Daniel Brière est à la porte du plateau des 50 buts
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 22:56 mardi, 1 mai 2012. 23:30Le petit joueur des Flyers est plus productif en séries éliminatoires
L’attaquant Daniel Brière, des Flyers de Philadelphie semble à son mieux dans les séries éliminatoires et celles de la présente saison en sont une preuve évidente.
En effet, il présente une fiche de 7–3-10 lors de ses sept premiers matchs et il a ainsi porté son dossier à vie à 49–57-106 en 104 rencontres, une moyenne de 1,02 point par match, ce qui est phénoménal pour un petit joueur dans un monde de géants.
Pour les éliminatoires, il n’a besoin que d’un seul autre but pour devenir le 53e joueur à atteindre le plateau des 50 filets et soulignons que son total de 106 points le classe au 69e rang, à égalité avec Joe Mullen, un point derrière Kevin Stevens et Rick MacLeish (107 points), au 67e rang.
En saison régulière, Brière affiche un dossier en carrière de 280–363-643 en 813 matchs (une moyenne de 0,79 point par match), ce qui le place au 253e rang du circuit pour les points et au 201e rang, au chapitre des buts marqués.
Peu de joueurs ont connu plus de succès dans les éliminatoires que durant le calendrier régulier et Brière est une exception peu ordinaire à ce chapitre, car sa moyenne est près d’un quart de point supérieure (0,23) en séries (1,02), que durant le calendrier régulier (0,79).
Depuis 2009–2010, son rendement dans les éliminatoires est éblouissant, lui dont le dossier est de 26–23-49 en 41 rencontres et cela équivaudrait à une fiche de 52 buts, 46 assistances pour 98 points pour une saison de 82 matchs.
Pensez-vous que Brière va continuer à produire comme il le fait actuellement ou si la fatigue va le rejoindre si les Flyers se rendaient loin dans les éliminatoires ?
*
Les Devils sont superbes en première période et pitoyables au second vingt …
On dirait que les Devils du New Jersey débutent leurs rencontres sur les chapeaux de roues, mais dérapent par la suite.
En effet, la formation dirigée par Peter DeBoer, qui affiche un dossier de 4–4 lors de ses huit matchs éliminatoires, a surclassé ses adversaires au chapitre des buts marqués, 9 à 3 (plus six), lors de la première période mais a été surclassée 11 à 4 (moins sept) à ce chapitre lors de la période médiane.
Lors de la troisième période, ce fut égal 6 à 6 et également en prolongation, les Devils marquant une fois et concédant un filet.
Comment expliquer qu’une équipe aussi expérimentée que celle des Devils, dont le jeu est axée sur la défense, puisse connaître des problèmes du genre dans les éliminatoires ?
*
Atroce, le lanceur Brian Matusz a une fiche de 0-12 et est confronté aux Yankees de New York !
Même s’il lance moins mal que l’an dernier, le lanceur Brian Matusz, des Orioles de Baltimore connaît encore des difficultés, lui qui est incapable de savourer une victoire !
Le gaucher de 24 ans, qui fut le choix de première ronde (4e au total), lors du repêchage de 2008 et qui avait présenté une fiche de 5–2 avec une moyenne de 4,63 en huit matchs en 2009 et 10–12 avec une moyenne de 4,30 en 32 matchs en 2010, avait été tout simplement atroce en 2011, affichant un dossier de 1–9 avec une astronomique moyenne de 10,69 en 12 départs, concédant pas moins de 18 circuits en seulement 49,2 manches de travail.
En ce début de 2012, il présente une fiche de 0–3 avec une moyenne de 5,66, ce qui est beaucoup mieux que l’an dernier (10,69), mais encore insuffisant pour triompher, lui dont le dernier gain remonte aussi loin que le 6 juin 2011, 4 à 2, face aux A’s d’Oakland.
Il affiche actuellement un dossier de 0–12 avec une moyenne de 7,43 lors de ses 14 derniers matchs, lui qui lors de son dernier départ, n’a pas été chanceux, car il avait concédé deux points non mérités en six manches, face aux Blue Jays de Toronto, mais accusait un déficit de 2 à 1, lorsqu’il fut remplacé et les Orioles ont marqué quatre points par la suite pour triompher, mais il n’a pas été impliqué dans la décision.
Réussira-t-il à éviter une 13e défaite de suite, lui qui en ce premier jour du mois de mai, sera confronté aux Yankees de New York, une équipe contre laquelle il présente une fiche à vie de 2–5 avec une moyenne de 5,10 en huit matchs.
S’il triomphait, il ferait d’une pierre deux coups, car il n’a jamais gagné au mois de mai, affichant un dossier de 0–4 avec une moyenne de 7,50 en cinq rencontres.
*
Contrat de 250 millions, quel début atroce pour Albert Pujols avec les Angels de Los Angeles !
Après avoir été signé comme joueur autonome, le premier-but Albert Pujols connaît un début de saison vraiment atroce avec les Angels de Los Angeles.
En effet, Pujols, qui fut l’un des meilleurs frappeurs des dernières années, affiche une piètre moyenne de ,217 avec seulement quatre points produits en 23 rencontres, lui qui est toujours en quête de son premier circuit de la présente saison !
Ce rendement n’est nullement à la hauteur de son talent, lui qui a présenté une moyenne de ,299 avec 37 circuits et 99 points produits en 147 matchs l’an dernier et qui affichait, avant la présente saison, une moyenne à vie de ,328 avec 445 circuits et 1329 points produits en 1705 matchs, lors de ses 11 premières saisons, toutes dans l’uniforme des Cardinals de Saint Louis, où il a remporté deux fois la série mondiale, en 2006 et 2011.
Lors de ses 10 derniers matchs, il a été pitoyable, ne frappant que pour une moyenne de ,105, n’obtenant que trois maigres simples, un double et aucun point produit, en 38 présences au bâton.
Ce rendement n’est pas sans nous rappeler celui de Vernon Wells, l’ancien-joueur des Blue Jays de Toronto, qui lors de sa première saison avec les Angels l’an dernier, n’avait pu faire mieux qu’une moyenne de ,218 avec 25 circuits et seulement 66 points produits en 131 matchs et qui ne frappe que pour ,225 avec quatre circuits et huit points produits en 22 rencontres actuellement.
Les Angels doivent prier pour que Pujols, qui a signé un contrat de 10 ans pour une somme faramineuse de plus de 250 millions de dollars, retrouve sa forme rapidement, car les amateurs risquent de se faire entendre à chaque fois qu‘il se présentera au marbre …
*