Lindros doit prouver aux équipes qu'il peut rester en santé
Hockey mardi, 28 nov. 2000. 20:05 samedi, 14 déc. 2024. 05:51
La saga Eric Lindros se poursuit et d'autres chapitres seront sans doute écrits. Il y a des équipes qui seront intéresséesà ses services, pour un contrat d'un an toutefois, pas pour plus longtemps. Le prix à payer en retour de Lindros est très élevé. Il ne faut pas oublier que ses droits appartiennent toujours aux Flyers de Philadelphie.
Bobby Clarke lui a dit qu'il souhaitait son retour avec les Flyers, évidemment, c'est une stratégie dans toute cette affaire. Lindros, s'il veut continuer à jouer au hockey, devra en principe le faire dans l'uniforme des Flyers. Je ne crois pas qu'une équipe va offrir mer et monde à un joueur qui n'a pas eu de camp d'entraînement. Un joueur que l'on sait aussi fragile. Il peut se blesser uniquement lors d'une séance d'entraînement et il peut être absent très longtemps. Même sa carrière pourrait se terminer sur le champ.
Il semble que quelques équipes soient intéressées. On parle des Maple Leafs de Toronto, des Rangers de New York et des Kings de Los Angeles. En santé, il peut encore aider une équipe mais il constitue un gros risque. S'il devait se blesser encore sérieusement, il aurait coûté cher à sa nouvelle équipe qui devra donner beaucoup en retour.
Une équipe comme Dallas pourrait être intéressée. Je ne vois pas une seule formation donner un contrat de plus d'un an. A moins qu'il revienne au jeu et qu'il prouve qu'il peut encore jouer dans cette ligue. Si au mois de mars, il est toujours en santé, il pourrait peut-être espérer un plus long contrat. Les Flyers ont donné beaucoup pour Eric Lindros, entre autre Peter Forsberg. Il n'est pas question de laisser partir Lindros sans exiger beaucoup en retour.
Eric Lindros ne contrôle pas son avenir comme il peut le penser ou comme c'était le cas par le passé. Il a dit qu'il ne voulait plus jouer pour les Flyers et de son côté, Bobby Clarke a déclaré qu'il souhaitait le voir de retour avec l'équipe. Lindros veut dicter la ligne de conduite à la direction de son équipe en disant qu'il ne voulait jouer qu'avec les Maple Leafs de Toronto. Cette fois-ci, c'est Bobby Clarke qui aura le dernier mot. Il n'y aucune équipe qui va lui donner un contrat de trois ans. A ce niveau, il serait surprenant que les Flyers égalent une telle offre.
Depuis quelques semaines, les Flyers jouent biens. Il est évident que personne ne veut voir Lindros avec les Flyers. De son côté, Clarke veut tirer le maximum de la situation. Il veut des joueurs et des choix au repêchage. Que pourrait offrir Toronto pour Lindros? Les Leafs vont chercher environ 100 points par saison. Dans ce dossier, les parties vont devoir arrêter de se parler par le biais des médias et trouver un terrain d'entente. Il faudrait que Lindros retourne avec les Flyers pour disputer quelques matchs pour démontrer aux équipes qu'il est en mesure de jouer à nouveau dans la ligue nationale. Il faut se rappeler qu'il avait été sonné par une mise en échec de Scott Stevens des Devils en mai dernier. Beaucoup d'équipes se demandent si Lindros est toujours en mesure d'écoper des coups. On sait qu'une seule mise en échec peut mettre un terme à sa carrière. Comme Lindros aime le jeux rude et physique, il est évidemment qu'il sera frappé à nouveau.
Ce sont les Flyers qui contrôlent la situation. L'équipe va bien. Simon Gagné fait très bien tout comme Justin Williams. L'équipe ne panique pas et elle sera patiente dans ce dossier.
Les équipes qui pourraient aligner Eric Lindros savent qu'elles ont des chances de gagner la Coupe Stanley. Eric et sa famille ont toujours mené la vie dure aux différentes organisations. Déjà chez les juniors, il refusait de se rapporter aux Greyhounds de Sault St-Marie. La famille Lindros a toujour tout voulu contrôler. La famille n'a pas changé d'attitude du niveau junior aux professionnels. Lindros a fait le coup aux Nordiques de Québec puis maintenant aux Flyers et là, Lindros veut jouer avec les Maple Leafs.
C'est sa façon de fonctionner et de travailler. La famille veut prendre toutes les décisions. Une chose par contre à la faveur de Lindros, quand il joue, il se présente à tous les matchs. On constate son désir de gagner à tous les matchs.
Si j'étais dans les souliers de Pat Quinn à Toronto, je ne sentirais pas de pression. Il me ferait plaisir de savoir qu'il veut jouer avec nous. De ce fait, il reconnaît que nous formons une bonne équipe. Il ne faut pas oublier qu'il vient de la région de Toronto. Toutefois, je risque d'hypothéquer mon équipe dans l'avenir. En santé, Eric Lindros a au moins cinq bonnes saisons devant lui mais si le malheur le frappe encore, je viens de nuire aux chances de mon équipe. Si j'étais Pat Quinn, je ne serai pas prêt à faire une telle transaction à ce prix.
Sa santé
Eric Lindros veut encore jouer au hockey et il a une assurance personnelle de $20 millions. Donc ce n'est pas une question d'argent. Il n'a que 27 ans et il veut jouer à nouveau et il sait qu'il peut aider une équipe. Au football, Steve Young des 49ers a annoncé sa retraite, il avait été victime de commotion cérébrale. Troy Aikman des Cowboys de Dallas a subi des commotions cérébrales et il pourrait se retirer. Lindros constitue un gros point d'interrogation. Une seule mise en échec solide et une sa carrière pourrait être terminée.
Le médecin l'a conseillé et lui a dit qu'il pouvait revenir au jeu même si on connaît ses antécédents médicaux. Il ne faut pas oublier que cette fois, il a profité d'une longue période de repos contrairement aux autres commotions. Il a profité de tout l'été pour se remettre. Les médecins lui ont fait subir plusieurs tests et doivent être convaincus s'ils lui ont donné le feu vert pour un retour.
Effet Lindros
L'effet Lindros a été négatif sur les villes dans lesquelles il ne voulait pas jouer. Une chose que l'on ne peut lui enlever, c'est son désir de vaincre. C'est un bon joueur. Il ne faut oublier qu'il a été le joueur qui a atteint le plateau des 600 points le plus rapidement dans l'histoire de la LNH. A tous les matchs, il s'est présenté pour jouer même ayant été victime de plusieurs commotions cérébrales, il n'a pas changé de style.
Au niveau de ses décisions, il a irrité les villes de Québec, Sault St-Marie et maintenant la ville de Philadelphie. C'est la façon de faire de sa famille.
Bobby Clarke lui a dit qu'il souhaitait son retour avec les Flyers, évidemment, c'est une stratégie dans toute cette affaire. Lindros, s'il veut continuer à jouer au hockey, devra en principe le faire dans l'uniforme des Flyers. Je ne crois pas qu'une équipe va offrir mer et monde à un joueur qui n'a pas eu de camp d'entraînement. Un joueur que l'on sait aussi fragile. Il peut se blesser uniquement lors d'une séance d'entraînement et il peut être absent très longtemps. Même sa carrière pourrait se terminer sur le champ.
Il semble que quelques équipes soient intéressées. On parle des Maple Leafs de Toronto, des Rangers de New York et des Kings de Los Angeles. En santé, il peut encore aider une équipe mais il constitue un gros risque. S'il devait se blesser encore sérieusement, il aurait coûté cher à sa nouvelle équipe qui devra donner beaucoup en retour.
Une équipe comme Dallas pourrait être intéressée. Je ne vois pas une seule formation donner un contrat de plus d'un an. A moins qu'il revienne au jeu et qu'il prouve qu'il peut encore jouer dans cette ligue. Si au mois de mars, il est toujours en santé, il pourrait peut-être espérer un plus long contrat. Les Flyers ont donné beaucoup pour Eric Lindros, entre autre Peter Forsberg. Il n'est pas question de laisser partir Lindros sans exiger beaucoup en retour.
Eric Lindros ne contrôle pas son avenir comme il peut le penser ou comme c'était le cas par le passé. Il a dit qu'il ne voulait plus jouer pour les Flyers et de son côté, Bobby Clarke a déclaré qu'il souhaitait le voir de retour avec l'équipe. Lindros veut dicter la ligne de conduite à la direction de son équipe en disant qu'il ne voulait jouer qu'avec les Maple Leafs de Toronto. Cette fois-ci, c'est Bobby Clarke qui aura le dernier mot. Il n'y aucune équipe qui va lui donner un contrat de trois ans. A ce niveau, il serait surprenant que les Flyers égalent une telle offre.
Depuis quelques semaines, les Flyers jouent biens. Il est évident que personne ne veut voir Lindros avec les Flyers. De son côté, Clarke veut tirer le maximum de la situation. Il veut des joueurs et des choix au repêchage. Que pourrait offrir Toronto pour Lindros? Les Leafs vont chercher environ 100 points par saison. Dans ce dossier, les parties vont devoir arrêter de se parler par le biais des médias et trouver un terrain d'entente. Il faudrait que Lindros retourne avec les Flyers pour disputer quelques matchs pour démontrer aux équipes qu'il est en mesure de jouer à nouveau dans la ligue nationale. Il faut se rappeler qu'il avait été sonné par une mise en échec de Scott Stevens des Devils en mai dernier. Beaucoup d'équipes se demandent si Lindros est toujours en mesure d'écoper des coups. On sait qu'une seule mise en échec peut mettre un terme à sa carrière. Comme Lindros aime le jeux rude et physique, il est évidemment qu'il sera frappé à nouveau.
Ce sont les Flyers qui contrôlent la situation. L'équipe va bien. Simon Gagné fait très bien tout comme Justin Williams. L'équipe ne panique pas et elle sera patiente dans ce dossier.
Les équipes qui pourraient aligner Eric Lindros savent qu'elles ont des chances de gagner la Coupe Stanley. Eric et sa famille ont toujours mené la vie dure aux différentes organisations. Déjà chez les juniors, il refusait de se rapporter aux Greyhounds de Sault St-Marie. La famille Lindros a toujour tout voulu contrôler. La famille n'a pas changé d'attitude du niveau junior aux professionnels. Lindros a fait le coup aux Nordiques de Québec puis maintenant aux Flyers et là, Lindros veut jouer avec les Maple Leafs.
C'est sa façon de fonctionner et de travailler. La famille veut prendre toutes les décisions. Une chose par contre à la faveur de Lindros, quand il joue, il se présente à tous les matchs. On constate son désir de gagner à tous les matchs.
Si j'étais dans les souliers de Pat Quinn à Toronto, je ne sentirais pas de pression. Il me ferait plaisir de savoir qu'il veut jouer avec nous. De ce fait, il reconnaît que nous formons une bonne équipe. Il ne faut pas oublier qu'il vient de la région de Toronto. Toutefois, je risque d'hypothéquer mon équipe dans l'avenir. En santé, Eric Lindros a au moins cinq bonnes saisons devant lui mais si le malheur le frappe encore, je viens de nuire aux chances de mon équipe. Si j'étais Pat Quinn, je ne serai pas prêt à faire une telle transaction à ce prix.
Sa santé
Eric Lindros veut encore jouer au hockey et il a une assurance personnelle de $20 millions. Donc ce n'est pas une question d'argent. Il n'a que 27 ans et il veut jouer à nouveau et il sait qu'il peut aider une équipe. Au football, Steve Young des 49ers a annoncé sa retraite, il avait été victime de commotion cérébrale. Troy Aikman des Cowboys de Dallas a subi des commotions cérébrales et il pourrait se retirer. Lindros constitue un gros point d'interrogation. Une seule mise en échec solide et une sa carrière pourrait être terminée.
Le médecin l'a conseillé et lui a dit qu'il pouvait revenir au jeu même si on connaît ses antécédents médicaux. Il ne faut pas oublier que cette fois, il a profité d'une longue période de repos contrairement aux autres commotions. Il a profité de tout l'été pour se remettre. Les médecins lui ont fait subir plusieurs tests et doivent être convaincus s'ils lui ont donné le feu vert pour un retour.
Effet Lindros
L'effet Lindros a été négatif sur les villes dans lesquelles il ne voulait pas jouer. Une chose que l'on ne peut lui enlever, c'est son désir de vaincre. C'est un bon joueur. Il ne faut oublier qu'il a été le joueur qui a atteint le plateau des 600 points le plus rapidement dans l'histoire de la LNH. A tous les matchs, il s'est présenté pour jouer même ayant été victime de plusieurs commotions cérébrales, il n'a pas changé de style.
Au niveau de ses décisions, il a irrité les villes de Québec, Sault St-Marie et maintenant la ville de Philadelphie. C'est la façon de faire de sa famille.