LNH: pas de déni d'intérêt, ni d'entente
Hockey jeudi, 3 janv. 2013. 01:15 mercredi, 11 déc. 2024. 10:47
NEW YORK - La séance de négociations entre l'Association des joueurs et la Ligue nationale s'est terminée dans la nuit de mercredi à jeudi et les deux parties reprendront les discussions jeudi.
Le directeur exécutif de l'AJLNH Donald Fehr n'a pas voulu révéler aux médias s'il avait déposé ou non le déni d'intérêt lors d'une conférence de presse à la suite de la ronde des négociations, mais le commissaire de la ligue Gary Bettman a évoqué qu'il n'avait jamais été avisé d'un déni d'intérêt de la part des joueurs.
Selon l'informateur hockey de RDS, Renaud Lavoie, l'AJLNH n'aurait pas utilisé le déni d'intérêt. Le comité exécutif du syndicat s'était fixé la limite de mercredi minuit pour décider s'il voulait déposer un déni d'intérêt. Cette procédure mènerait à la dissolution de l'AJLNH, tout en injectant davantage d'incertitude dans le processus de négociation.
Toujours selon Renaud Lavoie, l'AJLNH a décidé de ne plus exiger un plafond sur l'argent placé en fiducie (escrow) ce qui représente une grosse concession.
Un médiateur est impliqué dans les négociations et le sera également jeudi.
«Nous avons eu une longue journée avec beaucoup de rencontres, tant à l'interne qu'avec l'AJLNH. Il y a eu des progrès, mais nous ne nous entendons pas sur certains points. Tant que nous nous parlons, j'ai de l'espoir», a déclaré aux médias le commissaire de la LNH, Gary Bettman, à sortie des négociations.
«Ce ne serait pas juste de dire qu'un attend après l'autre. Ce sont des questions économiques centrales qui nous séparent et non le partage des revenus. Les joueurs conservent tous leurs recours légaux», a affirmé Fehr.
Les deux parties se sont rencontrées à quelques reprises mercredi. Le fonds de pension, un des principaux points en litige, était à l'ordre du jour, en matinée.
Par la suite, les parties ont pris part à deux séances de négociations, dont une qui a duré plus de quatre heures en soirée et qui s'est terminée vers 1 h du matin.
La LNH a fixé une date limite au 11 janvier pour qu'une entente survienne sans quoi la LNH annulera la saison.
Le lock-out, qui en est à son 110e jour jeudi, a forcé l'annulation de 625 matchs et est désormais le deuxième plus long de l'histoire de la ligue. En 1994-95, le lock-out s'était prolongé pendant 103 jours avant qu'une entente ne soit conclue. Le conflit de travail qui a forcé l'annulation complète de la campagne 2004-05 avait duré 301 jours.
Le directeur exécutif de l'AJLNH Donald Fehr n'a pas voulu révéler aux médias s'il avait déposé ou non le déni d'intérêt lors d'une conférence de presse à la suite de la ronde des négociations, mais le commissaire de la ligue Gary Bettman a évoqué qu'il n'avait jamais été avisé d'un déni d'intérêt de la part des joueurs.
Selon l'informateur hockey de RDS, Renaud Lavoie, l'AJLNH n'aurait pas utilisé le déni d'intérêt. Le comité exécutif du syndicat s'était fixé la limite de mercredi minuit pour décider s'il voulait déposer un déni d'intérêt. Cette procédure mènerait à la dissolution de l'AJLNH, tout en injectant davantage d'incertitude dans le processus de négociation.
Toujours selon Renaud Lavoie, l'AJLNH a décidé de ne plus exiger un plafond sur l'argent placé en fiducie (escrow) ce qui représente une grosse concession.
Un médiateur est impliqué dans les négociations et le sera également jeudi.
«Nous avons eu une longue journée avec beaucoup de rencontres, tant à l'interne qu'avec l'AJLNH. Il y a eu des progrès, mais nous ne nous entendons pas sur certains points. Tant que nous nous parlons, j'ai de l'espoir», a déclaré aux médias le commissaire de la LNH, Gary Bettman, à sortie des négociations.
«Ce ne serait pas juste de dire qu'un attend après l'autre. Ce sont des questions économiques centrales qui nous séparent et non le partage des revenus. Les joueurs conservent tous leurs recours légaux», a affirmé Fehr.
Les deux parties se sont rencontrées à quelques reprises mercredi. Le fonds de pension, un des principaux points en litige, était à l'ordre du jour, en matinée.
Par la suite, les parties ont pris part à deux séances de négociations, dont une qui a duré plus de quatre heures en soirée et qui s'est terminée vers 1 h du matin.
La LNH a fixé une date limite au 11 janvier pour qu'une entente survienne sans quoi la LNH annulera la saison.
Le lock-out, qui en est à son 110e jour jeudi, a forcé l'annulation de 625 matchs et est désormais le deuxième plus long de l'histoire de la ligue. En 1994-95, le lock-out s'était prolongé pendant 103 jours avant qu'une entente ne soit conclue. Le conflit de travail qui a forcé l'annulation complète de la campagne 2004-05 avait duré 301 jours.