Les Flyers sans pression
Hockey jeudi, 24 avr. 2008. 12:32 jeudi, 12 déc. 2024. 12:32
Le Canadien a battu les Flyers quatre fois en saison régulière, dont deux fois de suite lors d'une série de dix revers en février, mais selon le Philadelphia Inquirer, ce serait une erreur pour le Tricolore d'analyser les vidéos de ces matchs parce que les Flyers ne sont plus la même équipe.
Le quotidien suggère même à l'entraîneur John Stevens de courir le risque d'y aller avec des forces fraîches lors du premier match en laissant de côté le vétéran capitaine Jason Smith et même Derian Hatcher, deux joueurs très physiques. On suggère d'utiliser Ryan Parent et Jaroslav Modry notamment. Même Riley Cote et Steve Downie pourraient être en uniforme contre le Canadien. Au mieux, ces changements apporteraient une énergie nouvelle à l'équipe, qui vient de terminer une éreintante série contre Washington. Au pire, les Flyers vont revenir plus fort lors du deuxième match.
Le Philadelphia Inquirer explique à ses lecteurs que les Flyers, après avoir disputé une série dans une ville où le hockey est une diversion, doivent maintenant disputer une série là où le hockey est une religion et où les gens vibrent au rythme des résultats de l'équipe au point de déclencher des émeutes dans les rues, comme ça été le cas lundi à l'issue de la victoire dans le septième match contre Boston.
Comme les gens de Montréal, on se demande aussi à Philadelphie quelle sera la réaction des amateurs si le Canadien gagne la coupe Stanley, si une simple victoire en huitième de finale déclenche un tel grabuge.
À Philadelphie, la victoire des Flyers en sept parties sur les Capitals est bienvenue dans la ville de l'amour fraternelle où aucune équipe majeure ne s'est rendue aussi loin en séries, depuis la victoire des Eagles au football, il y a 15 mois aux dépens des Giants de New York.
On croit aussi à Philadelphie que Daniel Brière entendra des huées au Centre Bell, lui qui a commis le crime de décliner une offre du Canadien pour jouer avec les Flyers, l'été dernier. Selon le journal, le refus d'un Québécois de jouer pour l'équipe locale est l'équivalent d'une haute trahison et presque aussi grave qu'une accusation pour meurtre.
Le Philadelphia Inquirer croit que les Flyers seront détendus et qu'ils n'auront aucune pression.
Le quotidien suggère même à l'entraîneur John Stevens de courir le risque d'y aller avec des forces fraîches lors du premier match en laissant de côté le vétéran capitaine Jason Smith et même Derian Hatcher, deux joueurs très physiques. On suggère d'utiliser Ryan Parent et Jaroslav Modry notamment. Même Riley Cote et Steve Downie pourraient être en uniforme contre le Canadien. Au mieux, ces changements apporteraient une énergie nouvelle à l'équipe, qui vient de terminer une éreintante série contre Washington. Au pire, les Flyers vont revenir plus fort lors du deuxième match.
Le Philadelphia Inquirer explique à ses lecteurs que les Flyers, après avoir disputé une série dans une ville où le hockey est une diversion, doivent maintenant disputer une série là où le hockey est une religion et où les gens vibrent au rythme des résultats de l'équipe au point de déclencher des émeutes dans les rues, comme ça été le cas lundi à l'issue de la victoire dans le septième match contre Boston.
Comme les gens de Montréal, on se demande aussi à Philadelphie quelle sera la réaction des amateurs si le Canadien gagne la coupe Stanley, si une simple victoire en huitième de finale déclenche un tel grabuge.
À Philadelphie, la victoire des Flyers en sept parties sur les Capitals est bienvenue dans la ville de l'amour fraternelle où aucune équipe majeure ne s'est rendue aussi loin en séries, depuis la victoire des Eagles au football, il y a 15 mois aux dépens des Giants de New York.
On croit aussi à Philadelphie que Daniel Brière entendra des huées au Centre Bell, lui qui a commis le crime de décliner une offre du Canadien pour jouer avec les Flyers, l'été dernier. Selon le journal, le refus d'un Québécois de jouer pour l'équipe locale est l'équivalent d'une haute trahison et presque aussi grave qu'une accusation pour meurtre.
Le Philadelphia Inquirer croit que les Flyers seront détendus et qu'ils n'auront aucune pression.