Chelios ne dit pas non aux Olympiques
Hockey jeudi, 14 févr. 2008. 21:16 vendredi, 13 déc. 2024. 16:58
Libre aux gens de le croire ou non, mais Chris Chelios n'a pas fait une croix sur la possibilité de jouer lors des Jeux de Vancouver, en 2010, alors qu'il sera âgé de 48 ans.
"Si le besoin est là, je vais être honnête, j'aimerais beaucoup jouer lors de ces Jeux, a dit Chelios. Et si ce n'est pas comme joueur, j'aimerais y être dans une fonction ou une autre, peut-être comme instructeur ou dans l'équipe de direction."
Il s'agirait des cinquièmes Jeux de Chelios, qui a aussi pris part à ceux de 1984, 1998, 2002 et 2006. Mais le principal intéressé demeure tout de même réaliste à propos des chances que cela se réalise.
"Etant donné le rôle que je joue maintenant, ce sera difficile, a concédé le défenseur des Red Wings de Detroit, qui est natif de Chicago. Mon temps de glace a diminué... mais je pensais de la même façon avant les Jeux de 2006, et puis des blessures chez les Red Wings m'ont donné la chance de jouer plus, et j'ai eu la chance de faire partie de l'équipe (américaine).
"Mais les prochains Jeux sont encore assez loin, et beaucoup de choses peuvent encore se passer. Physiquement je me sens vraiment très bien. Je ne veux pas prendre la place d'un jeune, mais en même temps je ne suis pas prêt à abandonner."
Même s'il n'était pas associé à l'équipe de quelque façon que ce soit, Chelios mentionne qu'il veut être sur place à Vancouver.
"J'irais à ces Jeux et j'amènerais mes fils avec moi, parce que je pense que ces Jeux seront parmi les meilleurs, a dit Chelios.
"En ce qui me concerne, Salt Lake en 2002 a été le plus grand événement de hockey et le plus grand match auquel j'ai participé au hockey international (le Canada avait battu les E.-U. pour l'or). "J'espère que ce sera aussi mémorable à Vancouver, et que l'on aura les deux mêmes équipes bataillant pour l'or."
En tenant compte de la nouvelle génération de hockeyeurs américains et du retour possible de vétérans, Chelios aime bien les chances des Etats-Unis à Vancouver.
"C'est évident qu'avec le Canada à domicile, ils seront l'équipe à battre, et la plus difficile à battre justement," a affirmé Chelios. Mais je pense que l'on se compare bien aux autres équipes qui seront là. Il reste à voir quelle équipe saura se donner un élan au bon moment."
Chelios a porté les couleurs américaines à la Coupe Canada en 1984, 1987 et 1991, en plus des Coupes du monde en 1996 et 2004. Il a aussi participé aux championnats mondiaux juniors en 1982.
Chelios a remporté une médaille d'argent olympique en 2002. En 1996, il avait mené les Américains à la victoire finale contre le Canada, lors de la Coupe du monde.
"Depuis le temps que je suis là, j'ai pu voir le hockey américain se développer et finalement réussir à rivaliser avec les autres pays, incluant le Canada, ce qui a été prouvé à la Coupe du monde en 1996, a mentionné Chelios.
"Je fais souvent référence aux Jeux de 1980, qui ont pavé la voie pour que des joueurs comme moi, Pat LaFontaine, Al Iafrate et Dave Jensen aient la chance de montrer à tout le monde la progression du hockey aux Etats-Unis. Le développement s'est fait rapidement après ce qu'a réussi cette équipe de 1980."
"Si le besoin est là, je vais être honnête, j'aimerais beaucoup jouer lors de ces Jeux, a dit Chelios. Et si ce n'est pas comme joueur, j'aimerais y être dans une fonction ou une autre, peut-être comme instructeur ou dans l'équipe de direction."
Il s'agirait des cinquièmes Jeux de Chelios, qui a aussi pris part à ceux de 1984, 1998, 2002 et 2006. Mais le principal intéressé demeure tout de même réaliste à propos des chances que cela se réalise.
"Etant donné le rôle que je joue maintenant, ce sera difficile, a concédé le défenseur des Red Wings de Detroit, qui est natif de Chicago. Mon temps de glace a diminué... mais je pensais de la même façon avant les Jeux de 2006, et puis des blessures chez les Red Wings m'ont donné la chance de jouer plus, et j'ai eu la chance de faire partie de l'équipe (américaine).
"Mais les prochains Jeux sont encore assez loin, et beaucoup de choses peuvent encore se passer. Physiquement je me sens vraiment très bien. Je ne veux pas prendre la place d'un jeune, mais en même temps je ne suis pas prêt à abandonner."
Même s'il n'était pas associé à l'équipe de quelque façon que ce soit, Chelios mentionne qu'il veut être sur place à Vancouver.
"J'irais à ces Jeux et j'amènerais mes fils avec moi, parce que je pense que ces Jeux seront parmi les meilleurs, a dit Chelios.
"En ce qui me concerne, Salt Lake en 2002 a été le plus grand événement de hockey et le plus grand match auquel j'ai participé au hockey international (le Canada avait battu les E.-U. pour l'or). "J'espère que ce sera aussi mémorable à Vancouver, et que l'on aura les deux mêmes équipes bataillant pour l'or."
En tenant compte de la nouvelle génération de hockeyeurs américains et du retour possible de vétérans, Chelios aime bien les chances des Etats-Unis à Vancouver.
"C'est évident qu'avec le Canada à domicile, ils seront l'équipe à battre, et la plus difficile à battre justement," a affirmé Chelios. Mais je pense que l'on se compare bien aux autres équipes qui seront là. Il reste à voir quelle équipe saura se donner un élan au bon moment."
Chelios a porté les couleurs américaines à la Coupe Canada en 1984, 1987 et 1991, en plus des Coupes du monde en 1996 et 2004. Il a aussi participé aux championnats mondiaux juniors en 1982.
Chelios a remporté une médaille d'argent olympique en 2002. En 1996, il avait mené les Américains à la victoire finale contre le Canada, lors de la Coupe du monde.
"Depuis le temps que je suis là, j'ai pu voir le hockey américain se développer et finalement réussir à rivaliser avec les autres pays, incluant le Canada, ce qui a été prouvé à la Coupe du monde en 1996, a mentionné Chelios.
"Je fais souvent référence aux Jeux de 1980, qui ont pavé la voie pour que des joueurs comme moi, Pat LaFontaine, Al Iafrate et Dave Jensen aient la chance de montrer à tout le monde la progression du hockey aux Etats-Unis. Le développement s'est fait rapidement après ce qu'a réussi cette équipe de 1980."