Brian Burke s'excuse aux partisans
Hockey mardi, 10 avr. 2012. 14:10 samedi, 14 déc. 2024. 12:30
TORONTO - Le directeur général des Maple Leafs Brian Burke a présenté des excuses publiques aux partisans de la formation torontoise, mardi, en plus de promettre qu'il renflouera ses effectifs avec un meilleur gardien de but et des joueurs au physique plus imposant.
Burke a rencontré les médias après que les Leafs eurent terminé au 26e rang du classement général de la LNH et raté les séries pour la septième année d'affilée.
Le DG a indiqué qu'il n'allait pas changer son approche en ce qui concerne le style de jeu qu'il est nécessaire, selon lui, de préconiser pour remporter des matchs. Il a expliqué qu'il veut que les Leafs soient en mesure de dicter le rythme de matchs et pour ce faire, il faudra des joueurs plus grands et plus forts. Il se mettra à la recherche d'un joueur de centre capable de pivoter le premier trio.
«Ma façon de voir les choses n'a pas changé en ce qui a trait à la façon de bâtir une équipe et comment des matchs se remportent, a souligné Burke. Je crois encore que les équipes qui ont de grands joueurs robustes sont celles qui remportent des matchs. Si vous avez deux équipes qui sont égales au chapitre des habiletés, l'équipe la plus imposante va gagner. Il nous faut une équipe plus imposante.
«C'est là ma priorité en ce qui concerne les priorités qui touchent l'équipe globalement.»
Le directeur général a par ailleurs fait écho au mea culpa émis par l'organisation des Leafs. Celle-ci a affiché un message aux partisans sur son site web et dans les journaux, dans lequel elle leur demande pardon. L'équipe a envoyé une lettre similaire aux abonnés de saison.
Tom Anselmi, chef de l'exploitation chez les Maple Leafs, a promis de s'entretenir personnellemment avec tout détenteur de billets qui s'inquiète au sujet de l'avenir du club.
«Il s'agit d'afficher une attitude gagnante, d'avoir la bonne attitude à l'endroit de nos partisans. C'est pourquoi nous sommes ici, a affirmé Anselmi. Une équipe de sport est une entreprise, certes, mais c'est une entreprise dont les succès reposent sur l'émotion, la passion et les sentiments. Ces partisans ont l'équipe à coeur, ils ne s'en foutent pas. Ils dépensent des dollars après-taxe pour nous.
«Nous devons leur présenter un bon produit et quand ce n'est pas assez bon, ce n'est pas assez bon.»
Les Leafs occupaient le sixième rang dans l'Association Est au mois de février, mais ils n'ont remporté que deux de leurs 17 matchs suivants. Ils ne s'en sont jamais remis. Ils sont maintenant les auteurs de la plus longue séquence sans participation aux séries dans la LNH.
L'entraîneur-chef des Maple Leafs Randy Carlyle a parlé avant Burke et il a mis ses joueurs au défi d'améliorer leurs habitudes de travail. Il a expliqué qu'au cours de son dernier discours aux joueurs, il a parlé de travail, de responsabilité et de la nécessité d'être en meilleure forme physique.
Burke a congédié Ron Wilson et l'a remplacé par Carlyle au mois de mars, mais il était déjà trop tard.
«Je dirais que la confiance est l'atout no 1 que cette équipe n'avait pas, a affirmé Carlyle. Nous ne formions pas un groupe confiant.
«C'est le devoir du personnel d'entraîneur de forcer, dorloter, frapper utilisez le mot que vous voulez pour les amener à croire qu'ils peuvent le faire.»
Burke a rencontré les médias après que les Leafs eurent terminé au 26e rang du classement général de la LNH et raté les séries pour la septième année d'affilée.
Le DG a indiqué qu'il n'allait pas changer son approche en ce qui concerne le style de jeu qu'il est nécessaire, selon lui, de préconiser pour remporter des matchs. Il a expliqué qu'il veut que les Leafs soient en mesure de dicter le rythme de matchs et pour ce faire, il faudra des joueurs plus grands et plus forts. Il se mettra à la recherche d'un joueur de centre capable de pivoter le premier trio.
«Ma façon de voir les choses n'a pas changé en ce qui a trait à la façon de bâtir une équipe et comment des matchs se remportent, a souligné Burke. Je crois encore que les équipes qui ont de grands joueurs robustes sont celles qui remportent des matchs. Si vous avez deux équipes qui sont égales au chapitre des habiletés, l'équipe la plus imposante va gagner. Il nous faut une équipe plus imposante.
«C'est là ma priorité en ce qui concerne les priorités qui touchent l'équipe globalement.»
Le directeur général a par ailleurs fait écho au mea culpa émis par l'organisation des Leafs. Celle-ci a affiché un message aux partisans sur son site web et dans les journaux, dans lequel elle leur demande pardon. L'équipe a envoyé une lettre similaire aux abonnés de saison.
Tom Anselmi, chef de l'exploitation chez les Maple Leafs, a promis de s'entretenir personnellemment avec tout détenteur de billets qui s'inquiète au sujet de l'avenir du club.
«Il s'agit d'afficher une attitude gagnante, d'avoir la bonne attitude à l'endroit de nos partisans. C'est pourquoi nous sommes ici, a affirmé Anselmi. Une équipe de sport est une entreprise, certes, mais c'est une entreprise dont les succès reposent sur l'émotion, la passion et les sentiments. Ces partisans ont l'équipe à coeur, ils ne s'en foutent pas. Ils dépensent des dollars après-taxe pour nous.
«Nous devons leur présenter un bon produit et quand ce n'est pas assez bon, ce n'est pas assez bon.»
Les Leafs occupaient le sixième rang dans l'Association Est au mois de février, mais ils n'ont remporté que deux de leurs 17 matchs suivants. Ils ne s'en sont jamais remis. Ils sont maintenant les auteurs de la plus longue séquence sans participation aux séries dans la LNH.
L'entraîneur-chef des Maple Leafs Randy Carlyle a parlé avant Burke et il a mis ses joueurs au défi d'améliorer leurs habitudes de travail. Il a expliqué qu'au cours de son dernier discours aux joueurs, il a parlé de travail, de responsabilité et de la nécessité d'être en meilleure forme physique.
Burke a congédié Ron Wilson et l'a remplacé par Carlyle au mois de mars, mais il était déjà trop tard.
«Je dirais que la confiance est l'atout no 1 que cette équipe n'avait pas, a affirmé Carlyle. Nous ne formions pas un groupe confiant.
«C'est le devoir du personnel d'entraîneur de forcer, dorloter, frapper utilisez le mot que vous voulez pour les amener à croire qu'ils peuvent le faire.»