Bélanger se cherche à Raleigh
Caroline Hurricanes mardi, 6 févr. 2007. 21:43 vendredi, 13 déc. 2024. 06:30
MONTREAL (PC) - Eric Bélanger était de retour dans la formation des Hurricanes après avoir été laissé de côté lors du match précédent contre les Bruins de Boston. Cette mise à l'écart l'a surpris et, surtout, profondément déçu.
"C'est la première fois que ça m'arrivait. J'étais pas de bonne humeur, a relaté le Sherbrookois. C'est pas que je ne fournis pas l'effort. Mais ma production offensive (8-12-20) n'est pas très élevée. J'ai dû jouer avec 22 ailiers différents depuis que je suis en Caroline."
Bélanger a eu un entretien avec son entraîneur Peter Laviolette mardi matin, le premier en quatre jours.
"Il savait que j'étais pas content. Il voulait laisser retomber la poussière, a expliqué Bélanger, un vétéran âgé de 29 ans. Il m'a dit que je ne joue pas mal mais qu'il en veut davantage."
Bélanger admet avoir des difficultés à s'adapter à sa nouvelle équipe. Il adorait Los Angeles et il a subi un choc lorsque les Kings l'ont échangé aux Canes le 29 septembre dernier en même temps que le défenseur Tim Gleason. En retour, les Kings ont obtenu le défenseur Oleg Tverdovsky ainsi que Jack Johnson, un brillant espoir qui évolue dans les rangs universitaires américains.
"J'ai joué six ans à Los Angeles. Je savais à quoi m'attendre, j'avais un rôle. Andy Murray me faisait confiance. Je jouais toujours contre le meilleur trio, ce qui ne m'empêchait pas de produire en attaque. J'ai quand même eu des saisons de 16 et 17 buts.
"C'est différent en Caroline, poursuit-il. Ici, les gars venaient de remporter la coupe. C'était pas facile de faire sa place. L'entraîneur faisait aussi confiance aux joueurs qui ont gagné la coupe, ce qui est normal. Il y a eu une période d'ajustement. C'est pas facile."
Bélanger deviendra joueur autonome sans compensation à la fin de la saison.
"C'est l'année la plus importante de ma carrière et les choses ne vont pas tellement bien", a-t-il déploré.
Bélanger était quand même encouragé à l'idée d'affronter le Canadien, une équipe contre laquelle il a généralement du succès. En huit matchs face au Tricolore, il avait marqué quatre buts et récolté une aide.
"C'est la première fois que ça m'arrivait. J'étais pas de bonne humeur, a relaté le Sherbrookois. C'est pas que je ne fournis pas l'effort. Mais ma production offensive (8-12-20) n'est pas très élevée. J'ai dû jouer avec 22 ailiers différents depuis que je suis en Caroline."
Bélanger a eu un entretien avec son entraîneur Peter Laviolette mardi matin, le premier en quatre jours.
"Il savait que j'étais pas content. Il voulait laisser retomber la poussière, a expliqué Bélanger, un vétéran âgé de 29 ans. Il m'a dit que je ne joue pas mal mais qu'il en veut davantage."
Bélanger admet avoir des difficultés à s'adapter à sa nouvelle équipe. Il adorait Los Angeles et il a subi un choc lorsque les Kings l'ont échangé aux Canes le 29 septembre dernier en même temps que le défenseur Tim Gleason. En retour, les Kings ont obtenu le défenseur Oleg Tverdovsky ainsi que Jack Johnson, un brillant espoir qui évolue dans les rangs universitaires américains.
"J'ai joué six ans à Los Angeles. Je savais à quoi m'attendre, j'avais un rôle. Andy Murray me faisait confiance. Je jouais toujours contre le meilleur trio, ce qui ne m'empêchait pas de produire en attaque. J'ai quand même eu des saisons de 16 et 17 buts.
"C'est différent en Caroline, poursuit-il. Ici, les gars venaient de remporter la coupe. C'était pas facile de faire sa place. L'entraîneur faisait aussi confiance aux joueurs qui ont gagné la coupe, ce qui est normal. Il y a eu une période d'ajustement. C'est pas facile."
Bélanger deviendra joueur autonome sans compensation à la fin de la saison.
"C'est l'année la plus importante de ma carrière et les choses ne vont pas tellement bien", a-t-il déploré.
Bélanger était quand même encouragé à l'idée d'affronter le Canadien, une équipe contre laquelle il a généralement du succès. En huit matchs face au Tricolore, il avait marqué quatre buts et récolté une aide.