Le nouveau défi du Canada
Hockey mercredi, 30 avr. 2008. 21:51 samedi, 14 déc. 2024. 06:49
HALIFAX - Le Canada va se frotter à un adversaire qu'il n'a jamais affronté auparavant au Championnat du monde.
Alors que Russes, Finlandais et Américains peuvent prétendre à la médaille d'or, le Canada devra relever le défi de jouer "à la maison". Il s'agit d'un désavantage puisque seulement une équipe hôtesse a atteint la finale en 21 ans, la Suède devant même se contenter d'une médaille d'argent en 1995.
L'an dernier, l'équipe canadienne s'est présentée à Moscou sans aucune attente. Les joueurs ont passé la première semaine dans un hôtel deux étoiles, sans parler des problèmes de communication et d'alimentation.
Cela a toutefois permis aux joueurs à mieux se connaître. Le résultat fut étonnant: un dossier parfait et une médaille d'or à la clef. Cette année, l'équipe devra trouver une autre source de motivation, le Canada accueillant l'événement pour la première fois de son histoire.
"Lorsque vous jouez dans un autre pays, c'est comme si c'était vous contre le reste du monde, fait valoir l'entraîneur Ken Hitchcock. Vous être toujours ensemble.
"A la maison, c'est différent, ajoute-t-il. Il y a la famille, les amis, les distractions, les médias. En fait, c'est tout ça et encore plus. Il devient alors difficile de focaliser sur les bonnes choses."
Les joueurs de l'équipe canadienne n'auront pas à s'aventurer bien loin à Halifax et à Québec avant d'être reconnus dans la rue. On les interpelle par leur prénom à l'hôtel et dans la ville.
Le Canada est représenté par des joueurs d'élite. La Russie également. C'est pourquoi les autres pays avancent que le Canada et la Russie sont les deux équipes à battre dans le tournoi.
"Le Canada et la Russie sont dans une classe à part, dit l'entraineur finlandais Doug Shedden. Ca ne fait aucun doute."
Le Canada affrontera la Slovénie vendredi au Metro Centre de Halifax. Les Canadiens seront ensuite opposés à la Lettonie, dimanche, et aux Etats-Unis, mardi.
Chaque pays devra disputer six matchs avant de jouer des rencontres sans lendemain dans les quarts-de-finale. La tournoi se déplacera ensuite à Québec pour la ronde des médailles.
Outre la Russie, le Canada devra se méfier de la Finlande, de la Suède, de la République tchèque et peut-être même des Etats-Unis.
Alors que Russes, Finlandais et Américains peuvent prétendre à la médaille d'or, le Canada devra relever le défi de jouer "à la maison". Il s'agit d'un désavantage puisque seulement une équipe hôtesse a atteint la finale en 21 ans, la Suède devant même se contenter d'une médaille d'argent en 1995.
L'an dernier, l'équipe canadienne s'est présentée à Moscou sans aucune attente. Les joueurs ont passé la première semaine dans un hôtel deux étoiles, sans parler des problèmes de communication et d'alimentation.
Cela a toutefois permis aux joueurs à mieux se connaître. Le résultat fut étonnant: un dossier parfait et une médaille d'or à la clef. Cette année, l'équipe devra trouver une autre source de motivation, le Canada accueillant l'événement pour la première fois de son histoire.
"Lorsque vous jouez dans un autre pays, c'est comme si c'était vous contre le reste du monde, fait valoir l'entraîneur Ken Hitchcock. Vous être toujours ensemble.
"A la maison, c'est différent, ajoute-t-il. Il y a la famille, les amis, les distractions, les médias. En fait, c'est tout ça et encore plus. Il devient alors difficile de focaliser sur les bonnes choses."
Les joueurs de l'équipe canadienne n'auront pas à s'aventurer bien loin à Halifax et à Québec avant d'être reconnus dans la rue. On les interpelle par leur prénom à l'hôtel et dans la ville.
Le Canada est représenté par des joueurs d'élite. La Russie également. C'est pourquoi les autres pays avancent que le Canada et la Russie sont les deux équipes à battre dans le tournoi.
"Le Canada et la Russie sont dans une classe à part, dit l'entraineur finlandais Doug Shedden. Ca ne fait aucun doute."
Le Canada affrontera la Slovénie vendredi au Metro Centre de Halifax. Les Canadiens seront ensuite opposés à la Lettonie, dimanche, et aux Etats-Unis, mardi.
Chaque pays devra disputer six matchs avant de jouer des rencontres sans lendemain dans les quarts-de-finale. La tournoi se déplacera ensuite à Québec pour la ronde des médailles.
Outre la Russie, le Canada devra se méfier de la Finlande, de la Suède, de la République tchèque et peut-être même des Etats-Unis.