comme le veut sa réglementation, notamment, et la logique, aussi!
Pour le président sortant et son exécutif, il sera temps - comme les directions de tous les circuits - de faire le point sur les mandats qui lui ont été confiés et tracer le bilan de cette saison difficile à certains égards, et vivifiante à d'autres égards.
Parce que, nonobstant la douzaine de hauts-parleurs qui s'évertuent depuis plusieurs mois à décrier la ligue - certains le faisant depuis 7 ans - force est d'admettre que ce circuit présente du 'maudit beau hockey' qui plaît aux amateurs, répond aux espoirs de plusieurs dizaines de joueurs, et constitue un excellent véhicule publicitaire pour des dizaines de commanditaires.
Si tel n'était pas le cas, pourquoi plus de 912 personnes par partie ont assisté en moyenne aux rencontres de la saison régulière et plus de 1 104 personnes en moyenne par parties ont assisté aux séries éliminatoires ?
Nier l'évidence serait une insulte à ces milliers de gens qui ont suivi telle équipe, telle rencontre, tel affrontement, telle rivalité naturelle ou pas. Nier l'évidence serait aussi dire aux investisseurs - lire propriétaires des équipes - qu'ils sont de grands naïfs que d'investir - à perte - des dizaines et dizaines de milliers de dollars sans avoir la certitude d'entrer dans leurs mises de fonds. Nier l'évidence est lancer un message aux commanditaires qu'ils ne connaissent rien et ne savent pas disposer de leurs investissements tout en les invitant à demeurer à la maison la saison prochaine.
LEVIER ÉCONOMIQUE MAJEUR
Nier l'évidence est aussi basculer par dessus bord le fait que la LHSBSL/G - comme tous les circuits senior A, AA, AAA et professionnel - constitue un levier sportif, culturel, touristique, et surtout ÉCONOMIQUE majeur dans chacune des municipalités où tente de grandir une équipe. Les éternels dénigreurs(euses) sont-ils au courant de ce qui se dépense pour chacune des parties de hockey senior - et ce, uniquement par les spectateurs, que ce soit à Forestville, Alma, La Pocatière, Montmagny, Sainte-Marie, Cap Chat, Chandler ou Matane ?
Un économiste nous indiquait que les dépenses moyennes d'un spectateur adulte, le soir d'un match est de 24,00 $ uniquement pour aller et revenir et assister au match. Ainsi :
· 9,00 $ pour l'entrée
· 9,00 $ pour deux (2) bières à 4,50 $ avec pourboire
· 3,50 $ pour le lunch pendant le match (poutine ou autre)
· 2,50 $ pour l'essence - spectateur local ou régional
Et si on y ajoute les dépenses avant (transport et souper) et après le match (transport, fête dans un bar local ou ailleurs, parfois même lunch et coucher), le chiffre peut varier de manière exponentielle.
C'est ainsi qu'on indique que la LHSBSL/G, pour une assistance générale de 100 000 personnes dans une saison, peut avoir généré des dépenses de 2,0 à 2,5 millions de dollars uniquement pour les dépenses générales aux rencontres.
Ces chiffres peuvent facilement atteindre les 3,5 millions $ en comptant aussi les dépenses ailleurs que dans l'aréna (stations service, location d'autobus, chambres d'hôtels, restaurants, bars, etc) et ce, sans compter ceux et celles qui en profitent pour faire du shopping dans les centres commerciaux ou magasins à grande surface qu'ils (elles) n'ont pas dans leurs localités.
Avec de tels chiffres - qui sont à peine le minimum des dépenses ou investissements découlant des activités d'un circuit senior comme la LHSBSL/G, comment ne pas comprendre que, à certains égards, nos circuits sont de réelles PME, dirigées par des bénévoles qui croient en ce sport, des investisseurs ayant foi en leur communauté, désireux de voir les choses bouger autour d'eux.
LA RÉFLEXION S'IMPOSE !
Il y a donc lieu, parfois, de s'arrêter et de se demander si l'attitude que nous avons - dirigeants de ligue, dirigeants des équipes, personnel d'encadrement des équipes, joueurs, amateurs et même commanditaires - à l'endroit de notre équipe, de notre ligue, est celle qui doit primer, prendre toute la place, sans égard aux CAPACITÉS DE PAYER des propriétaires, aux CAPACITÉS DE PAYER des amateurs, aux CAPACITÉ.S DE PAYER des commanditaires.
Il y a aussi lieu de s'interroger quant à savoir si notre attitude, en mettant de la pression sur les propriétaires, ne précipite justement pas ces proprios vers la faillite et nos équipes vers la fermeture. Croyons-nous que l'on a aidé Michel Gagné de Cap Chat, par exemple, en lui demandant d'avoir des Frankie Allen en uniforme, à des prix de fous, mais sans que cela se reflète dans les gradins ou dans la caisse à l'entrée ? Ce fut encore pire quand ledit joueur n'a pas - aux dires de certains - livré la 'marchandise'.
Au moment d'écrire ces lignes, la finale de la LNAH est 2-1 pour Québec et dans les deux derniers matchs, on n'a pas vu une seule bagarre et des scores de 3-1 à Thetford Mines contre 2-1 pour Québec à Québec en 4e période. Les gens vont retourner à ces parties ? Bien sûr, comme les ± 13 000 de samedi soir à Québec et les ± 3 000 à Thetford Mines vendredi. Pas de bagarre, mais du maudit beau hockey !!!
Pensez-vous que les incidents déplorables et condamnables du 6e match de la finale entre Louiseville et Cornwall - qui ont fait le tour de l'Amérique, vont attirer plus de monde la saison prochaine ? Pas une miette ! Il n'y a pas une ligue qui veuille de ça !
Il y a donc de la réflexion à faire dans tout ce qui touche de près et de loin le hockey senior A, AA, AAA et professionnel vers la prochaine saison, tant en réglementation, qu'en recrutement de joueurs, de dirigeants de ligue, de commanditaires, et de nouveaux marchés, sans oublier les investisseurs et personnel d'encadrement.
QUESTIONNEMENT POUR AJUSTEMENT
Et quand on dit réflexion et/ou questionnement, cela ne veut pas dire tout refaire le système. Dans la LHSBSL/G par exemple, le processus touchant la Constitution - mode d'opération d'entreprise - et touchant la Réglementation a pris beaucoup de temps et de place au fil des 10 premières années de sorte que ce circuit dispose des outils propres à son fonctionnement, outils qui méritent - annuellement - une révision et/ou ajustements mineurs, mais le temps de tout refaire, de tout réécrire est révolu. Les membres de la LHSBSL/G l'ont compris depuis deux ans. Il est certain qu'un circuit qui atteint les 10 ans, a pu passer de l'enfance à l'adolescence. D'où le fait que les changements sont peu nombreux annuellement.
Il faut aussi savoir résister à la tentation de tout refaire sur un coup de tête, ou sur un incident isolé. Tout comme il est utile de savoir se tenir loin de l'émotivité quand vient le temps de tenir des réunions et de prendre des décisions. Tout comme il faut savoir mieux encadrer et/ou supporter les dirigeants que l'on se donne.
QUESTION : comment comprendre qu'une ait dû changer de préfet de discipline 4 fois en deux ans et soit sur le point de changer encore, que quatre ligues senior sont dirigés par trois personnes chacune seulement, que 5 des 8 présidents de ligue songent à quitter, que les arbitres se retirent les uns après les autres, etc ? Se peut-il que la pression qui soit mise sur ces gens n'ait plus aucune commune mesure avec LE HOCKEY ? Avec UN JEU ?
Le pire : tous ces gens qui discutent, critiquent, accusent, diffament, se permettent même de dire qu'ils ont LA solution, mais ne VEULENT PAS prendre les postes. Jamais de la vie ! Des pleutres, qu'on appelle. Des loups ! En gang, ils se pensent forts, grognent et tentent de déchiqueter leurs proies, nonobstant les dommages collatéraux chez des personnes innocentes comme les familles de leurs 'victimes' notamment. Mais seuls, dans une discussion ouverte, terre à terre, ils détalent comme des lapins ! Car ils savent qu'ils ont tort ! Et leur couardise se reflète souvent dans leur perpétuel anonymat. Eux (elles) savent à qui ils (elles) s'adressent. Les interpellés n'ont pas chance égale dans leurs décisions de répondre ou non, ne sachant pas - pour la plupart du temps - à qui ils répondent. On appelle ça l'égalité des chances, l'équité, quoi !
Nous suggérons donc que, pour cette période dite estivale, tous les intervenants profitent de la pause dans l'action pour réfléchir au genre de hockey qu'ils veulent faire, ou suivre, ou encourager, ou financer, ou diriger. Une saine réflexion permettra peut-être - et c'est plus que souhaitable - que le hockey senior A, AA, AAA et professionnel se poursuive dans le RÉALISME ÉCONOMIQUE d'abord et avant tout.
Car sans cet ajustement de premier ordre et péremptoire, le hockey senior s'en va chez le diable ! Nos arénas seront vides. Nos joueurs n'auront plus de place à jouer. Une partie de notre économie hivernale sera paralysée. Des emplois saisonniers seront affectés. Nos amateurs trouveront le temps long.
Mais ce n'est pas ce que l'on se souhaite, pas vrai ??? Bonne réflexion !