Avery est un coéquipier exemplaire
New York Rangers mardi, 17 mars 2009. 16:18 samedi, 14 déc. 2024. 09:54
MONTREAL - Sean Avery n'accorde pas d'entrevue le matin des matchs. L'attaquant des Rangers de New York préfère se concentrer sur la rencontre et éviter ainsi les pièges que pourraient lui tendre les médias.
Ses coéquipiers, par contre, ne se gênent pas pour louanger leur coéquipier, de retour dans la grande famille des Rangers après un bref séjour à Dallas, une suspension de six matchs qui a été suivie d'une thérapie de maîtrise de la colère.
"Il est très content d'être à New York, a indiqué Henrik Lundqvist. Je l'ai rencontré deux semaines avant son retour chez les Rangers. Je lui ai simplement dit de se concentrer sur ce qu'il doit faire et d'oublier le reste.
"Il est plus détendu qu'avant", a ajouté le gardien des Rangers.
Avery semble dans un excellent état d'esprit. Avant d'affronter le Canadien, l'athlète natif de North York, en banlieue de Toronto, avait inscrit quatre buts et amassé une aide. Face au Tricolore, il complètera un trio avec Scott Gomez et Nikolai Zherdev.
"C'est un très bon joueur de hockey", a insisté Lundqvist.
Le dernier droit
Blair Betts a aussi été le coéquipier d'Avery lors de son premier passage dans la métropole américaine. Il croit que sa présence pourra aider les Rangers dans le dernier droit de la saison.
"C'est un joueur qui peut être très efficace, dit Betts, un spécialiste du jeu défensif. Je sais que l'adversaire n'apprécie pas son jeu. On déteste l'affronter. Il peut être très utile s'il parvient à se concentrer sur les bonnes choses."
Selon Betts, Avery pourrait relancer sa carrière à New York.
"C'était son meilleur choix. Il se sent chez lui ici. Il est très à l'aise dans cet environnement. Il connaît presque tous les joueurs."
Wade Redden n'avait jamais été le coéquipier d'Avery avant de venir à New York. Il l'a toutefois affronté à plusieurs reprises dans l'uniforme des Sénateurs d'Ottawa.
"Il énerve l'adversaire, il peut vraiment être détestable durant un match, fait valoir Redden. Mais jusqu'ici, il s'est très bien intégré à l'équipe."
On pouvait craindre des relations difficiles entre Avery et son nouvel entraîneur des Rangers, le fougueux John Tortorella. Celui-ci a déjà affirmé, sur les ondes d'une télé spécialisée, qu'Avery n'avait plus sa place dans la Ligue nationale. Tortorella avait fait cette déclaration peu de temps après avoir entendu les commentaires préjudiciables qu'Avery avait tenus envers son ex-petite amie, la comédienne montréalaise Elisha Cuthbert.
"Je crois qu'ils sont tous les deux très contents de se retrouver à New York", a indiqué Redden pour expliquer l'harmonie qui règne jusqu'ici entre les deux hommes.
L'été dernier, Avery a conclu une entente de quatre ans de 15,5 millions $ US chez les Stars. Ceux-ci doivent toujours assumer la moitié de son salaire. Quant aux Rangers, ils sont responsables de l'autre moitié, ce qui pourrait se révéler une aubaine.
Ses coéquipiers, par contre, ne se gênent pas pour louanger leur coéquipier, de retour dans la grande famille des Rangers après un bref séjour à Dallas, une suspension de six matchs qui a été suivie d'une thérapie de maîtrise de la colère.
"Il est très content d'être à New York, a indiqué Henrik Lundqvist. Je l'ai rencontré deux semaines avant son retour chez les Rangers. Je lui ai simplement dit de se concentrer sur ce qu'il doit faire et d'oublier le reste.
"Il est plus détendu qu'avant", a ajouté le gardien des Rangers.
Avery semble dans un excellent état d'esprit. Avant d'affronter le Canadien, l'athlète natif de North York, en banlieue de Toronto, avait inscrit quatre buts et amassé une aide. Face au Tricolore, il complètera un trio avec Scott Gomez et Nikolai Zherdev.
"C'est un très bon joueur de hockey", a insisté Lundqvist.
Le dernier droit
Blair Betts a aussi été le coéquipier d'Avery lors de son premier passage dans la métropole américaine. Il croit que sa présence pourra aider les Rangers dans le dernier droit de la saison.
"C'est un joueur qui peut être très efficace, dit Betts, un spécialiste du jeu défensif. Je sais que l'adversaire n'apprécie pas son jeu. On déteste l'affronter. Il peut être très utile s'il parvient à se concentrer sur les bonnes choses."
Selon Betts, Avery pourrait relancer sa carrière à New York.
"C'était son meilleur choix. Il se sent chez lui ici. Il est très à l'aise dans cet environnement. Il connaît presque tous les joueurs."
Wade Redden n'avait jamais été le coéquipier d'Avery avant de venir à New York. Il l'a toutefois affronté à plusieurs reprises dans l'uniforme des Sénateurs d'Ottawa.
"Il énerve l'adversaire, il peut vraiment être détestable durant un match, fait valoir Redden. Mais jusqu'ici, il s'est très bien intégré à l'équipe."
On pouvait craindre des relations difficiles entre Avery et son nouvel entraîneur des Rangers, le fougueux John Tortorella. Celui-ci a déjà affirmé, sur les ondes d'une télé spécialisée, qu'Avery n'avait plus sa place dans la Ligue nationale. Tortorella avait fait cette déclaration peu de temps après avoir entendu les commentaires préjudiciables qu'Avery avait tenus envers son ex-petite amie, la comédienne montréalaise Elisha Cuthbert.
"Je crois qu'ils sont tous les deux très contents de se retrouver à New York", a indiqué Redden pour expliquer l'harmonie qui règne jusqu'ici entre les deux hommes.
L'été dernier, Avery a conclu une entente de quatre ans de 15,5 millions $ US chez les Stars. Ceux-ci doivent toujours assumer la moitié de son salaire. Quant aux Rangers, ils sont responsables de l'autre moitié, ce qui pourrait se révéler une aubaine.