Mario Durocher est heureux de son sort
Hockey jeudi, 30 mars 2006. 18:41 jeudi, 12 déc. 2024. 22:44
(RDS) - Congédié par le Titan d'Acadie-Bathurst le 12 février dernier, l'entraîneur-chef Mario Durocher n'est pas demeuré en chômage très longtemps. À peine deux semaines plus tard, Durocher se joignait au personnel des Olympiques de Gatineau, d'abord comme recruteur et depuis le début des présentes séries comme entraîneur-adjoint.
C'est le cas de le dire, les Olympiques misent sur des hommes d'expérience derrière leur banc depuis le début de leur série face aux Voltigeurs de Drummondville. Benoit Groulx a conduit les Olympiques aux conquêtes de 2003 et 2004 de la Coupe du Président comme entraîneur-chef alors que son nouvel adjoint Mario Durocher l'avait fait avec les Tigres de Victoriaville l'année précédente en 2002.
Lorsque Durocher s'est fait indiquer la porte de sortie par le Titan le mois dernier, Groulx et les Olympiques n'ont pas hésité à entrer en contact avec lui. "On sent que c'est un très bon entraîneur, a déclaré Groulx. On a eu l'occasion de s'affronter dans les séries éliminatoires et c'est souvent là que le respect entre les entraîneurs se développe. On sentait qu'il avait beaucoup d'expérience à apporter à notre équipe qui est jeune cette année."
"Je pense qu'une bonne chimie s'est bâtie avec les joueurs, avoue Durocher. C'est un peu pour ça que je me retrouve derrière le banc en ce moment. Je suis ici pour aider, autant les joueurs que les entraîneurs. On travaille en équipe."
"On a beaucoup de respect pour eux et ça nous amène à nous dépasser et d'être plus éveillé, a déclaré le directeur général et entraîneur des Voltigeurs de Drummondville Dominic Ricard. Tactiquement, ils font les ajustements nécessaires très rapidement et c'est un défi pour nous."
Il y a très longtemps que Durocher n'avait pas occupé un poste d'adjoint dans le circuit Courteau, lui qui avait fait ses débuts dans ce rôle en 1992 chez les défunts Faucons de Sherbrooke. Le rôle d'adjoint est différent mais Durocher s'y est très bien adapté.
"J'aime être dans une chambre de hockey alors pour moi être entraîneur adjoint ou en chef est un rôle différent tout simplement, je dois simplement enlever un chapeau pour en mettre un autre. Les Olympiques de Gatineau sont une grosse organisation et je suis honoré de travailler avec eux."
"Je pense qu'en homme intelligent qu'il est, il connaît sa place dans notre trio et je pense que tout va très bien, a expliqué Groulx. La première chose qu'un entraîneur veut, c'est d'avoir de bonnes personnes autour de lui, on en a toujours eu à Gatineau et avec Mario Durocher, ça ne fait pas exception."
Maintenant que Durocher a joint les Olympiques, il comprend un peu mieux le succès que connaît cette organisation années après années. "C'est une organisation de classe qui respecte ses joueurs. Tout est fait avec beaucoup de classe et c'est tout à leur honneur. Il y a des choses que j'ai apprises et je le partage avec les autres. C'est un échange qu'on fait, on veut travailler ensemble, on parle de hockey 24 heures sur 24 et on aime ça."
Avec Mario Richer, l'autre adjoint des Olympiques, et Benoit Groulx, Mario Durocher complète un trio qui est synonyme de victoires en séries. Qui sait ce que les Olympiques seront encore capables d'accomplir ce printemps ?
C'est le cas de le dire, les Olympiques misent sur des hommes d'expérience derrière leur banc depuis le début de leur série face aux Voltigeurs de Drummondville. Benoit Groulx a conduit les Olympiques aux conquêtes de 2003 et 2004 de la Coupe du Président comme entraîneur-chef alors que son nouvel adjoint Mario Durocher l'avait fait avec les Tigres de Victoriaville l'année précédente en 2002.
Lorsque Durocher s'est fait indiquer la porte de sortie par le Titan le mois dernier, Groulx et les Olympiques n'ont pas hésité à entrer en contact avec lui. "On sent que c'est un très bon entraîneur, a déclaré Groulx. On a eu l'occasion de s'affronter dans les séries éliminatoires et c'est souvent là que le respect entre les entraîneurs se développe. On sentait qu'il avait beaucoup d'expérience à apporter à notre équipe qui est jeune cette année."
"Je pense qu'une bonne chimie s'est bâtie avec les joueurs, avoue Durocher. C'est un peu pour ça que je me retrouve derrière le banc en ce moment. Je suis ici pour aider, autant les joueurs que les entraîneurs. On travaille en équipe."
"On a beaucoup de respect pour eux et ça nous amène à nous dépasser et d'être plus éveillé, a déclaré le directeur général et entraîneur des Voltigeurs de Drummondville Dominic Ricard. Tactiquement, ils font les ajustements nécessaires très rapidement et c'est un défi pour nous."
Il y a très longtemps que Durocher n'avait pas occupé un poste d'adjoint dans le circuit Courteau, lui qui avait fait ses débuts dans ce rôle en 1992 chez les défunts Faucons de Sherbrooke. Le rôle d'adjoint est différent mais Durocher s'y est très bien adapté.
"J'aime être dans une chambre de hockey alors pour moi être entraîneur adjoint ou en chef est un rôle différent tout simplement, je dois simplement enlever un chapeau pour en mettre un autre. Les Olympiques de Gatineau sont une grosse organisation et je suis honoré de travailler avec eux."
"Je pense qu'en homme intelligent qu'il est, il connaît sa place dans notre trio et je pense que tout va très bien, a expliqué Groulx. La première chose qu'un entraîneur veut, c'est d'avoir de bonnes personnes autour de lui, on en a toujours eu à Gatineau et avec Mario Durocher, ça ne fait pas exception."
Maintenant que Durocher a joint les Olympiques, il comprend un peu mieux le succès que connaît cette organisation années après années. "C'est une organisation de classe qui respecte ses joueurs. Tout est fait avec beaucoup de classe et c'est tout à leur honneur. Il y a des choses que j'ai apprises et je le partage avec les autres. C'est un échange qu'on fait, on veut travailler ensemble, on parle de hockey 24 heures sur 24 et on aime ça."
Avec Mario Richer, l'autre adjoint des Olympiques, et Benoit Groulx, Mario Durocher complète un trio qui est synonyme de victoires en séries. Qui sait ce que les Olympiques seront encore capables d'accomplir ce printemps ?