Il présente des statistiques atroces depuis 21 matchs

C’est vraiment une descente aux enfers que connaît le gardien Roberto Luongo, des Canucks de Vancouver, lui qui depuis le 3e match de la finale de la coupe Stanley de la saison dernière, a l’air d’un gardien auxiliaire !



En effet, le récipiendaire du Trophée Bill Jennings (avec Cory Schneider) en 2010–2011, présente un dossier peu reluisant de 10–10-1 avec une haute moyenne de 3,22 et une piètre efficacité de ,887, lors de ses 21 derniers matchs disputés depuis le 6 juin dernier.

Après avait affiché un dossier de 1–4-0 avec un moyenne de 4,67, un blanchissage et une efficacité de ,846 lors de ses cinq derniers matchs éliminatoires, il présente un rendement de 9–6-1 avec une moyenne de 2,82 et une efficacité de ,899 lors de ses 16 matchs de la présente saison régulière.

Il est difficile de comprendre cette baisse d’efficacité, car l’an dernier, Luongo avait présenté une fiche de 38–15-7, une moyenne de 2,11 (2e rang), une efficacité de ,928 (4e rang), lui qui avait dominé au chapitre des victoires (38), à égalité avec Carey Price, du Canadien de Montréal, durant le calendrier régulier et un dossier de 14–6-0 avec une moyenne de 2,36, trois blanchissages et une efficacité de ,928, lors de ses 20 premiers matchs des éliminatoires.

Soulignons que Luongo, qui a été blessé à la gorge, en deuxième période, face à l’Avalanche du Colorado mardi soir, présente une fiche à vie de 9–11-3 (2) avec une moyenne de 2,44, deux blanchissages et une efficacité de ,923 en 26 matchs contre le Canadien de Montréal (dont 3–6-2 (2), avec une moyenne de 2,41, deux blanchissages et une efficacité de ,923 en 13 matchs au Centre Bell), l’équipe que les Canucks visiteront jeudi, le premier match d’une série de cinq de suite à l’étranger.

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Les Capitals de Washington en arrachent à l’étranger



C’est une séquence très difficile que connaissent les Capitals de Washington, à l’étranger actuellement.

En effet, la formation dirigée par Dale Hunter, qui affichait un dossier de 4–3-0 lors de ses sept premières rencontres sur les patinoires adverses, a perdu ses cinq derniers matchs à l’extérieur, ayant été surclassée 24 à 8 (moins 16), au chapitre de buts marqués.

Pis, les unités spéciales des Capitals ont été atroces lors de ces cinq rencontres, car leur jeu de puissance a été complètement neutralisé, affichant un rendement de 0 en 19, alors que l’unité défensive a concédé pas moins de huit buts en 20 infériorités numériques, une piètre efficacité de 60,00%, dont trois buts en six désavantages, lors du revers de 5 à 4, lundi soir, face aux Panthers de la Floride.

Cette séquence de cinq revers de suite à l’extérieur est la plus longue de l’équipe depuis celle de neuf revers de suite (0–7-2), du 6 au 31 mars 2007.

Les Capitals, dont le dernier gain sur la route remonte au 11 novembre, 3 à 1, face aux Devils du New Jersey, réussiront-ils à mettre fin à leur disette en visitant les Sénateurs d’Ottawa, en ce mercredi soir, à la Place Banque Scotia ?

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Comme au début de l’an dernier, les Sabres de Buffalo sont ordinaires à domicile



Les saisons se suivent et se ressemblent pour les Sabres de Buffalo, plus spécialement dans leur actuel rendement à domicile dans ce début de campagne, qui est quasi-identique à celui de l’an dernier.

L’équipe dirigée par Lindy Ruff, dont la fiche est de 14–11-1 en 26 matchs, affiche une piètre fiche de 6–8-1 lors de ses 15 rencontres disputées au HSBC Arena et le plus ironique est que cette fiche est la même que celle de l’an dernier, après leurs 15 premiers matchs locaux, eux qui avaient par contre perdu leurs sept premiers matchs (0–6-1) sur leur propre patinoire en 2010–2011.

Les Sabres, qui amorcent une série de cinq matchs de suite à domicile, affrontent aujourd’hui, les puissants Flyers de Philadelphie, dont la fiche est de 5–2-0 lors de leurs sept dernières rencontres à l’extérieur.

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À quand le prochain but pour Éric Bélanger des Oilers d’Edmonton ?



Après avoir connu une bonne saison l’an dernier, l’attaquant Éric Bélanger, des Oilers d’Edmonton est incapable d’acheter un but cette année.

En effet, le 5e choix des Kings de Los Angeles (le 96e choix) au repêchage de 1996, affiche un dossier de 0–7-7 en 27 matchs cette année et en ajoutant son rendement de la fin de la saison dernière, il n’a pas marqué lors de ses 39 derniers matchs (0–11-11), dont 0–0-0 lors de ses quatre matchs éliminatoires, son dernier but remontant au 20 mars dernier, dans un revers de 2 à 1, face aux Blackhawks de Chicago.

Pourtant, juste avant cette longue léthargie, Bélanger avait connu l’une de ses meilleures séquences de sa carrière, affichant du 8 au 20 mars 2011, un rendement de 4–5-9 avec un différentiel de plus sept en sept rencontres.

En 2010–2011, Bélanger a présenté une fiche de 13–27-40 en 82 matchs, dans l’uniforme des Coyotes de Phoenix, lui dont le sommet personnel en une saison est de 17 buts, réalisé en deux occasions, en 2005–2006 (Los Angeles) et 2006–2007 (Caroline-Atlanta).

Affichant un rendement de 0–2-2 en 14 matchs devant ses partisans, Bélanger n’a pas marqué lors de ses 24 derniers matchs (0–10-10) au Rexall Place, son dernier but à cet endroit remontant au 11 février 2007, dans un revers de 5 à 1, des Thrashers d’Atlanta.

Profitera-t-il de la visite des Hurricanes de la Caroline, la pire équipe en défense de la LNH, pour mettre fin à cette disette en ce mercredi ?

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