Les Olympiques, maîtres à la maison en séries
Hockey jeudi, 31 mars 2005. 16:52 samedi, 14 déc. 2024. 14:23
(RDS) - Il est souvent question de l'importance de l'avantage de la patinoire en séries éliminatoires. Au cours des dernières années, les Olympiques de Hull/Gatineau ont démontré que des victoires répétées à domicile pouvaient mener une équipe loin en séries éliminatoires.
Les performances des Olympiques de Hull/Gatineau en séries éliminatoires sont éloquentes depuis huit ans. Les Olympiques ont remporté une coupe Memorial, trois coupes du Président et ont participé à deux finales.
Si l'on se penche de plus près sur les raisons qui expliquent de tels exploits, on constate que les succès des Olympiques sur leur patinoire sont en partie responsables de leur parcours victorieux.
Entre le 1er avril 1997 et le 5 mai 1999, la formation de l'Outaouais a signé un impressionnant total de 22 gains consécutifs à domicile.
La séquence victorieuse des Olympiques à l'aréna Robert-Guertin a pris fin le 6 avril 2000 contre les Huskies de Rouyn-Noranda. À la suite de cette défaite, les Olympiques n'ont pas été en mesure d'enregistrer autant de victoires sur leur patinoire comme ils l'avaient fait par le passé en séries éliminatoires.
Entre le printemps 2000 et celui de 2002, ils ont obtenu neuf victoires, mais ont dû s'avouer vaincu à sept occasions, ce qui ne les a pas empêchés de participer à une finale de la coupe du Président.
Les Olympiques ont vite retrouvé leur rythme de croisière en 2003 et en 2004. Sous la gouverne de Benoît Groulx, ils sont redevenus presque imbattables à l'aréna Robert-Guertin, ne laissant que des miettes à leurs rivaux.
En 18 matchs éliminatoires sur leur patinoire en 2003 et en 2004, les Olympiques montre un dossier de 15-3.
Si l'on inclut les deux victoires cette année face aux Screaming Eagles du Cap Breton, les Olympiques présentent une fiche de 48 gains et 11 défaites depuis le mois d'avril 1997.
Vendredi pour le cinquième match de la série face aux Olympiques, les Screaming Eagles seront de retour à l'aréna Robert-Guertin qui est devenu un véritable cimetière pour les équipes adverses.
Depuis 1997, les Olympiques ont mis fin à 12 séries sur leur propre patinoire. Parions que les Screaming Eagles ne veulent pas y penser.
Les performances des Olympiques de Hull/Gatineau en séries éliminatoires sont éloquentes depuis huit ans. Les Olympiques ont remporté une coupe Memorial, trois coupes du Président et ont participé à deux finales.
Si l'on se penche de plus près sur les raisons qui expliquent de tels exploits, on constate que les succès des Olympiques sur leur patinoire sont en partie responsables de leur parcours victorieux.
Entre le 1er avril 1997 et le 5 mai 1999, la formation de l'Outaouais a signé un impressionnant total de 22 gains consécutifs à domicile.
La séquence victorieuse des Olympiques à l'aréna Robert-Guertin a pris fin le 6 avril 2000 contre les Huskies de Rouyn-Noranda. À la suite de cette défaite, les Olympiques n'ont pas été en mesure d'enregistrer autant de victoires sur leur patinoire comme ils l'avaient fait par le passé en séries éliminatoires.
Entre le printemps 2000 et celui de 2002, ils ont obtenu neuf victoires, mais ont dû s'avouer vaincu à sept occasions, ce qui ne les a pas empêchés de participer à une finale de la coupe du Président.
Les Olympiques ont vite retrouvé leur rythme de croisière en 2003 et en 2004. Sous la gouverne de Benoît Groulx, ils sont redevenus presque imbattables à l'aréna Robert-Guertin, ne laissant que des miettes à leurs rivaux.
En 18 matchs éliminatoires sur leur patinoire en 2003 et en 2004, les Olympiques montre un dossier de 15-3.
Si l'on inclut les deux victoires cette année face aux Screaming Eagles du Cap Breton, les Olympiques présentent une fiche de 48 gains et 11 défaites depuis le mois d'avril 1997.
Vendredi pour le cinquième match de la série face aux Olympiques, les Screaming Eagles seront de retour à l'aréna Robert-Guertin qui est devenu un véritable cimetière pour les équipes adverses.
Depuis 1997, les Olympiques ont mis fin à 12 séries sur leur propre patinoire. Parions que les Screaming Eagles ne veulent pas y penser.