Brière ne veut pas rater cette occasion
Hockey lundi, 24 mai 2010. 13:33 vendredi, 13 déc. 2024. 04:54
PHILADELPHIE - Daniel Brière aime bien "l'attitude d'affaires" que les joueurs des Flyers de Philadelphie ont adopté depuis le début des séries. Autant la saison régulière a été une suite d'événements les plus rocambolesques que les autres - rien que le nombre de gardiens qui ont défilé suffirait à remplir la moitié d'un magazine à sensations -, autant les séries se sont déroulées sans anicroche, a indiqué l'attaquant québécois.
"Les séries, c'est pour ça que nous nous sommes préparés tout au long de la saison, a-t-il noté, lundi midi, à quelques heures du cinquième match de la finale de l'Association Est à Wachovia Center. Nous avons fait face à bien des obstacles cette saison. Nous avons vécu différentes émotions parce que parfois on jouait bien, parfois on ne jouait pas bien. Il y a eu les blessures, le changement d'entraîneur...
"Alors il y a eu plusieurs distractions. Mais depuis le début des séries, les joueurs sont très concentrés. Ils pensent à leur match, en fonction d'un match à la fois."
Brière a reconnu que le visionnement d'un film sur l'histoire des Broad Street Bullies, c'est-à-dire l'équipe des Flyers qui a remporté la coupe Stanley à deux reprises dans les années 1970, a également inspiré les joueurs de l'édition actuelle.
"On a vu à quel point les gens de la ville s'étaient rangés derrière l'équipe. On a vu la même chose, récemment, quand les Phillies ont remporté la Série mondiale (au baseball, en 2008). Il y a quatre sports majeurs à Philadelphie et quand l'une des quatre équipes fait bien dans les séries, on voit que la ville change, a souligné Brière.
"Je l'avais dit quand je me suis amené à Philadelphie, je voulais vivre ça justement. Alors, je ne veux pas rater cette occasion d'aller en finale. Je ne veux pas rater mon coup."
Brière a par ailleurs louangé son coéquipier Claude Giroux, qui s'avère sans doute la plus belle surprise chez les Flyers dans les présentes séries. Le joueur de centre franco-ontarien avait huit buts et huit aides en 16 rencontres éliminatoires avant le match de lundi.
"On parle beaucoup de son talent, de sa vision, de ses mains, mais ce qui m'impressionne le plus, c'est sa force de caractère, a affirmé Brière. Quand l'issue du match est à l'enjeu, il est là. Il a répondu plusieurs fois de cette manière par le passé."
On parle beaucoup de la foule du Centre Bell qui est bruyante, mais Brière s'attendait à une atmosphère électrique, lundi soir, à Wachovia Center, à l'occasion du match qui pouvait propulser les Flyers en finale de la Coupe Stanley.
"Je m'attends à ce que ce soit pas mal fou, a-t-il dit de la foule, lundi midi. Nos partisans savent dans quelle situation on se trouve. Ça fait un bon moment que les Flyers se sont retrouvés dans une telle position, alors je m'attends à beaucoup d'enthousiasme, c'est certain."
"Les séries, c'est pour ça que nous nous sommes préparés tout au long de la saison, a-t-il noté, lundi midi, à quelques heures du cinquième match de la finale de l'Association Est à Wachovia Center. Nous avons fait face à bien des obstacles cette saison. Nous avons vécu différentes émotions parce que parfois on jouait bien, parfois on ne jouait pas bien. Il y a eu les blessures, le changement d'entraîneur...
"Alors il y a eu plusieurs distractions. Mais depuis le début des séries, les joueurs sont très concentrés. Ils pensent à leur match, en fonction d'un match à la fois."
Brière a reconnu que le visionnement d'un film sur l'histoire des Broad Street Bullies, c'est-à-dire l'équipe des Flyers qui a remporté la coupe Stanley à deux reprises dans les années 1970, a également inspiré les joueurs de l'édition actuelle.
"On a vu à quel point les gens de la ville s'étaient rangés derrière l'équipe. On a vu la même chose, récemment, quand les Phillies ont remporté la Série mondiale (au baseball, en 2008). Il y a quatre sports majeurs à Philadelphie et quand l'une des quatre équipes fait bien dans les séries, on voit que la ville change, a souligné Brière.
"Je l'avais dit quand je me suis amené à Philadelphie, je voulais vivre ça justement. Alors, je ne veux pas rater cette occasion d'aller en finale. Je ne veux pas rater mon coup."
Brière a par ailleurs louangé son coéquipier Claude Giroux, qui s'avère sans doute la plus belle surprise chez les Flyers dans les présentes séries. Le joueur de centre franco-ontarien avait huit buts et huit aides en 16 rencontres éliminatoires avant le match de lundi.
"On parle beaucoup de son talent, de sa vision, de ses mains, mais ce qui m'impressionne le plus, c'est sa force de caractère, a affirmé Brière. Quand l'issue du match est à l'enjeu, il est là. Il a répondu plusieurs fois de cette manière par le passé."
On parle beaucoup de la foule du Centre Bell qui est bruyante, mais Brière s'attendait à une atmosphère électrique, lundi soir, à Wachovia Center, à l'occasion du match qui pouvait propulser les Flyers en finale de la Coupe Stanley.
"Je m'attends à ce que ce soit pas mal fou, a-t-il dit de la foule, lundi midi. Nos partisans savent dans quelle situation on se trouve. Ça fait un bon moment que les Flyers se sont retrouvés dans une telle position, alors je m'attends à beaucoup d'enthousiasme, c'est certain."