Les joueurs crient à la malchance
Hockey mardi, 8 nov. 2011. 23:21 mercredi, 11 déc. 2024. 15:36
MONTRÉAL - Les bonds favorables. Ah, ces fameux bonds favorables. Ils n'ont pas favorisé le Canadien, mardi. Les Oilers n'ont eu besoin que de 14 lancers pour l'emporter, et Carey Price était plutôt de mauvais poil après le match.
Le jeune gardien, ses coéquipiers qui se sont présentés devant la presse et l'entraîneur Jacques Martin avaient tous le sentiment qu'on aurait mérité de l'emporter.
L'équipe a joué de malchance à quelques reprises, particulièrement Michael Cammalleri qui a frappé deux poteaux. L'entraîneur Martin l'a relevé, en ajoutant que sur la séquence du but gagnant du défenseur Tom Gilbert la rondelle avait été déviée par Josh Gorges tout près de Price.
Mais le facteur chance fait partie du jeu. Le Tricolore en a eu dernièrement lors de sa séquence de succès, et il ne s'en est pas plaint.
Les Oilers n'ont peut-être pas livré leur meilleure performance de la saison. Même s'ils n'ont guère été menaçants à l'attaque, ils ont embêté le CH pendant de longs moments avec leur rapidité et leur échec-avant incisif.
«Je n'ai pas été surpris, a commenté Martin, en parlant du style de jeu pro-actif des Oilers. J'avais visionné leurs deux derniers matchs. C'est une équipe qui fait de bonnes choses, qui a beaucoup de vitesse et de talent.
«Malgré cela, on les a dominés au chapitre des lancers (29-14) et des chances de marquer (17-10).»
Les Oilers ont également été très combatifs en infériorité numérique, ne permettant pas à leurs rivaux de s'organiser dans leur zone.
«Plusieurs équipes exercent de la pression en infériorité, comme ils l'ont fait, a souligné Martin. On réalise que si on donne du temps et de l'espace à des joueurs talentueux, ils peuvent vous faire mal.»
Le capitaine Brian Gionta a d'ailleurs observé que ses coéquipiers et lui ont perdu beaucoup de temps à tenter de lancer des attaques, à partir de leur territoire.
«Nous avons passé la soirée à courir après la rondelle et à tenter d'orchestrer des contre-attaques, a-t-il analysé. Nous n'avons jamais réellement pu nous installer dans le territoire des Oilers.»
Même que Tomas Plekanec a provoqué un revirement coûteux qui a pavé la voie au but de Ryan Jones, en infériorité.
Martin n'a pas envisagé par la suite de ne plus utiliser le joueur de centre comme défenseur en supériorité.
«Il est actuellement un de nos meilleurs quarts-arrières sur le jeu de puissance. Nous n'avons pas beaucoup d'éléments qui peuvent s'acquitter de la tâche de distribuer la rondelle. Tomas est capable de faire des jeux», a expliqué Martin.
Le jeune gardien, ses coéquipiers qui se sont présentés devant la presse et l'entraîneur Jacques Martin avaient tous le sentiment qu'on aurait mérité de l'emporter.
L'équipe a joué de malchance à quelques reprises, particulièrement Michael Cammalleri qui a frappé deux poteaux. L'entraîneur Martin l'a relevé, en ajoutant que sur la séquence du but gagnant du défenseur Tom Gilbert la rondelle avait été déviée par Josh Gorges tout près de Price.
Mais le facteur chance fait partie du jeu. Le Tricolore en a eu dernièrement lors de sa séquence de succès, et il ne s'en est pas plaint.
Les Oilers n'ont peut-être pas livré leur meilleure performance de la saison. Même s'ils n'ont guère été menaçants à l'attaque, ils ont embêté le CH pendant de longs moments avec leur rapidité et leur échec-avant incisif.
«Je n'ai pas été surpris, a commenté Martin, en parlant du style de jeu pro-actif des Oilers. J'avais visionné leurs deux derniers matchs. C'est une équipe qui fait de bonnes choses, qui a beaucoup de vitesse et de talent.
«Malgré cela, on les a dominés au chapitre des lancers (29-14) et des chances de marquer (17-10).»
Les Oilers ont également été très combatifs en infériorité numérique, ne permettant pas à leurs rivaux de s'organiser dans leur zone.
«Plusieurs équipes exercent de la pression en infériorité, comme ils l'ont fait, a souligné Martin. On réalise que si on donne du temps et de l'espace à des joueurs talentueux, ils peuvent vous faire mal.»
Le capitaine Brian Gionta a d'ailleurs observé que ses coéquipiers et lui ont perdu beaucoup de temps à tenter de lancer des attaques, à partir de leur territoire.
«Nous avons passé la soirée à courir après la rondelle et à tenter d'orchestrer des contre-attaques, a-t-il analysé. Nous n'avons jamais réellement pu nous installer dans le territoire des Oilers.»
Même que Tomas Plekanec a provoqué un revirement coûteux qui a pavé la voie au but de Ryan Jones, en infériorité.
Martin n'a pas envisagé par la suite de ne plus utiliser le joueur de centre comme défenseur en supériorité.
«Il est actuellement un de nos meilleurs quarts-arrières sur le jeu de puissance. Nous n'avons pas beaucoup d'éléments qui peuvent s'acquitter de la tâche de distribuer la rondelle. Tomas est capable de faire des jeux», a expliqué Martin.