Carey Price a 4 blanchissages, tous contre les Bruins
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:30 mardi, 13 mai 2014. 06:41Le gardien Carey Price, du Canadien a réussi tous ses jeux blanc contre les Bruins de Boston
Il totalise quatre jeux blancs en séries éliminatoires, les quatre face aux Bruins
Depuis son entrée dans la LNH en 2007–2008, le gardien Carey Price, du Canadien de Montréal, n‘a pas connu beaucoup de succès dans les séries éliminatoires, mais il semble avoir un petit faible pour réussir des blanchissages contre les Bruins de Boston.
En effet, le brillant gardien du CH, qui présente une fiche à vie de 16–20 en 40 matchs éliminatoires, a réussi quatre jeux blancs, tous contre les Bruins de Boston, deux au Centre Bell et aussi deux, au TD Garden.
Lors de sa première présente en séries de fin de saison en 2007–2008, il avait réalisé deux jeux blancs en sept rencontres, un gain de 1–0, au TD Garden, effectuant 27 arrêts, le 15 avril 2008 et aussi un gain de 5–0 (25 arrêts), lors du septième et décisif match, le 21 avril 2008, au Centre Bell.
Lors de la saison 2010–2011 il avait réalisé un jeu blanc de 2–0, effectuant 31 arrêts, le 14 avril 2011, lors du premier match de la série quart-de-finale de l‘Association de l‘Est, que le Canadien avait perdu en sept rencontres (3–4).
Lundi soir, dans un Centre Bell survolté, il a réussi un jeu blanc de 4–0, effectuant 26 arrêts en permettant au Tricolore de remporter le 6e match de la série et ainsi de pousser la série à la limite de sept rencontres.
Avec des gains de 1–0, 2–0, 4–0 et 5–0, il lui manque une victoire de 3–0 pour compléter cet arsenal …
Sera-t-il en mesure de répéter son exploit, mercredi, au TD Garden et ainsi permettre au Canadien d‘atteindre la finale de l‘Association de l‘Est ?
LES BLANCHISSAGES DE CAREY PRICE EN SÉRIES ÉLIMINATOIRES
15 avril 2008-Montréal 1 à Boston 0 (27 arrêts)
21 avril 2008-Boston 0 à Montréal 5 (25 arrêts)
14 avril 2011-Montréal 2 à Boston 0 (31 arrêts)
12 mai 2014-Boston 0 à Montréal 4 (26 arrêts)
*
Martin St-Louis et les Rangers vont-ils surprendre les Penguins ?
Les Rangers ont une fiche de 7-5 dans les 7e matchs, 6-0 à domicile et 1-5 à l’étranger
Ils ont remporté les quatre dernières séries qui ont atteint la limite
Tout comme lors de la première ronde, face aux Flyers de Philadelphie, les Rangers de New York vont disputer une septième rencontre pour déterminer un vainqueur lors de leur deuxième série, face aux Penguins de Pittsburgh.
Malgré le fait qu’ils soient dans la LNH depuis 1926–1927, les Rangers de New York n’ont pas été impliqués dans beaucoup de séries qui ont atteint la limite de sept matchs dans les séries quatre-de-sept en séries éliminatoires.
En effet, la formation dirigée par Alain Vigneault, qui n’a été impliquée que dans 12 séries qui ont atteint la limite de sept rencontres et elle présente une fiche de 7–5 lors de ces 12 séries.
Soulignons que les Rangers ont une fiche parfaite de 6–0 en six matchs locaux dans ces circonstances, comparativement à un piètre dossier de 1–5 lors des six rencontres qui ont été disputées à l’étranger.
L’an dernier, les Rangers avaient réussi à triompher des Capitals de Washington, 5–0, lors du match décisif, au Verizon Center, le 13 mai 2013 et c’était la première fois qu’ils gagnaient un septième match à l’étranger.
Il faut aussi tenir compte que les Blue Shirts ont un dossier parfait de 4–0 lors de leurs quatre dernières séries qui ont atteint la limite de sept rencontres, leur dernier revers à ce chapitre remontant à la saison 2008–2009, alors qu’ils avaient baissé pavillon, face aux Capitals de Washington, lors de la première ronde, une série qu’ils menaient 3–1 après quatre matchs.
Les Rangers de NY n’ont jamais surmonté un retard de 1-3 pour triompher 4-3
La formation d’Alain Vigneault a une fiche de 0-15 en 15 tentatives
S’ils veulent atteindre la finale de l’Association de l’Est, les Rangers de New York devront réaliser une première de toute leur histoire : surmonter un retard de 1–3 pour remporter une série quatre-de-sept.
Ils n’ont jamais réalisé ce genre de retour victorieux, affichant un dossier de 0–15 en 15 tentatives dans ces circonstances.
En 11 occasions, les séries ont pris fin en cinq matchs (1–4), trois fois en six rencontres (2–4) et une fois dans la limite de sept parties (3–4), lors de la première série quatre-de-sept de leur histoire en 1938–1939.
Lors de cette série-là, les Rangers accusaient un retard de 0–3 après trois matchs, face aux Bruins de Boston, dans la demi-finale et avaient réussi à créer l’égalité 3–3, remportant les trois matchs suivants, avant de s’incliner 2–1, en 3e prolongation, lors du septième et décisif match, le 2 avril 1939, au Boston Garden.
Les Penguins de Pittsburgh ont une fiche de 7-6 en 13 séries qui ont la limite de sept matchs
Ils sont par contre 2-6 dans ces circonstances à domicile !
Dans les séries qui ont nécessité la limite de sept rencontres, les Penguins de Pittsburgh ont une fiche de 7–6 en 13 occasions, mais un rendement pitoyable de 2–6 en huit tentatives à domicile et de 5–0 en cinq occasions à l’étranger.
Ils ont perdu leurs deux dernières séries dans ces circonstances, les deux au CONSOL Energy Center, face au Canadien de Montréal, en 2009–2010 et aussi en 2010–2011, contre le Lightning de Tampa Bay.
Contre le Canadien de Montréal, ils avaient subi une défaite de 5–2, à domicile, le 12 mai 2010, un match où le gardien Marc-André Fleury avait été remplacé par Brent Johnson en 2e période, après avoir concédé quatre buts sur seulement 13 tirs, lors des 25:14 premières minutes de jeu.
Le 27 avril 2011, sans Crosby et Malkin, les Penguins avaient perdu 1-0
Lors du match du 27 avril 2011, les Penguins, qui étaient privés des attaquants Sidney Crosby et Evgeni Malkin (les deux avaient raté toute la série), avaient perdu 1–0, face au Lightning de Tampa Bay, sur un jeu blanc du gardien Dwayne Roloson, qui avait réussi un total de 36 arrêts.
Lors de cette série-là, les Penguins avaient également pris une avance de 3–1 après les quatre premiers matchs, mais avaient perdu les trois dernières rencontres pour s’incliner en sept parties.
Après avoir remporté les deux derniers matchs, 5–1, vendredi soir et 3–1, dimanche soir, les Rangers réussiront-ils une première de toute leur histoire, face à des Penguins de Pittsburgh, qui semblent un peu perdus en attaque dans cette série ?
Les Rangers sont 0–4 dans leurs quatre séries à vie contre les Penguins et 0–15 dans les 15 séries où ils étaient en retard 1–3 après quatre matchs dans une série quatre-de-sept.
Est-ce que ces deux séquences vont prendre fin, pour les superstitieux, le 13 mai 2014 ?
Difficile à prédire, car les Rangers sont 1–5 dans les fois où ils ont disputé un 7e match à l’étranger et les Penguins sont 2–6 dans les huit occasions où ils ont joué une 7e partie à domicile.
*
Un autre 7e match pour Martin St-Louis
Il a un rendement de 0-1-1 lors de ses cinq parties décisives
Le vétéran Martin St-Louis, des Rangers de New York va se retrouver une autre fois dans un match décisif, ce soir, face aux Penguins de Pittsburgh, au CONSOL Energy Center.
En effet, après avoir un match ultime, le 30 avril dernier, un gain de 2–1, face aux Flyers de Philadelphie, au Madison Square Garden, le rapide attaquant aura le même genre de défi, contre les Penguins de Pittsburgh.
Il n’a jamais marqué dans un septième match et toutes les rencontres ont été serrées
Il n’a jamais connu beaucoup de succès lors de ces rencontres importantes, car il a un dossier de 0–1-1 en cinq matchs, St-Louis, ayant eu un différentiel égal avec un temps d’utilisation de 20:59 minutes, lui qui a été employé durant 20:13, lors du match du 30 avril dernier.
Ce qu’il faut retenir des cinq rencontres décisives de Martin St-Louis est le fait qu’il a vu ses équipes respectives présenter un rendement de 4–1 et le jeu fut serré comme jamais, car seulement 11 buts ont été marqués (une moyenne de 2,20 par match), trois rencontres ayant pris fin par un résultat de 2–1, alors que les deux autres furent des matchs avec un pointage final de 1–0, le 27 avril 2011 (Tampa Bay 1 à Pittsburgh 0, première ronde) et aussi le 27 mai 2011, Tampa Bay 0 à Boston 1 (troisième ronde), son seul revers à ce chapitre.
Martin St-Louis, qui aura 39 ans le 18 juin prochain et qui a vécu le décès de sa maman, jeudi dernier, a réussi son premier but en 10 matchs, lors du gain de 3–1, dimanche soir et il affiche un rendement global de 3–4-7 avec un différentiel égal, lors de ses 13 rencontres éliminatoires actuellement.
LES SEPTIÈMES MATCHS DE MARTIN ST-LOUIS (CINQ, FICHE DE 4-1)
22 mai 2004-Philadelphie 1 à Tampa Bay 2 (0–1-1, égal et 23:25)
7 juin 2004-Calgary 1 à Tampa Bay 2 (0–0-0, égal et 20:40)
27 avril 2011-Tampa Bay 1 à Pittsburgh 0 (0–0-0, égal et 18:35)
27 mai 2011-Tampa Bay 0 à Boston 1 (0–0-0, égal et 22:02)
30 avril 2014-Philadelphie 1 à Rangers de NY 2 (0–0-0, égal et 20:13)
(Fiche : 5 parties, 0–1-1, égal et moyenne de 20:59 minutes de jeu)
*
Rick Nash, des Rangers de NY, en panne sèche dans les éliminatoires
Il a un dossier de 0-5-5 en 13 rencontres dans les présentes séries
Depuis le début de sa carrière, l’attaquant Rick Nash, des Rangers de New York, n’a pas participé aux séries éliminatoires très souvent et n’est pas très productif lorsque cela se présente pour lui.
En effet, l’ex-joueur des Blue Jackets de Columbus, qui présente un rendement intéressant de 336–292-628 (différentiel de moins 45) en 783 matchs réguliers, n’a pu faire mieux qu’un dossier de 2–11-13 avec un différentiel égal lors de ses 29 matchs disputés en séries éliminatoires, dont aucun but en avantage numérique, lui qui a été utilisé souvent dans cette situation avec les deux équipes.
Dans les présente séries, il est 0–5-5 avec un différentiel de plus un en 13 matchs, lui qui fut 0–4-4 avec un différentiel de plus deux, dans les sept matchs disputés contre les Flyers de Philadelphie et 0–1-1 avec un différentiel de moins un, dans les six matchs de la présente série contre les Penguins de Pittsburgh.
Lors de sa première participation en 2008–2009, il avait présenté un dossier de 1–0-1 en quatre matchs, face aux Red Wings de Detroit, dans la première ronde et son but fut réussi le 23 avril 2009, face au gardien Chris Osgood, dans un revers de 6 à 5, à domicile, lors du quatrième affrontement.
Pis, il fut 0–2-2 avec un différentiel de plus deux et 22 tirs au but, dans la série de sept matchs contre les Capitals de Washington, lors du premier tour, que les Rangers ont gagné pour se retrouver contre les Bruins de Boston, dans le deuxième tour et il a eu un rendement de 1–2-3 avec un différentiel de plus un et 20 tirs au but, dans les cinq matchs disputés contre les Bruins, lors de la deuxième ronde, l’an dernier.
Son seul but a été réussi le 19 mai 2013, dans un revers de 5–2, face aux Bruins de Boston, au TD Garden, lors du deuxième match de la série et il avait été 0–1-1 lors des trois derniers duels de cette deuxième ronde.
Il obtient beaucoup de tirs au but (51), mais pas beaucoup de succès …
À la défense de Rick Nash, on peut souligner que malgré son piètre rendement offensif, ce n’est pas parce qu’il ne travaille pas, car il lance souvent sur les gardiens adverses, lui qui totalise 51 tirs, le plus haut total de la LNH, 30 tirs lors des sept matchs contre les Flyers et 21 en six rencontres, face aux Penguins.
Nash, qui aura 30 ans le 16 juin et qui fut le premier choix des Blue Jackets de Columbus, le premier au total du repêchage de 2002, ne pourrait pas choisir un meilleur moment pour secouer sa léthargie, lui qui va tenter d’aider les Rangers de New York à remporter une série contre les Penguins de Pittsburgh pour la première fois de leur histoire, affichant un dossier de 0–4 lors des quatre séries antérieures.
N‘ayant aucun but en 13 matchs, marquera-t-il un filet lors du match du 13 mai 2014 ?
*
Un beau duel de gardiens pour la 7e rencontre entre les Rangers de NY et les Penguins
Dans les matchs décisifs : Henrik Lundqvist superbe, Marc-André Fleury, bon
En ce mardi, 13 mai 2014, nous verrons deux gardiens s’affronter dans un septième match, Henrik Lundqvist, des Rangers de New York et Marc-André Fleury, des Penguins de Pittsburgh.
Qui sortira vainqueur de ce duel sans lendemain, qui aura lieu au CONSOL Energy Center ?
Voici un petit aperçu du rendement des deux gardiens lors des septièmes rencontres dans les séries quatre-de-sept depuis leur entrée dans la LNH.
En cinq matchs, Henrik Lindqvist a été tout simplement extraordinaire, affichant un dossier de 4–1, une minuscule moyenne de 1,00, un blanchissage et une superbe efficacité de ,963 (concédant cinq buts sur 136 tirs en 299:45 minutes), lui dont le seul revers fut lors de son premier match dans ces circonstances, le 28 avril 2009, 2–1, face aux Capitals de Washington, sur la patinoire de ces derniers.
Encore plus, c’est la seule fois où il a permis à ses adversaires de prendre une avance dans un match décisif, l’attaquant Sergei Fedorov, des Capitals ayant marqué le but victorieux à 15 :01 de la troisième période.
Depuis cet unique revers, il a toujours été à égalité ou en avance, lui qui a gagné ses quatre dernières parties à ce chapitre, une victoire de 5–0, l’an dernier et trois rencontres de 2–1, dont celle du 30 avril dernier, face aux Flyers de Philadelphie, lors de la première ronde.
Dans le cas de Marc-André Fleury, il a un dossier de 2–2 avec une moyenne de 2,36 et une efficacité de ,901 en quatre matchs du genre, ayant gagné ses deux premières parties et perdu ses deux dernières.
Lors de la conquête de la Coupe Stanley en 2008–2009, il avait été superbe, car il avait été le gardien victorieux en deux occasions, 6–2, face aux Capitals de Washington, au Verizon Center, le 13 mai 2009 et encore plus, il avait triomphé 2–1, face aux Red Wings de Detroit, le 12 juin 2009, lors du match décisif de la grande finale, permettant aux Penguins de mettre la main sur l’honneur.
Depuis, il a subi une défaite de 5–2, face au Canadien de Montréal, lors de la deuxième ronde, le 12 mai 2010, concédant quatre buts sur 13 tirs en 25 :14 minutes et il a aussi été le gardien perdant, lors du match décisif de la première ronde de 2010–2011, une amère défaite de 1–0, à domicile, face au Lightning de Tampa Bay, ne concédant qu’un but sur 23 tirs.
Dans la rencontre de ce soir, la pression sera sur Marc-André Fleury et aussi Sidney Crosby, car ces deux joueurs devront être à leur meilleur si les Penguins espèrent atteindre la finale de l’Association de l’Est pour une deuxième saison de suite.
La fiche de Henrik Lundqvist et Marc-André Fleury lors des matchs décisifs
HENRIK LUNDQVIST, CINQ RENCONTRES (4-1)
28 avril 2009-Rangers de NY 1 Washington 2 (59:58, 24 tirs, deux buts, défaite)
26 avril 2012-Ottawa 1 à Rangers de NY 2 (59:48, 27 tirs, un but, victoire)
12 mai 2012-Washington 1 à Rangers de NY 2 (59:59, 23 tirs, un but, victoire)
13 mai 2013-Rangers de NY 5 à Washington 0 (60:00, 35 tirs, aucun but, victoire)
30 avril 2014-Philadelphie 1 à Rangers de NY 2 (60:00, 27 tirs, un but, victoire)
(fiche: 4–1, 299:45 minutes, 5 buts sur 136 tirs, moyenne de 1,00, efficacité de ,963)
MARC-ANDRÉ FLEURY, QUATRE RENCONTRES (2-2)
13 mai 2009-Pittsburgh 6 à Washington 2 (60:00, 21 tirs, deux buts, victoire)
12 juin 2009-Pittsburgh 2 à Detroit 1 (60:00, 24 tirs, un but, victoire)
12 mai 2010-Montréal 5 à Pittsburgh 2 (25:14, 13 tirs, quatres buts, défaite)
27 avril 2011-Tampa Bay 1 à Pittsburgh 0 (58:27, 23 tirs, un but, défaite)
(fiche: 2–2, 203:41 minutes, 8 buts sur 81 tirs, moyenne de 2,36, efficacité de ,901)
*