Les trois finales ont pris fin par un gain de l’équipe visiteuse !

Une statistiques spéciale : depuis trois ans, les équipes locales ont été tout simplement dominantes sur leur propre patinoire lors de la finale, sauf lorsqu’une victoire était nécessaire !

En effet, depuis 2007–2008, les équipes locales ont présenté une fiche de 17–3, une moyenne de ,850 lors des 20 rencontres disputées à domicile, mais, un gros mais, elles ont vu les équipes visiteuses remporter la coupe Stanley dans les trois occasions.

En 2008–2009, les Penguins de Pittsburgh et les Red Wings de Detroit avaient divisé les honneurs des six premiers matchs en remportant toutes les rencontres devant leurs partisans, mais les Penguins ont causé une surprise en remportant le 7e et décisif match, 2 à 1, le 12 juin 2009, au Joe Louis Arena.

En 2009–2010, les cinq premiers matchs de la série entre les Flyers de Philadelphie et les Blackhawks de Chicago avaient été remportés par les formations locales, mais le 6e match était allé du côté des Blackhawks, un gain de 4 à 3, en prolongation, le 9 juin 2010, au Wells Fargo Center.

Finalement, l’an dernier, les six premiers matchs de la série entre les Bruins de Boston et les Canucks de Vancouver avaient été gagnés par les équipes locales, mais les Bruins avaient signé un gain de 4 à 0, lors du match ultime, le 15 juin 2011, au Rogers Arena.

Que nous résereve la présente série entre les Kings de Los Angeles et les Devils du New Jersey ?

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En finale, une 5e participation pour les Devils et une 2e pour les Kings





Nous assisterons à une finale impliquant les Devils du New Jersey et les Kings de Los Angeles.

Depuis leur entrée dans la Ligue nationale en 1974–1975, les Devils du New Jersey, (anciens Scouts de Kansas City et Rockies du Colorado), y prennent part pour une 5e fois, alors que les Kings de Los Angeles, qui ont débuté en 1967–1968, n’y participent que pour la deuxième fois.

Les Devils, qui sont au New Jersey depuis 1982–1983, ont une fiche de 3–1 lors de leurs quatre participations à la finale, alors que les Kings ont perdu lors de leur unique présence en 1992–1993.

Voici les résultats des participations à la finale des deux équipes.

LA FICHE DES DEVILS DU NEW JERSEY EN FINALE

FICHE DE 3-1 EN QUATRE PARTICIPATIONS ET 15-9 EN 24 PARTIES

1994-1995-DEVILS DU NEW JERSEY 4 RED WINGS DE DETROIT 0

17 juin 1995-New Jersey 2 à Detroit 1

20 juin 1995-New Jersey 4 à Detroit 2

22 juin 1995-Detroit 2 au New Jersey 5

24 juin 1995-Detroit 2 au New Jersey 5

1999-2000-DEVILS DU NEW JERSEY 4 STARS DE DALLAS 2

30 mai 2000-Dallas 3 au New Jersey 7

1 juin 2000-Dallas 2 au New Jersey 1

3 juin 2000-New Jersey 2 à Dallas 1

5 juin 2000-New Jersey 3 à Dallas 1

8 juin 2000-Dallas 1 au New Jersey 0 (3e prol.)

10 juin 2000-New Jersey 2 à Dallas 1 (2e prol.)

2000-2001-AVALANCHE DU COLORADO 4 DEVILS DU NEW JERSEY 3

26 mai 2001-New Jersey 0 au Colorado 5

29 mai 2001-New Jersey 2 au Colorado 1

31 mai 2001-Colorado 3 au New Jersey 1

2 juin 2001-Colorado 2 au New Jersey 3

4 juin 2001-New Jersey 4 au Colorado 1

7 juin 2001-Colorado 4 au New Jersey 0

9 juin 2001-New Jersey 1 au Colorado 3

2002-2003-DEVILS DU NEW JERSEY 4 MIGHTY DUCKS D’ANAHEIM 3

27 mai 2003-Anaheim 0 au New Jersey 3

29 mai 2003-Anaheim 0 au New Jersey 3

31 mai 2003-New Jersey 2 à Anaheim 3 (prol.)

2 juin 2003-New Jersey 0 à Anaheim 1 (prol.)

5 juin 2003-Anaheim 3 au New Jersey 6

7 juin 2003-New Jersey 2 à Anaheim 5

9 juin 2003-Anaheim 0 au New Jersey 3

LA FICHE DES KINGS DE LOS ANGELES EN FINALE

FICHE DE 0-1 EN UNE PARTICIPATION ET 1-4 EN 5 PARTIES

1992-1993-CANADIEN DE MONTRÉAL 4 KINGS DE LOS ANGELES 1

1 juin 1993-Los Angeles 4 à Montréal 1

3 juin 1993-Los Angeles 2 à Montréal 3 (prol.)

5 juin 1993-Montréal 4 à Los Angeles 3 (prol.)

7 juin 1993-Montréal 3 à Los Angeles 2 (prol.)

9 juin 1993-Los Angeles 1 à Montréal 4

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STATISTIQUES SUR LA FINALE

EN SÉRIES ÉLIMINATOIRES 2011-2012

Voici les statistiques des séries éliminatoires des deux équipes qui participent à la finale de la coupe Stanley, les Kings de Los Angeles et les Devils du New Jersey.

STATISTIQUES----------LOS ANGELES-NEW JERSEY

Parties jouées — — — — — — — — — — 14 — — — — — — — — 18

Fiche globale — — — — — — — — — — 12–2 — — — — — — — 12–6

À domicile — — — — — — — — — — — 4–2 — — — — — — — 6–2

À l’étranger — — — — — — — — — — — 8–0 — — — — — — — -6–4

En prolongation — — — — — — — — 2–0 — — — — — — — 4–1

Buts marqués (moy.) — — — — — 41 (2,93) — — — — 51 (2,83)

Buts concédés (moy.) — — — — -22 (1,57) — — — — 42 (2,33)

Blanchissages — — — — — — — — — — 2 — — — — — — — — 1

Jeu de puissance (rang) — — — -8,11% (15e) — — — 18,18% (4e)

Unité défensive (rang) — — — 91,23% (2e) — — — 74,19% (13e)

Buts en désavantage — — — — — — 5 — — — — — — — — -1

Buts en dés. concédés — — — — — 0 — — — — — — — — -2

Punitions (moy.) — — — — — — — 196 (14,00) — — 175 (9,72)

Avec premier but — — — — — — — -7–1 — — — — — — — 9–2

Sans premier but — — — — — — — -5–1 — — — — — — — 3–4

Matchs décidés par un but — — 4–0 — — — — — — — 6–2

Matchs décidés par 2 buts — — 6–2 — — — — — — — 3–1

Matchs par 3 buts ou plus — — 2–0 — — — — — — — 3–3

Menant après 2 périodes — — — 6–0 — — — — — — — 7–0

Arrière après 2 périodes — — — 1–2 — — — — — — — 1–3

Égalité après 2 périodes — — — 5–0 — — — — — — — 4–3

STATISTIQUES INDIVIDUELLES

STATISTIQUES----------LOS ANGELES----NEW JERSEY

Meneurs pour buts — — — — Dustin Brown (7) — — -Ilya Kovalchuk (7)

— — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — Zach Parise (7)

— — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — Travis Zajac (7)

Meneurs pour assistances-Dustin Brown (9) — — Ilya Kovalchuk (11)

— — — — — — — — — — — — — — Anze Kopitar (9) — — — — — — — — — — — — — — —
— — — — — — — — — — — — — — Justin Williams (9) — — — — — — — — — — — — — — —
Meneurs pour points — — — Dustin Brown (16) — — Ilya Kovalchuk (18)

Meneurs différentiels — — Dustin Brown (+ 13) — Bryce Salvador (+ 10)

— — — — — — — — — — — — — — Anze Kopitar (+13) — — — — — — — — — — — — — — —
Buts avantage numériqueMike Richards (2) — — -Ilya Kovalchuk (5)

— — — — — — — — — — — — — — Jeff Carter (2) — — — — — — — — — — — — — — —
Buts désavantage num. — Dustin Brown (2) — — — Bryce Salvador (1)

- — — — — — — — — — — — — — — Anze Kopitar (2) — — — — — — — — — — — — — — —
Buts victorieux — — — — — — Dustin Brown (3) — — — David Clarkson (3)

Tirs au but — — — — — — — — Dustin Brown (49) — — Zach Parise (68)

Meneurs temps de glace — Drew Doughty (25:52)-Marek Zidlicky (24:08)

Meneurs victoires — — — — Jonathan Quick (12) — Martin Brodeur (12)

Meneurs moyennes — — — -Jonathan Quick (1,54) — Martin Brodeur (2,04)

Meneurs efficacité — — — — Jonathan Quick (,946) — Martin Brodeur (,923)

Meneurs blanchissages — Jonathan Quick (2) — — Martin Brodeur (1)

JOUEURS AVEC DE L’EXPÉRIENCE EN FINALE

Il est un peu surprenant de constater que les Kings de Los Angeles alignent plus de joueurs ayant participé à la finale de la coupe Stanley que les Devils du New Jersey.

La formation de Darryl Sutter a un total de huit joueurs qui ont participé à la finale, dont trois joueurs l’ayant remportée (Justin Williams, Dustin Penner et Rob Scuderi), comparativement à six joueurs chez celle de Peter DeBoer, alors que Martin Brodeur (trois fois), Petr Sykora (deux fois), Patrik Elias (deux fois) et Ryan Carter (une fois), ont gagné le précieux Trophée.

KINGS DE LOS ANGELES

JOUEURS----------SÉRIES-PJ-B-A-PTS-PUN-COUPES

Justin Williams — — – (Une) — — 7 — 2 — 2 — 4 — 4 — — — 1

Dustin Penner — — — (Une) — — 5 — 1 — 2 — 3 — 2 — — — -1

Simon Gagné — — — (Une) — — 6 — 2 — 0 — 2 — 0 — — — -0

Jeff Carter — — — — — (Une) — — 6 — 1 — 1 — 2 — 0 — — — -0

Mike Richards — — — (Une) — — 6 — 1 — 1 — 2 — 4 — — — 0

Jarret Stoll — — — — — (Une) — — 7 — 0 — 2 — 2 — 4 — — — -0

Rob Scuderi — — — – (Deux) — 13 — 0 — 2 — 2 — 0 — — — -1

Matt Greene — — — — (Une) — — 7 — 0 — 1 — 1 — 14 — — -0

GARDIENS — — — — — SÉRIES-PJ-MINS-BA-BL-MOY.V-D-COUPES

Aucun

DEVILS DU NEW JERSEY

JOUEURS — — — — — SÉRIES-PJ-B-A-PTS-PUN-COUPES

Petr Sykora — — — — (Cinq) — 27 — 8 — 7 — 15 — 16 — — 2

Patrik Elias — — — — (Trois) — 20 — 5 — 12 — 17 — 6 — — 2

Anton Volchenkov- (Une) — — 5 — 1 — 1 — 2 — 6 — — — 0

Ryan Carter — — — — – (Une) — — 1 — 0 — 0 — 0 — 0 — — — 1

Dainius Zubrus — — – (Une) — — 4 — 0 — 0 — 0 — 0 — — — 0

GARDIENS----------SÉRIES-PJ-MINS-BA-BL-MOY.V-D-COUPES

Martin Brodeur — — — — (Quatre)-24–1473—47 — 3 — -1,91 — 15–9 — — 3

N.B. : Chez les Kings de Los Angeles, trois joueurs ont remporté la coupe Stanley, Justin Williams (Caroline en 2005–2006), Dustin Penner (Anaheim en 2006–2007) et Rob Scuderi (Pittsburgh en 2008–2009).

Chez les Devils du New Jersey, Martin Brodeur (trois fois, en 1994–1995, 1999–2000 et 2002–2003), Patrik Elias (deux fois, en 1999–2000 et 2002–2003), Petr Sykora (deux fois, avec les Devils en 1999–2000 et aussi en 2008–2009 avec les Penguins de Pittsburgh) et Ryan Carter (Anaheim en 2006–2007).

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Shawinigan et London ont déjà connu des saisons de trois victoires !

On sait que dans le hockey junior canadien, la plupart des équipes vivent des hauts et des bas et c’est presque toujours la reconstruction, car les joueurs ne restent pas longtemps à ce niveau.

Pour illustrer jusqu’à quel point les choses peuvent varier dans l’histoire d’une formation, les deux équipes qui étaient en finale de la coupe Memorial, les Cataractes de Shawinigan et les Knights de London, ont déjà connu des saisons horribles où elles n’avaient remporté que trois victoires durant tout le calendrier régulier, un record de tous les temps du hockey junior canadien !

En 1977–1978, les Dynamos de Shawinigan avaient présenté une fiche de 3–65-4 pour seulement 10 points en 72 matchs, eux qui n’avaient marqué que 258 buts, mais en avaient concédés pas moins de 687, une astronomique moyenne de 9,54 par rencontre !

Suite à cette saison tout simplement désastreuse, les Dynamos avaient décidé de changer leur nom pour s’appeler les Cataractes.

Du côté des Knights de London, ils avaient présenté une fiche semblable en 1995–1996, terminant avec un rendement de 3–60-3 pour seulement neuf points en 66 rencontres, ayant été surclassés 435 à 179 au chapitre des buts marqués.

Dans l’histoire du hockey junior canadien, il y a aussi les IceDogs de Mississauga (1ère édition), qui ont été atroces lors de leurs premières saisons dans la OHL, eux qui en 2000–2001, n’avaient pu faire mieux qu’un dossier de 3–56-7 (2) pour seulement 15 points en 68 rencontres.

Dans la Ligue junior de l’Ouest, ce sont les Buffaloes de Calgary qui détiennent le record pour le plus bas total de victoires (4), eux qui avaient présenté une fiche de 4–47-5 pour 13 points en 56 rencontres, lors de la saison 1966–1967.

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En perte de vitesse, le receveur Russell Martin en arrache encore avec les Yankees



Suite à une saison ordinaire, le receveur Russell Martin, des Yankees de New York, en arrache encore beaucoup en ce début de saison, lui dont la moyenne au bâton est inférieur à son poids !

En effet, auteur d’une moyenne de seulement ,237 avec cependant 18 circuits et 65 points produits en 125 matchs, l’an dernier, sa première campagne dans l’uniforme de cette formation, il en arrache actuellement, frappant pour une anémique moyenne de ,190 (son poids est à 210 lbs), avec seulement quatre circuits et un maigre total de 12 points produits en 121 présences au bâton, lui qui a disputé 41 rencontres.

Soulignons que c’est la 3e saison de suite qu’il semble en déclin, car en 2010, sa dernière campagne dans l’uniforme des Dodgers de Los Angeles, il avait disputé seulement 97 matchs, frappant pour une moyenne de ,248 avec seulement cinq circuits et 26 points produits.

L’an dernier, son total de 18 circuits était un seul de moins que son sommet personnel de 19, réalisé en 2007, alors qu’il avait disputé 151 rencontres.

En cette saison 2012, c’est vraiment des difficultés qu’il rencontre, car sa moyenne a été inférieure à ,200 durant toutes les rencontres, sauf celles du 11 avril (,200), du 13 avril (,222), du 14 avril (,200) et du 5 mai (,206), lui qui ne frappe que pour une moyenne de ,170 (neuf coups sûrs en 53 présences au bâton), lors de ses 18 derniers matchs, depuis le 6 mai.

En ajoutant son rendement présenté à la fin de la dernière saison, une moyenne de ,194 avec sept coups sûrs en 36 présences au bâton, lors de ses 15 derniers matchs réguliers, cela lui faut une moyenne de ,191 (30 coups sûrs en 157 présences au bâton), lors de ses 56 derniers matchs, en plus d’avoir présenté une moyenne de ,176 dans ses cinq rencontres éliminatoires, face aux Tigers de Detroit.

Martin, qui a eu 29 ans le 15 février dernier, est-il dans une mauvaise séquence ou en perte de vitesse au point de voir sa carrière compromise ?

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La dégringolade se poursuit pour Francisco Liriano des Twins



Après avoir connu un certain succès lors de la saison 2010, c’est une véritable descente aux enfers que connaît le lanceur Francisco Liriano, des Twins du Minnesota et son présent début de saison est tout simplement catastrophique !

En effet, auteur d’une fiche de 14–10 avec une moyenne de 3,62 en 31 matchs, lors de la saison 2010, il a régressé avecun rendement de 9–10 avec une très haute moyenne de 5,09 en 26 matchs, l’an dernier, alors qu’en ce début de saison 2012, c’est pire que jamais, lui qui affiche un dossier de 0–5 avec une moyenne de 8,47, lui qui a concédé pas moins de 32 points mérités en seulement 34 manches de travail.

Avec un rendement pareil, il ne faut pas se surprendre qu’il a permis à une moyenne de 2,06 coureurs par manche et les frappeurs ont maintenu une moyenne de ,326 contre lui.

Ses performances ont tellement mauvaises, car après avoir présenté une fiche de 0–5 avec une moyenne de 9,45 lors de ses six premiers départs, concédant quatre points mérités dans les six rencontres, il a été envoyé dans l’enclos des releveurs, rôle qu’il a joué lors des cinq dernières rencontres.

En ajoutant son rendement de la fin de la saison dernière, cela lui fait un rendement de 0–6 avec une moyenne de 8,92 lors de ses 14 dernières rencontres, lui dont le dernier gain remonte au 20 août 2011, 9 à 4, face aux puissants Yankees de New York, au Target Field, un match dans lequel il n’avait concédé qu’un point non mérité en sept manches.

Soulignons que le 3 mai 1011, il avait réussi un match sans point ni coup sûr, un gain de 1 à 0, face aux White Sox de Chicago, au U.S. Cellular Field.

Il affronte les A’s d’Oakland, une formation contre laquelle il affiche un dossier à vie de 2–3 avec une moyenne de 4,56 en 11 rencontres, dont neuf départs.

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