Les Américains sont confiants
Hockey mercredi, 8 sept. 2004. 19:09 samedi, 14 déc. 2024. 16:38
ST.PAUL (PC) - Keith Tkachuk affirme ressentir les mêmes ondes que lorsque les États-Unis ont gagné la dernière Coupe du monde.
"Nous avons formé un tout au bon moment en 1996, a raconté mercredi le héros du match de la veille contre la Russie avec une performance de quatre buts et une passe. On peut constater la même chose actuellement."
Les États-Unis disputeront la demi-finale vendredi. Entre-temps, Ron Wilson a rencontré ses joueurs au Xcel Energy Center mercredi matin mais ceux-ci n'ont pas chaussé les patins.
Si elle veut aller plus loin dans le tournoi, l'équipe américaine aurait toutefois intérêt à obtenir de l'aide des autres trios que celui constitué de Tkachuk, Mike Modano et Bill Guerin, qui ont amassé 11 points contre la Russie.
U-Esche-A
Et le gardien Robert Esche devra continuer à être solide.
Les Américains prétendent avoir autant confiance en Esche qu'en Mike Richter il y a huit ans.
"Il joue à Philadelphie. La pression là-bas est incroyable - ils ont dû passer 70 gardiens en cinq ans - et il a abattu du travail formidable, a rappelé Tkachuk. Il a fait un grand bout de chemin depuis que je l'ai connu à Phoenix. Ricky nous a gagné le championnat en 1996 et on sait que Robert peut faire la même chose cette fois.
"Il est probablement le plus dur gardien avec lequel j'ai joué. Physiquement, il peut venir à bout de n'importe qui dans ce vestiaire."
Ou doutait pourtant de la solidité de l'équipe américaine devant le filet avant le début du tournoi, les autres gardiens étant le jeune Rick DiPietro et Ty Conklin.
"On a posé des questions uniquement parce qu'on ne l'avait pas vu à ce niveau auparavant, mais pour nous il n'y avait aucun doute", a prétendu Guerin.
Esche, que ses coéquipiers s'amusent à appeler U-Esche-A, affirme bénéficier de jouer avec les Flyers.
"Ils veulent absolument gagner et j'ai la personnalité pour ça. On s'habitue à la pression là-bas et ça m'a vraiment aidé."
Doug Weight, toujours en quête d'un premier but, a reconnu que les Américains ont mal joué en début de tournoi.
"Mais lors des deux derniers matchs, a-t-il ajouté, notre trio numéro un avec Billy, Walt (le surnom de Tkachuk qui rappelle un ancien joueur du même nom) et Mo ont fourni l'attaque, et les autres ont essayé de tenir le fort défensivement.
"Mais les autres attaquants veulent en faire plus. Je dois contribuer offensivement si nous voulons être fructueux. Keith nous a transportés, mais il nous faudra d'autres marqueurs."
"Nous avons formé un tout au bon moment en 1996, a raconté mercredi le héros du match de la veille contre la Russie avec une performance de quatre buts et une passe. On peut constater la même chose actuellement."
Les États-Unis disputeront la demi-finale vendredi. Entre-temps, Ron Wilson a rencontré ses joueurs au Xcel Energy Center mercredi matin mais ceux-ci n'ont pas chaussé les patins.
Si elle veut aller plus loin dans le tournoi, l'équipe américaine aurait toutefois intérêt à obtenir de l'aide des autres trios que celui constitué de Tkachuk, Mike Modano et Bill Guerin, qui ont amassé 11 points contre la Russie.
U-Esche-A
Et le gardien Robert Esche devra continuer à être solide.
Les Américains prétendent avoir autant confiance en Esche qu'en Mike Richter il y a huit ans.
"Il joue à Philadelphie. La pression là-bas est incroyable - ils ont dû passer 70 gardiens en cinq ans - et il a abattu du travail formidable, a rappelé Tkachuk. Il a fait un grand bout de chemin depuis que je l'ai connu à Phoenix. Ricky nous a gagné le championnat en 1996 et on sait que Robert peut faire la même chose cette fois.
"Il est probablement le plus dur gardien avec lequel j'ai joué. Physiquement, il peut venir à bout de n'importe qui dans ce vestiaire."
Ou doutait pourtant de la solidité de l'équipe américaine devant le filet avant le début du tournoi, les autres gardiens étant le jeune Rick DiPietro et Ty Conklin.
"On a posé des questions uniquement parce qu'on ne l'avait pas vu à ce niveau auparavant, mais pour nous il n'y avait aucun doute", a prétendu Guerin.
Esche, que ses coéquipiers s'amusent à appeler U-Esche-A, affirme bénéficier de jouer avec les Flyers.
"Ils veulent absolument gagner et j'ai la personnalité pour ça. On s'habitue à la pression là-bas et ça m'a vraiment aidé."
Doug Weight, toujours en quête d'un premier but, a reconnu que les Américains ont mal joué en début de tournoi.
"Mais lors des deux derniers matchs, a-t-il ajouté, notre trio numéro un avec Billy, Walt (le surnom de Tkachuk qui rappelle un ancien joueur du même nom) et Mo ont fourni l'attaque, et les autres ont essayé de tenir le fort défensivement.
"Mais les autres attaquants veulent en faire plus. Je dois contribuer offensivement si nous voulons être fructueux. Keith nous a transportés, mais il nous faudra d'autres marqueurs."